Ca fait longtemps hein ? Longtemps que je garde tout ça en moi. Presque un an. Un an dont je me souviens encore. Un an où je me suis dit que j'allais enfin pouvoir avancer, aller voir ailleurs, rencontrer d'autres visages, et peut-être en trouver un à mon goût, et me nicher au creux de sa nuque en prononçant un autre prénom que le tien.
Et bien non. Et tu sais pourquoi ? Parce que je t'ai dans la peau. Voilà pourquoi. C'est complètement dingue à dire, mais c'est ça. Tu es le premier, le premier dans tout. Celui qui m'a rendue femme, physiquement, mentalement et encore, c'est si peu dire. Quand cette nuit là, tu as porté ton regard, et ta main sur ma peau nue, j'aurai pu mourir. Voilà, c'est dit. A cet instant précis, je pensais que ça allait marcher. Que tu te dirais "Cette fille est faîte pour moi, il serait temps que j'aille parler à X, que j'arrête de lui mentir". Je pensais qu'on ne pouvait mentir quand on était nu..
Naïve. Quand, une semaine après, tu m'as balancé que c'était un jeu, que je l'avais cherché, que je l'avais voulu mais que ça n'avait rien à voir avec le coeur. Ah. Alors c'était pûrement physique hein? Simplement, des morceaux de chaire qui se frottent, se cherchent, et finissent par s'assembler ? C'était ça pour toi ? Une partie de lego, des corps qui s'emboîtent ? Merveilleux. Je suis touchée.
Alors oui. Pendant un an, je me suis bloguée. Des flirts par ci, de la drague par là. J'ai 18 ans quoi, merde, et la conclusion, c'est que j'ai passé 4 ans de ma vie à attendre un queutard. Je devrais avoir envie de m'amuser, de profiter de ma jeunesse, de ma beauté, de celle que je suis. Hé non.
Mais là, maintenant, c'est officiel. Je lache tout, et j'y vais. Sans peur et sans reproches. Et toi, tu dégages de mon coeur, de mon cerveau, et de mon sang, parce que si je te retrouve, je t'étrangle avec tes vieilles médailles, tes phrases à la con, et le soutien-gorge que tu as tant voulu voir un jour. BAM.
(ARG. Ca fait du bien)
Et bien non. Et tu sais pourquoi ? Parce que je t'ai dans la peau. Voilà pourquoi. C'est complètement dingue à dire, mais c'est ça. Tu es le premier, le premier dans tout. Celui qui m'a rendue femme, physiquement, mentalement et encore, c'est si peu dire. Quand cette nuit là, tu as porté ton regard, et ta main sur ma peau nue, j'aurai pu mourir. Voilà, c'est dit. A cet instant précis, je pensais que ça allait marcher. Que tu te dirais "Cette fille est faîte pour moi, il serait temps que j'aille parler à X, que j'arrête de lui mentir". Je pensais qu'on ne pouvait mentir quand on était nu..
Naïve. Quand, une semaine après, tu m'as balancé que c'était un jeu, que je l'avais cherché, que je l'avais voulu mais que ça n'avait rien à voir avec le coeur. Ah. Alors c'était pûrement physique hein? Simplement, des morceaux de chaire qui se frottent, se cherchent, et finissent par s'assembler ? C'était ça pour toi ? Une partie de lego, des corps qui s'emboîtent ? Merveilleux. Je suis touchée.
Alors oui. Pendant un an, je me suis bloguée. Des flirts par ci, de la drague par là. J'ai 18 ans quoi, merde, et la conclusion, c'est que j'ai passé 4 ans de ma vie à attendre un queutard. Je devrais avoir envie de m'amuser, de profiter de ma jeunesse, de ma beauté, de celle que je suis. Hé non.
Mais là, maintenant, c'est officiel. Je lache tout, et j'y vais. Sans peur et sans reproches. Et toi, tu dégages de mon coeur, de mon cerveau, et de mon sang, parce que si je te retrouve, je t'étrangle avec tes vieilles médailles, tes phrases à la con, et le soutien-gorge que tu as tant voulu voir un jour. BAM.
(ARG. Ca fait du bien)