Exiger que chacun prenne sur soi en permanence, haïr le moindre signe de faiblesse (non pas de faiblesse, d'humanité, en fait), être aussi méprisante et détester à ce point les gens qui font passer leur vie personnelle avant une ébauche de vie professionnelle, ça doit être très facile quand on n'aime personne. Je ne sais pas si vous êtes aigrie, ou juste une vieille conne. Je ne sais pas si quelqu'un vous aime. Je crois que ceux qui vous estiment confondent le respect et la crainte, et je ne tomberai jamais dans ce panneau. J'ai honte de vous compter dans ma vie et je n'aspire qu'à une chose : ne plus jamais avoir affaire à vous. J'ai honte pour vous quand j'entends le venin qui vous suinte à la gueule. Je ne sais pas comment à quelques années à peine de la fin de sa carrière, on peut encore se conduire comme un petit tyran. Est-ce un manque de confiance en vous ? Une vie morne à pleurer ? Sérieusement.. Jouer avec les nerfs des gens jusqu'à les faire pleurer, jusqu'à les humilier ça vous amuse. Vraiment ? Je me demande ce qui vous tiendra chaud quand vous serez finie, et je doute que ça soit l'affection d'autrui. Mais j'ai ma satisfaction, ma petite victoire arrachée à ce jeu idiot : je n'ai pas pleuré une seule fois, je n'ai pas baissé ma garde une seconde et je n'ai pas fermé ma gueule. Pas une seule fois. Et, si j'entends encore un discours du type : " quelqu'un qui ne présente pas un examen pour cause de décès dans la famille est incapable de prendre sur lui, et ne s'en sortira pas dans la vie professionnelle", autorité sur moi ou pas, je vous crache à la gueule.