Je ne sais pas si c'est grâce à toi où si tu as simplement été comme un ressort... Mais je me sens élancée, comme ranimée et vivante. Je souris, je ris à la vie. Je retrouve ma créativité, mon souffle musical, mes mots et mes écrits. Mes mains maladroites, mais qui essayent à l'envi. Vainement. J'en perds mon souffle de ne plus me complaire dans mes rituels quotidiens. Eux, qui m'ont fait croire que je n'existais que comme ça. Que pour ça. Je me surprends à m'en délester tout naturellement, sans même y songer vraiment. Ils ne sont pas moi ; ils n'étaient pas de mes profondeurs réelles.
Alors je me redécouvre, comme une fleur qui s'ouvre sous les rayons lumineux du soleil matinal. D'un bourgeon en pleine éclosion. Où, pendant tout ce temps où je m'échappais à moi-même, où je m'éteignais doucement dans l'ombre d'un sourire fade, d'un rire perdu, d'un visage muet, j'ai cru exister. "Le plus timide des bourgeons est la preuve qu'il n'y a pas de mort réelle." De toutes ces envies qui m'attirent, d'aucune ne m'échappera à présent. Ma vie comme un voyage de souvenirs, tapissée des émotions les plus riches. Je ne laisserai plus rien filer. Encore moins la guérison qui semble s'être accrochée à moi pour m'imprégner de toute la splendeur et l'enchantement de la vie. Car le monde est riche et profond. Croyons-le où non.
Alors je me redécouvre, comme une fleur qui s'ouvre sous les rayons lumineux du soleil matinal. D'un bourgeon en pleine éclosion. Où, pendant tout ce temps où je m'échappais à moi-même, où je m'éteignais doucement dans l'ombre d'un sourire fade, d'un rire perdu, d'un visage muet, j'ai cru exister. "Le plus timide des bourgeons est la preuve qu'il n'y a pas de mort réelle." De toutes ces envies qui m'attirent, d'aucune ne m'échappera à présent. Ma vie comme un voyage de souvenirs, tapissée des émotions les plus riches. Je ne laisserai plus rien filer. Encore moins la guérison qui semble s'être accrochée à moi pour m'imprégner de toute la splendeur et l'enchantement de la vie. Car le monde est riche et profond. Croyons-le où non.