Célibattantes !

4 Mars 2014
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Coucou @MorganeGirly, je suis hyper choquée par ton récit, la violence de cette psy est incroyable :O ça me fait mal au cœur pour toi, tu n'as clairement rien fait de mal et tu as au contraire l'air d'être une patiente géniale pour une psy, tu es quelqu'un capable de réfléchir sur soi, d'entendre la contradiction, tu as toujours un discours fin et nuancé... moi je pense que si tu trouvais un bon psy tu avancerais super vite avec lui. Mais les deux dont tu as parlé sont gratinées au possible !

Là par exemple ta psy avec ses histoires de conflit entre la tête et le corps, ça ne fait vraiment pas professionnel, on s’attendrait presque à ce qu’elle te sorte des références bullshit genre « les cinq blessures de l’âme ». C’est plutôt le niveau théorique d’un coach que d’un psy j’ai l’impression. Et un coach va être impuissant face à ton cas puisque ton problème n’est pas assez basique pour lui (comme ton autre psy qui s’acharnait à te proposer des solutions pour rencontrer des gens alors que ce n’est pas ça qui te pose des difficultés). Tu es une personne complexe et intelligente et ces coach/psy tentent de te mettre dans leurs petites cases habituelles pour savoir comment traiter ton cas selon leurs petites recettes magiques qu’ils ont l’habitude d’appliquer… sans du tout prendre en compte ta personnalité et ton histoire de vie. Et du coup ça coince parce que tu oses bien leur faire remarquer que tu ne rentres pas dans leur idée préconçue de qui tu es et que tu remarques la supercherie de leur pratique en fait, la légèreté de leurs propositions, l’inconsistance de certaines choses qu’ils disent etc. J’émets même l’hypothèse qu’ils se sentent inconfortables face à toi car ils ont peur que leur incompétence soit percée à jour (ou alors, ils sont dans le déni de leur incompétence tant ils croient leurs saints percepts, je sais pas ce qui est pire).

Déjà, si tu es dans le déni sur certaines choses, je pense qu’aucun psy qualifié n’essayerait de lever ton éventuel déni dès la première séance, en s’y prenant juste frontalement comme ça, aucune chance que cela fonctionne… Si tu rejettes ce qu’elle dit, c’est peut-être aussi à elle de se remettre en question sur la manière et le moment où elle te l’a dit, c’est ce qu’on fait quand on est psy normalement, pas engueuler son patient !
Et la psy qui se vante de garder les cas difficiles et de refiler les cas faciles à ses collègues, perso ça m’interroge pas mal.
Et puis plein de gens vont chez le psy justement parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils veulent, c’est tout à fait normal et non critiquable.

Et le summum, le discours de la psy qui sait t’emmener jusqu’à ta vie idéale (mais qui ne le fera pas parce que tu n'as pas été une bonne patiente sage qui lui dit ce qu'elle veut entendre --'), ça devient limite une gourou non ? Un psy ça va t’aider à te comprendre, à savoir pourquoi c’est si dur pour toi d'être seule amoureusement, d’où ça vient et ça pourra te donner des pistes pour apaiser un peu la douleur, mais un psychologue ce n’est pas censé donner des conseils. Juste (et c’est déjà beaucoup) t’aider à te comprendre, à comprendre les éventuels schémas négatifs que tu répètes par exemple pour te donner la liberté de t’en extraire une fois que tu les comprendras et déceleras mieux. Mais c’est pas miraculeux. Un psy qui a un discours si séduisant, je me méfierais pas mal.

