Tu n'es qu'un enfoiré.
Et je me le promets, plus aucune larme ne coulera à cause de toi, tu ne mérites même pas cette attention.
J'ai replongé en pensant que tu avais réalisé certaines choses, je t'avais prévenu que ce ne serait pas tout rose rapport à tout ce que tu m'as fait subir par le passé. Mais tes bonnes résolutions ont été de courte durée, je t'en ai trop demandé apparemment. Une toute petit erreur de ma part (sans aucune gravité) et tu m'ignores. Tu es d'une intransigeance qui me sidère!!! Alors que j'ai passé sur tellement de choses que tu m'as faites. Tu sais au fond de toi que je ne mérite pas ce comportement abject, tu sais que je suis celle qui aurait pu te rendre meilleur mais tu préfères te complaire dans ton égoïsme, faire le Mâle et refuser la moindre remise en question. Impossible de s'expliquer avec toi. Tu préfères l'ignorance, c'est tellement plus simple. Je dois donc rester avec toute cette colère en moi. T'envoyer un mail serait vain, tu ne le lirais même pas, ça me désole.
Tu n'es qu'un sale égoïste qui fait sa vie comme il l'entend que ça me plaise ou non. Tu n'étais qu'une source de stress, je suis tellement soulagée depuis que j'ai effacé toute trace de toi dans ma vie... Et pourtant je t'ai aimé, mais d'une force... J'ai été tellement bête!Tu étais incapable de me prouver que tu en voulais, que tu étais revenu pour quelque chose. Mais, bien sûr, je me prenais la tête pour rien, ça c'est sûr, j'étais la seule à me prendre la tête! Je ne t'ai jamais demandé la Lune, mais c'était déjà trop pour toi, il faut tout faire pour toi mais ne rien attendre en retour. Nos disputes résonnaient comme un dialogue de sourd, impossible de se mettre d'accord.
Alors je fais de nouveau ma vie seule, je suis indépendante, je n'ai pas besoin de toi, je te laisse dans ta connerie, il n'y a plus d'espoir de te faire évoluer, tu n'es vraiment qu'un pauvre mec. Tu as tout gâché, je préfère t'effacer de ma mémoire car je ne repense qu'aux mauvais moments. Je n'ai pas mérité ce que tu m'as fait subir, ça j'en suis persuadée, tu ne me détruiras pas. Adieu