Ce que j'aimerais lui dire...

[Monsieur B.]

...

 

[Et tienne]

Les meufs, vous êtes tellement géniales. Si seulement c'était possible de trouver d'autres amies comme vous. Vous me manquez tellement.

 

[Ancien membre]

Encore une fois tu m'as bouleversé. Il y a cette espèce d'alchimie entre nous quand tu me regardes et que tu souries, et on a beau passer notre temps à gueuler pour argumenter nos choix différents, j'ai le sentiment que dans le fond, on se ressemble et on attend a même chose de la vie.

Quand je t'ai serré dans mes bras et que tu m'as dis "arrête, j'aime pas" j'ai ressenti cette gène délicieuse que tu mets entre toi et moi. Et dès lors que je t'ai vu t'éloigner, je n'ai cessé d'imaginer le moment où je te reverrai. T'as tellement de choses à m'apprendre.

En fait, tu me manques déjà.

 

[Natsu]

Fais-moi un bébé

 

[marion##]

Je veux te voir. Je veux revenir en arrière, retourner à l'époque où tu ne l'avais pas encore rencontrée, où tu n'étais pas amoureux d'elle. Je me souviens vaguement de cette époque où tu m'envoyais des textos pour me dire bonne nuit. Juste ça. Je me souviens de l'époque où je pouvais me balader dans la rue avec toi main dans la main. A cette époque, tu m'avais donné l'espoir, l'espoir que peut être, moi aussi, j'aurai enfin droit à l'amour, au vrai. J'avais une jolie conception du couple à cette époque. Tu m'avais redonné confiance. Je m'imaginais un futur. J'osais me projeter un peu dans l'avenir... Je n'avais presque plus peur du temps qui passe, tant que je le passais avec toi, à tes côtés.

Et aujourd'hui, tu construis ton avenir avec une autre fille, tu te projettes dans le futur avec elle, tu sembles épanoui, heureux, amoureux. Tu sembles si loin de moi... Tu as détruis le peu d'espoir que j'avais au fond de moi. Aujourd'hui j'ai peur de tout, et si je ressens ça, c'est en partie à cause de toi. Je suis toujours restée gentille avec toi, je t'ai toujours répondu poliment, même après notre rupture. Mais dans le fond, t'es qu'un gros con. Un gros lâche. Je ne méritais pas que tu m'utilises de cette façon. Du moins, je ne pense pas.

 

[Vealy]

Si seulement tu avais moins d'égo...

 

[Pauupau]

papa tu me manques...

 

[Grisou]

A toi le connard qui essayes de m'accoster et de me barrer la route à coup de "hey madmoizelle" puis qui me traites de "sale vilaine" quand je te demande de me lâcher : je te méprise, tu n'es qu'un mélange malheureux d'irrespect et de connerie. Je passe ma route sans me retourner mais je crois que si j'étais plus grande et plus forte, je te foutrais volontiers mon poing dans la gueule.

 

[Seluj]

Que je te hais.

 

[leina-2]

*parti !

 

[Summer Day]

Arrête. Arrête de me regarder comme ça. Je vais finir par te sauter dessus.

 

[Breathe.Me]

Tu sais, j'ai peur. Chaque jour, chaque seconde. J'ai peur parce que je garde cette immense douleur en moi, la douleur que j'ai ressenti le jour où tu m'as dis « On ne peut plus être ensemble, jamais.», je t'aime, tellement. Bien-sûr, tu es toujours là, tu es revenu, je suis dans tes bras, mais bordel, cette douleur reste en moi. Cette douleur tellement forte que j'ai ressenti quand tu es parti, quand tu m'as abandonné, assassiné. Et si je suis jalouse, c'est parce que j'ai peur que tu partes encore. Pardonne-moi, je t'en prie. Pardonne-moi de ne pas avoir une famille exemplaire, une famille en qui tu peux avoir confiance. Pardonne-moi ma jalousie, pardonne-moi mes craintes. Et surtout, ne pars pas. Ne pars plus. Je ne veux plus revivre cette souffrance insupportable.