J'espère juste que personne me reconnaîtra, je me sentirai mal, vraiment. Mais j'ai besoin que ça sorte et ce soir visiblement personne n'est apte à m'écouter. ( Je vais aller faire un tour sur le topic " j'ai des amis en carton " moi tiens. ) Mais bref, place au mini roman.
Quand je te disais que tu me manquais, c'était vrai. J'aurai espéré que les tiens soient vrais aussi. Je . . . Je te comprends pas, vraiment pas. C'est horrible parce que tu peux avoir n'importe qui, d'ailleurs tu ne te gênes pas pour le faire et ça te va, t'es heureux comme ça, tant mieux pour toi. N'empêche que moi, pathétique que je suis, tu me plais. Pourtant j'ai bien conscience que je dois être une fille au milieu des autres, et que des comme moi t'en as connu pleeeeins. Mais pourtant je sais que je te plais(ais) un peu, quand même, et que même si aujourd'hui ça ne dois plus être le cas, je sais que je t'ai manqué.
Enfin, je suis bien quand on est tous les deux. Les rares moments où on est tous les deux. Et je sais que tu es bien aussi. Pourtant, tu ne me répond plus, ou plus de la même manière. J'ai du mal à comprendre. Peut être que finalement, tu n'attends plus rien ? M'enfin, si je te dis que je peux passer chez toi ce week end et que tu ne me répond pas, alors qu'il y a deux semaines tu me demandais comment allaient mes amours, tout en me disant que je te manquais, c'est incompréhensible. A la limite même si t'as plus envie de me voir, dis le moi une bonne fois pour toutes, mais ne me laisse pas espérer de te revoir ou de repasser du temps avec toi. Je sais que je suis un peu niaise, si ça se trouve j'aurai du comprendre depuis longtemps, mais si tu vois bien que tes sous entendus marchent pas, je préférerai que tu m'en foute plein la gueule une bonne fois pour toute plutôt que de me laisser m'enfoncer dans mes films, et de me refermer à n'importe qui parce que je t'attend. Tu t'en rend même pas compte, je suis sûre que tu t'en fou, maintenant, mais c'est terriblement blessant.
Vire moi une bonne fois pour toute, sil te plait, ça serait tellement moins douloureux que mes faux espoirs, et ça serait tellement plus facile d'avancer, de tourner la page.
Ou reviens moi. Mais pour de bon.