Ce que j'aimerais lui dire...

[Aylinette]

J'ai mal.

Horriblement mal. Je n'arrête pas de penser à ce que tu m'as fait.
Ça me hante. Malgré moi. Tu t'es comporté en connard, tu dis le regretter mais je ne te crois pas.
Je ne te crois plus. Je n'ai plus confiance, je ne te pardonnerai sûrement jamais.
Alors à quoi bon continuer? Tu es manipulateur, je m'en rends compte.
Et pourtant je ne peux me détacher de toi.
Seulement je vois toujours ces images devant mes yeux, toi avec cette connasse.
Je meurs à petit feu, je meurs un peu plus chaque jour.
Et tu ne le vois pas. Tu ne penses qu'à toi.

Me voilà donc à t'écrire ici, fumant clope sur clope.
A déverser toute ma bile. A essayer de vomir tout ce qu'il y a en moi, pour être enfin en paix.
En sachant très bien que je ne te ferai jamais lire ceci. Car j'ai tout de même peur de te perdre.
Je suis bête. Incroyablement bête.
Il faut que cette douleur cesse, vite, je ne vais pas tenir très longtemps, je suis déjà sous antidépresseur, à cause de toi.

J'attends juste un signe, un signe pour savoir ce que je dois faire. Rester ou te quitter.

 

[Evony]

Je mérite un peu plus de considération de ta part...

 

[doux-le-ciné]

je sais pas comment tu fais même si on est pas ensemble pour toujours trouver les bons mots. Tu sais quand je suis vraiment jalouse et que je dis pas ça pour rire, et tu me rassures toujours. ça finit toujours en grosse partie de rigolade, mais tu m'as toujours rassurée avec la petite phrase qui fallait. Merci de faire toujours ce qu'il faut, merci de m'avoir demandé si disney on y allait en amoureux, de venir dans ma famille faire le sapin. Merci de ne jamais me laisser même quand tu sors avec d'autres nénettes. J'ai eu tellement peur pour toi quand tu m'as annoncé le métier que tu voulais faire. tellement peur. Je t'aime tellement mon bébé et depuis toujours.

 

[Pseudo Déjà Pris]

Je n'ai même pas envie d'y aller demain matin vu que tu seras absent.
Mon obsession pour toi me bouffe complètement, surtout compte tenu du fait qu'il y a trop de questions sans réponse.

Comment pourrais-je te plaire, toi qui est si beau et moi qui me trouve si inintéressante?

Comment réagirais-tu si je te proposais qu'on aille se boire un café seuls tous les deux?

Pourquoi es-tu si complice avec moi et après, plus rien?

Si on se connaissait mieux, m'aimerais-tu?

 

[Mademoiselle-K-]

Que parfois j'ai peur que ça recommence.
On a assez souffert comme ça!!! Il est temps qu'on soit heureux!

 

[PtiteCahuette]

"On arrête là!
Je ne suis pas heureuse et je sais que tu ne changeras pas..;Or ce que je vis avec toi ces derniers temps ne me conviens plus...."

Mais pour l'instant, je n'en n'ai pas le courage!

 

[FunHouse]

Comment te dire... Que ton comportement me fait tellement mal, je pleure, je pleure et je pleure. Je t'aime fort ça c'est sur, mais je pense que je serais capable de te laisser à cause de cette situation. Rien que de penser à tout ça me dégoûte. Bordel à t'entendre je suis casse couille tout le temps. Merde grandis un peu. J'ai plus de temps pour moi certes, je redouble c'est normal que je sois plus à l'appart, mais la bouteille de lait vide c'est sur qui est resté 2 jours sur l'évier parce que "ah quoi bon la mettre à la poubelle hein" ça ne te viendrai pas non plus à l'esprit de toucher le linge pour voir s'il est sec hein" ben non je suis là pour ça. Là après ce qu'il s'est passé tu me laisses seule, sans même essuyer la vaisselle, j espère que tu ne croies tout de même pas que je vais le faire ! J'ai l'impression de passer derrière un gamin de 8 ans. A me considérer comme une boniche je vais finir par partir, tu iras avec les pimbêches de ta classe on verra si elles sont autant patiente que moi...

 

[Ta mère]

Je devais combattre contre moi même,et contre toi, je pensais avoir briser toutes tes règles, t'avoir tromper, menti et trahi, et je portais tellement de honte en moi, mais je sais désormais que je n'ai pas commis de faute. Mon âme c'est libéré de se poids.

 

[Cygnus]

Je vous aime. Prenez-moi avec vous, gardez-moi avec vous. Faites-moi rentrer dans votre monde, dans votre monde magique. Je veux vous suivre où que vous alliez. Je veux être dans votre vie, je veux tout voir, tout entendre de vous. Je vous aime. Vous me donnez des ailes, me faites respirer. J'adore cette sensation de liberté. Vous me faites vivre des choses merveilleuses. J'aime notre relation, j'aime votre respect, j'aime plus que tout, votre voix. Je veux dormir contre vous, je veux vous toucher, je veux vous connaître.

 

[Alba.H]

Aujourd'hui, je vais bien. Je suis de bonne humeur. Sans doute à cause de notre concept qui a fait l'unanimité. Ou alors parce que hier, je t'ai dit en partie ce que je gardais pour moi. Sur le coup, je me suis sentie ridicule et j'ai eu honte. Mais maintenant, j'ai l'impression d'avoir un poids en moins.
Tu as raison, je suis très différente des personnes de la promo, majoritairement féminine. Je n'aime pas parler ouvertement d'amour, de sentiment, de sexe. Sans doute, ai-je des tendances prudes. C'est juste que j'attend ces mots de quelqu'un d'autre, de quelqu'un qui les pensera réellement. C'est con, mais pour moi on ne plaisante pas avec l'amour, c'est comme la mort ou un autre sujet grave.
Et puis, je me rends compte que tu es vraiment un con. Je n'ai jamais voulu le voir mais purée, je ne sais pourquoi ce déclic et pourquoi maintenant. Qu'on se parle ou qu'on ne se parle pas, j'ai l'impression que ce sera pareil. Je me suis tellement prise la tête toute seule, qu'est ce que j'ai été con.

 

[Lace.Up]

J'aimerais lui dire que je le déteste de me faire autant de mal, qu'il n'as pas a se comporter comme il fait, que je le déteste d'avoir fait en sorte que je m'attache a lui et après s'éloigner, je lui en veut d'être si désagréable avec moi ces temps-ci. De n'être simplement plus là pour moi comme avant et de ne pas voir que je deviens folle sans lui et que je pète une durite à cause de toute cette pression autour de moi.

 

[doux-le-ciné]

plus qu'une semaine avant de retrouver tes bras, de fourrer mon nez dans ton cou, de se moquer l'une de l'autre, de se frapper, de rigoler comme des débiles dans raison juste parce qu'on est heureux d'être ensemble, se confier, se raconter nos vie. Plus qu'une semaine avant de voir ta sale petite tronche de blondinet, et ça me semble une éternité. Tu es de ces personnes qui sont mon chez moi alors qu'ici je me sens étrangère, vraiment il me tarde d'entendre ta voix si familière, de voir tes yeux bleus et ta façon débile de rougir quand tu rigole, tes dents de vampires, et ton look BCBG dont je me moque à longueur de temps. Tu me manques parce que j'ai besoin de retrouver mon chez-moi.
bref je t'aime