Je pense qu’au vu de la problématique sur laquelle tu veux travailler, les TTC ne sont vraiment pas l’indication idéale. C'est trop ciblé "résolution de problème précis". Perso, je t’aurais plutôt conseillé la psychanalyse, en choisissant une orientation et une personne qui te « plaît » dans sa présentation (beaucoup de psy ont un site internet où ils expliquent leur parcours, leurs principales références théoriques, les formations qu'ils ont suivis (attention là aussi, beaucoup de formation bullshit, rien ne vaut les formations universitaires)). La psychanalyse ne nécessite pas de diplômes, donc pour être sûre d’avoir quelqu’un de bien, il vaut mieux choisir quelqu’un avec une formation universitaire de psychologue ou de médecin. La notion de thérapie existentielle (qui n'est pas une approche à elle seule mais se rajoute à une autre approche) pourrait aussi te parler je pense. Ou simplement un bon psychologue d'orientation psychanalytique.
Je crois savoir que tu es à l’étranger, je te conseille aussi fortement de suivre une thérapie dans ta langue maternelle, même si tu as un très bon niveau dans la langue de ton pays d’accueil. Ça ne sera jamais la même chose d'utiliser en thérapie les mots de la langue de notre enfance, de nos parents, chargés d'affects et d'histoire, plutôt que les mots d'une langue avec laquelle on a développé une relation plus tardivement.

Et dans tous les cas, tu as le risque de tomber sur une personne avec qui ça ne matche pas voire clairement incompétente ou nocive, écoute-toi et fais-toi confiance. Si tu ne le sens pas, tu as sûrement raison. Oui une thérapie peut être inconfortable et dure mais si tu trouves des choses anormales, il y a de bonnes chances que ce soit le cas.

C’est presque aussi difficile de trouver un bon psy que de trouver un bon mec en fait je crois x).

Tiens, petit aparté lecture, si jamais tu veux voir ce qu'est un psy d'orientation existentielle bienveillant, tu peux lire "L'art de la thérapie" ou certains autres livres de Irvin Yalom. Il relate des échanges entre lui et ses patients, ça permet de se rendre un peu compte d'à quoi peut ressembler une thérapie de type existentiel.

Sorry c’est un peu décousu j’ai réagi à vif mais vraiment ça m’enrage de voir des personnes sortir de chez le psy plus mal qu’elles y sont rentrées (sauf dans le cas où c’est parce que des choses douloureuses sont travaillées en séance bien sûr) parce que le psychologue leur tient un discours complétement inadapté et violent. Au moins essayer de ne pas nuire aux patients, merde, c’est la base.

Courage à toi Morgane, je te lis depuis des années et je trouve que tu as l’air d’être une fille méga géniale alors haut les cœurs, tu vas bien finir par trouver un bon psy si tu continues à chercher ! :highfive:
 
25 Février 2014
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Nantes
@MorganeGirly
Wow, c'est super violent :eh: à la lecture, j'avais vraiment l'impression de lire le processus d'un gourou qui appuie sur les failles d'une personne, cherche à détruire tout ce qui est sûr et stable (exemple de ta relation avec tes parents) pour en faire une personne qui n'a plus confiance en elle-même ni son jugement, deviens ultra malléable pour rejoindre une secte qui va tout te réapprendre :eh:
Le seul truc qui la sauve d'être un gourou, c'est d'avoir mis fin d'elle même aux futurs rendez-vous, au moins elle cherche pas à te détruire sur du long terme :lunette:

Mais vraiment, ne tient pas compte de cette séance, c'est abusé comment ça s'est passé. Déjà c'est super étonnant que la thérapie commence si ''tôt''. J'ai testé plusieurs psy et la première séance voire les deux premières étaient plutôt là pour me présenter, dire pourquoi je venais, mon historique, etc je me souviens pas avoir déjà des suggestions alors qu'on discute depuis 20min et que la meuf me connait pas quoi.

