Ce que j'aimerais lui dire...

[Seih]

J'aimerais lui dire :

[ul]
[li]qu'il est le plus beau à mes yeux.[/li]
[li]que j'aime sa façon de m'apaiser.[/li]
[li]que son sourire est le plus joli.[/li]
[li]que mon coeur lui est réservé.[/li]
[li]que je l'aime plus que tout au monde.[/li]
[li]que je crois en lui.[/li]
[li]que je crois en nous.[/li]
[li]et surtout qu'il me manque. [/li]
[/ul]

 

[Félix Nadar.]

J'avais tellement hâte d'être à dimanche et de faire une soirée spéciale pour fêter ensemble ton anniversaire. Mais finalement, je n'ai plus du tout envie. Je n'ai plus envie de me faire belle, de choisir avec soin mes vêtements et ma lingerie et de te voir.

Parce qu'après, on ne se reverra plus pendant un mois. Tu me l'as dit le plus naturellement du monde hier soir. Si tu savais combien de larmes ont coulé, jusqu'à en avoir mal à la tête.
Je n'ai rien dit quand on ne s'est pas vu pendant le ramadan. J'accepte ta religion, et surtout, je ne voulais pas te culpabiliser. Mais maintenant, j'ose te le dire : j'ai salement morflé pendant cette période. Tu n'as pas été là pour partager des moments très importants pour moi et voir tous ces couples profiter ensemble de l'été, ça me broyait le coeur.

Alors là, je sais très bien comment je vais morfler pendant le mois de septembre. Tu ne seras pas là pour ma rentrée en M1 qui m'angoisse énormément, tu ne seras pas là pour le départ de la nouvelle saison au théâtre qui s'annonce difficile à gérer, et tu ne seras pas là aux premières soirées. Avec un peu de chance, j'aurai droit aux "il est oùùù ton copain Félix Nadar ?  " des autres qui me laboureront le coeur.
J'imaginais déjà tout ce qu'on aurait pu faire pendant cette période. Les discussions sur mes premiers séminaires, les terrasses, les promenades à vélo avant que la fraîcheur d'octobre arrive, la surprise de venir sonner sans prévenir à ta porte après mon premier séminaire sur ton campus. Toutes ces idées, je les ai noyées sous mes larmes.

Tu m'en demandes beaucoup. Peut-être même de trop...

 

[Evony]

Je t'adore toi entièrement. Malgré la situation, je ne veux plus me cachées mes émotions. Tu réveilles tant de choses en moi, tu me fais un bien fou. Et j'aime ça.
Je sais que la situation n'est pas facile, parce qu'elle est là, parce que je suis pas prête à être en couple. Je suis encore un peu brisée, et je veux être bien pour être avec quelqu'un.

J’espère juste que le nous existera dans le futur, j'ai confiance en l'Univers. Je souhaite juste que les choses se passent dans l'ordre et que personne ne souffrent trop.
En attendant, je ferais tout pour être heureuse, je te parlerais toujours avec mon coeur, et je serais contente chaque moment que tu me consacreras.

 

[Kiwi-kiwi]

à M. : Tu m'as fait rêver pendant trois semaines, on s'est enfin vu un week end, et tu doutes de la suite. On ne s'est rien promis, mais pourtant il faut que tu "réfléchisses à si on se met ensemble ou pas".
Rien que pour le principe, tu sais déjà que ça sert à rien de réfléchir à se lancer dans une aventure.
Je t'ai laissé du temps, j'ai rencontré des gens. Dès que tu as senti que je t'échappais, tu finis par rappliquer fissa pour dire que tu veux essayer, que la seule chose que tu regrettera c'est d'avoir laissé passer cette histoire sans savoir ce que ça aurait pu donner.
Mais maintenant, t'es qu'un vieux con râleur qui passe ton temps à ne pas envoyer de message, à répondre 5 heures après, et quand tu réponds, c'est pour me dire que je suis relou et que je me prends la tête.
J'ai envie de croire que c'est une mauvaise semaine pour toi et que tu stresses pour tes entretiens, mais j'ai bien envie de t'envoyer chier aux quatre coins du monde.
J'ai l'impression d'être encore bien conne sur cette histoire.

à S. : J'aurai aimé discuter plus avec toi, passer plus que ces deux soirées extra, de pouvoir te dire que tu es quelqu'un qui me fascine et que j'aurai voulu continuer à être auprès du feu avec toi à essayer de trouver ton point faible.
Maintenant, c'est encore une fois difficile puisque tu ne parles PAS et que tu ne t'exprimes pas, bordel.
J'en ai marre de courir après les gens, je pense que je vais laisser tomber, encore une fois, si tu ne viens pas me chercher.

   

 

[lilimi]

J'aimerais lui dire...

T'es qu'un crétin. C'est tout.

 

[Seih]

J'aimerais lui dire :

" Je comptais sur toi pour me faire découvrir les plaisirs de la vie. Pour m'emmener en Irlande, en Allemagne, en Suède, en Norvège, tout comme on avait dit... Je comptais sur toi pour me rendre heureuse le plus longtemps possible... Je comptais sur toi pour tout me dire : tes joies, tes peines, tes désillusions, tes angoisses, ce qui pouvait te manquer, ce que je pouvais faire de mal... Je comptais sur toi pour ne pas m'abandonner et j'y croyais parce que tu me l'avais promis et surtout parce que j'avais confiance en toi... Je comptais sur toi pour oublier mes problèmes... Mais je crois que tu comptais trop pour moi et que je ne comptais pas assez pour toi... J'ai compté les jours qui me séparaient de toi... Cela fait désormais plus d'un mois que tu ne donne aucun signe de vie, aucun petit message, aucun petit appel... Rien. Alors j'ai arrêté de compté. "

 

[Evony]

Je te pardonne, c'était de bien beaux mensonges.

 

[Delah]

Préviens moi s'il faut que je t'oublie, histoire que je prenne de l'avance..

 

[morgus]

Tu vas me manquer je crois ...

 

[Amy-Amy]

j'aimerais te dire que même si presque rien ne s'est passé entre nous, ce "presque rien" m'a dévasté le coeur...
que depuis ce "presque rien", je me sens comme une naufragée, perdue au milieu de nulle part... que depuis ce "presque rien" je ne fais que survivre... et j'aimerais te dire que j'attends un signe de toi qui, je sais ne viendra jamais... j'aimerais pouvoir te dire, sans mentir, que je t'ai oublié...

 

[Whats]

Je ne comprends rien à ce que tu fais. Je ne sais pas pourquoi tu reviens vers moi comme ça par instants, alors que chaque fois c'est un échec. Si tu veux qu'on soit amies, très bien, propose qu'on se voie, pose des questions, alimente la conversation (plus qu'un "ça va?" une fois par mois). Si tu ne veux pas, très bien, arrête. Mais là vraiment, ça me fait de la peine ces conversations avortées, tentatives minables de retrouver ce qu'on avait avant et qui ne pourra jamais revenir.

 

[marion##]

Honnêtement, ce n'est pas qu'un jeu pour moi. Je ne sais pas comment tu as fait, il y a encore quelques mois je ne me retournais même pas sur toi. Aujourd'hui, tu m'obsèdes.
Bien joué, tu as gagné.