Tu prends de mes nouvelles que lorsque je vais bien.
Je comprends, remarque. Je ferais la même chose. T'es habitué à ce côté de moi, qui te texte peu importe l'heure pour te raconter une anecdote, te dire que j'ai encore trop bu, te demander un avis sur une connerie importante pour moi, te dire de la marde, me plaindre, encore et toujours, peu importe.
Ce côté qui se tait quand je vais mal, quand je déprime. Alors, après quelque jours sans nouvelles, tu en prends, alors que je recommence à bien aller.
Je veux pas t'embêter avec mes problèmes, même si je sais qu'en fait je t'embête pas, ça, tu me l'as dit mille fois.
Reste que, tu prends de mes nouvelles que lorsque je vais bien.
Alors que c'est lorsque je me tais que j'ai le plus besoin de te parler.
Comme aujourd'hui.
Je comprends, remarque. Je ferais la même chose. T'es habitué à ce côté de moi, qui te texte peu importe l'heure pour te raconter une anecdote, te dire que j'ai encore trop bu, te demander un avis sur une connerie importante pour moi, te dire de la marde, me plaindre, encore et toujours, peu importe.
Ce côté qui se tait quand je vais mal, quand je déprime. Alors, après quelque jours sans nouvelles, tu en prends, alors que je recommence à bien aller.
Je veux pas t'embêter avec mes problèmes, même si je sais qu'en fait je t'embête pas, ça, tu me l'as dit mille fois.
Reste que, tu prends de mes nouvelles que lorsque je vais bien.
Alors que c'est lorsque je me tais que j'ai le plus besoin de te parler.
Comme aujourd'hui.