Par contre je suis pas d'accord avec ma VDD, selon moi tu devrais continuer de tenter en TCC :P
De ce que j'en vois, c'est très efficace pour identifier des ''blocages'' et leurs origines
 
4 Mars 2014
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@Margay @Tofumaki Ahah, je vois que mon manque d'amour pour les TCC s'est un peu fait sentir... Mais vous avez raison, si @MorganeGirly n'est pas emballée par la psychanalyse, qu'elle s'oriente vers autre chose, il faut qu'elle choisisse ce qui lui parle le plus ! Et les TCC peuvent être efficaces aussi.
Puis au final, les études ont de plus en plus tendance à montrer que l'orientation théorique du thérapeute n'est pas la chose la plus importante pour l'avancement de la thérapie. Ce sera plutôt l'adéquation entre le thérapeute et le patient et la création d'une bonne alliance thérapeutique qui vont avoir un effet thérapeutique. Et pour cela, il vaut mieux que le patient choisisse ce qui résonne le plus pour lui.
 
16 Janvier 2022
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@MorganeGirly
Déjà, je n'avais pas vu tes questions à la fin du message où tu m'as mentionnée...
En fait je ne saurais pas trop quoi répondre exactement car mes besoins en terme de psy ont changé avec le temps. Quand j'étais jeune, je détestais les approches frontales car je me depréciais beaucoup (du fait d'une grosse dépression) (ce qui montre que l'approche de ta nouvelle psy n'a aucun sens car une personne dépressive est souvent passive face à son état et très fragile par rapport aux retours des autres mais bon !), je prenais les remarques assez mal et j'avais surtout besoin de réassurance et d'optimisme. Aujourd'hui au contraire je suis prête à entendre des choses plus "honnêtes" et plus fortes, mais ça reste dans une certaine limite, car si j'adhère toujours beaucoup à la thérapie je ne veux pas non plus en chier.
Alors sinon, euh, pour ta nouvelle thérapeute, comment dire... Je suis désolée pour toi que tu aies eu deux si mauvaises expériences ! Malheureusement les psys pourris existent. Une fois il y en a une qui, après avoir beaucoup parlé avec moi de mon manque de confiance en mon physique, quand j'ai dit que j'étais une personne drôle et que j'utilisais beaucoup l'humour, avait répondu "forcément, pour compenser", avec un air du genre "quelle évidence". Je l'avais tellement mal pris qu'aujourd'hui je m'en souviens encore, à la fois parce que je me demandais si elle n'était pas en train de me sous-entendre que j'avais réellement un physique ingrat, et si non, parce que je trouvais odieux de me résumer si simplement avec un air de je sais tout.
Pour côtoyer des psys dans ma vie pro et perso, donc, je pense vraiment que c'est une discipline tellement vaste en terme de courants théoriques et de personnalités qu'il y en a sûrement beaucoup de "nuls".
Vraiment, je n'arrive pas à comprendre comment on peut dire à quelqu'un qu'on ne peut pas l'aider pour ces raisons là et de cette manière là, comment on peut laisser quelqu'un repartir de son bureau découragée et sans contacts avec d'autres pros. Ne pas savoir exactement pourquoi on consulte, ne pas prendre tout de suite tous les conseils donnés (et en plus ses conseils sont merdiques, c'est quoi le délire sur la tête et le coeur...), ne pas savoir comment se dépatouiller de sa vie, c'est juste normal et c'est ce que doivent raconter la plupart des gens en début de thérapie. Son approche est juste lunaire. En plus son discours est plein de poncifs de dev personnel, il fallait qu'elle fasse coach plutôt que psy, elle n'est pas là pour aider des personnes dépressives, anxieuses ou schizophrènes ou j'en passe à devenir la meilleure version d'eux-mêmes, elle est là pour les aider, les soigner ! C'est quoi cette vision de la psychologie ? Je me demande dans quel pays tu es du coup ! Et quelles ont été ses études puis sa pratique. Elle est mise en difficulté par quelque chose de très simple et basique... Comment elle m'aurait reçue les jours où j'étais pleine d'idées suicidaires et où ma dépression me clouait au lit ? Elle m'aurait dit que je ne voulais pas changer ? C'est juste horrible, le pire qu'on puisse dire à quelqu'un qui demande de l'aide psychologique !
Ne perd en tout cas pas espoir, là où je vis j'ai fait plusieurs expériences négatives avant de trouver ma psychologue et ma psychiatre actuelles qui sont vraiment chouettes. Si un jour le courant passe bien avec l'une d'entre elles, peut-être même que tu pourras parler de ces expériences pour clarifier dès le début les bases.
 
Dernière édition :
23 Décembre 2012
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Merci beaucoup beaucoup pour toutes vos réponses!

Je ne sais pas comment ça marche physiologiquement quand on pleure, mais cette session psy m'a fait pleurer de la manière bien chiante ou après on a les yeux gonflés pendant des heures et un mal de crâne horrible jusqu'au lendemain, du coup, ça m'a un peu pourri la journée :yawn: Mais vraiment, je sais pas pourquoi je peux pleurer élégamment devant un film romantique telle une héroïne de série qui a les larmes grâcieuses sans aucune conséquence et me retrouver avec un mal de tête intense et le nez rouge toute la journée parce que j'ai pleuré d'autres fois, je sais PAS COMMENT CA MARCHE!!! :yawn:

En tout cas, merci pour tous vos retours.

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Bref, merci pour tous vos retours et pistes, notamment pour ton message complet @Midnight Rain. J'avoue que je n'avais pas du tout considéré les approches analytiques car j'en ai une image de discipline un peu bidon, mais je n'y connais rien en vrai! Je me souviens juste avoir lu un extrait d'un bouquin de Freud quand j'étais au collège et d'avoir trouvé révoltant et sexiste sur ce qu'il racontait sur le complexe d'OEdipe et le désir de pénis des petites filles :yawn: Donc dans ma tête, c'était pas très sérieux, mais j'imagine que c'est pas aussi caricatural que ça, et peut-être que je devrais m'y ouvrir avec moins de clichés:yawn:

C'est quand même pas un exercice facile je trouve que de s'ouvrir aux séances avec un psy! Je réalise qu'il y a des sujets dont je ne parle pas trop par rapport à ma vie amoureuse que je ne me verrais pas aborder du tout avec un psy avant d'en avoir parlé à quelqu'un d'autre avant, car j'aurais trop peur de ce qu'elle pourrait me dire, de sa réaction, etc., et je me sentirais plus à l'aise si j'en ai déjà discuté ici ou avec des amis au préalable. C'est pas forcément hyper logique, j'imagine :yawn: Ou peut-être que quand j'aurais confiance dans un psy, ça me paraitra moins délicat :hesite:
 

Clèves

Risque psycho-social
12 Mars 2018
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Je sais pas trop si ce message a sa place ici, mais en fait après plusieurs années à m'acharner en vain, je crois qu'il faut que je me rende à l'évidence : les applis de rencontre, c'est pas pour moi. Je crois que la toute première fois que je me suis créé un compte sur l'une d'entre elles, c'était OkCupid en 2015. Depuis, je retente le coup de temps à autres, j'en ai testé plusieurs, mais rien à faire : ça n'a jamais marché, je n'ai jamais eu ne serait-ce qu'un seul date (alors que je pense honnêtement que mon profil est attirant et que j'ai un nombre raisonnable de match), je trouve les conversations ultra laborieuses. Je n'ai rien à dire à ces personnes, en fait. Au bout de deux messages échangés, j'en ai déjà marre. C'est pas de leur faute, les pauvres, je suis sûre que ce sont des gens très intéressants (ou pas, d'ailleurs, mais en tout cas mon manque d'entrain pour échanger vient de moi, pas d'eux :lol:). Je pense que ce mode de rencontre ne me convient tout simplement pas, en fait. J'ai pourtant pas mal d'exemples de couples qui se sont rencontrés sur Tinder ou autres, et des couples qui fonctionnent, en plus, mais en ce qui me concerne je crois que ça ne marchera pas comme ça. J'ai besoin d'avoir la personne en face pour ressentir une connexion avec elle, de lui parler, de sentir une étincelle, une alchimie, avec nos regards qui se croisent, etc, bref, tout ce qui n'est pas possible avec des inconnus par écran interposé.

Je suis un peu dépitée d'avoir à faire ce constat, parce que c'est quand même le mode n°1 de rencontres de nos jours, donc je pense que je vais rester célibataire encore pas mal de temps (et au-delà de ça, le sexe avec un partenaire me manque beaucoup :sweatdrop:), mais en même temps c'est super libérateur de m'avouer que j'ai toujours détesté ça et donc que je ne vais pas m'infliger plus longtemps un truc qui me barbe complètement.
 
30 Août 2014
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@Clèves

Comme je te comprends! Je suis de nouveau célibataire depuis 2 mois et je me dis que j'aimerai bien re-rencontrer quelqu'un (ne serait-ce que pour me changer les idées). Mais quand je me dis que le meilleur moyen c'est les appli de rencontre : au secours ! J'en garde un mauvais souvenir, avec exactement le même ressentit que toi. L'impression de n'avoir rien à dire, du mal à connecter avec quelqu'un que je ne vois pas... Sauf que j'avais essayé quelques dates à l'époque. Et c'était pire! Se retrouver coincer une ou deux heures avec un mec gentil comme tout mais où tu vois dès le début que ça ne collera pas...

Ca me dépite un peu que me dire qu'au final, je devrais probablement me réinscrire parce que c'est le moyen le plus "facile" de rencontrer des gens...
Mais tu as raison! C'est courageux de réussir à avouer que ce n'est pas pour toi. Car quand on est célibataire, si on s'en plaint, c'est toujours la même réflexion "mais t'as essayé les applis de rencontre?" et si tu dis non ou que tu n'aimes pas, on considère que tu ne fais pas d'effort pour rencontrer quelqu'un...
 
4 Décembre 2012
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@Clèves C'est marrant moi j'ai peu de personnes dans mon entourage pour qui les app de rencontre ont mené à une relation sérieuse et épanouie. Ce qui est top pcq moi aussi j'ai fini par m'avouer que j'aimais pas ça DU TOUT utiliser ces applications, et donc ne pas avoir trop d'exemples qui contredisent mon opinion m'aide à tenir bon :cretin: j'étais pas rassurée au début j'avoue, je me disais que j'allais rencontrer personne dans la vraie vie! que justement à cause de ces app qui ont redéfini les règles du dating depuis 10 ans, les gens n'osent même plus trop parler à qqn qui leur plaît dans la vraie vie, car ça fait peur et tout.
Bah franchement, en 6 mois, j'ai rencontré 1 mec qui me plaisait au travail, 1 dans un bar et 1 autre dans ma salle de sport, tous célibataires! Alors je veux bien admettre que j'étais à l'étranger donc étant considérée comme + exotique j'avais effectivement de base plus de succès qu'en France, mais quand même, ça me redonne foi dans une vie Tinder-free hehe!
 

Clèves

Risque psycho-social
12 Mars 2018
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@Théa-Lou Ah oui c'est drôle car pour moi c'est vraiment l'inverse, dans mon entourage j'ai l'impression que c'est un peu vu comme LA solution (relativement) facile pour trouver quelqu'un quand on en a marre d'être seul.e, et c'est pour ça que je me suis forcée aussi longtemps ! Je me disais qu'à force de persévérance, ça finirait par payer, résultat j'en suis au point où j'ai plus aucune envie de faire des efforts :yawn: (sur ces applis, pas dans la vraie vie)

En tout cas, ton message me redonne un peu espoir dans le futur (oui, carrément :drama:), car je sors quand même relativement souvent et j'ai un cercle social assez large, donc ça finira bien par payer, zut à la fin:vex:
 

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