Alors, on s'est donc vus hier soir...
J'ai ressenti un petit creux au bas du ventre quand je l'ai vu... on s'est posés dans un parc. Il a tout de suite commencé en disant "Je suis désolé de la façon dont ça s'est passé". Et puis, on a discuté pendant deux heures... Il m'a dit qu'il n'avait jamais été célibataire longtemps depuis ses 17 ans (il en a 29, et il a eu trois relations de quatre ans, avec des périodes de célibat très courtes entre chaque relation). Qu’il ne savait pas exactement ce qu’il ressentait, mais qu’il avait l’impression de ne pas ressentir ce qu’il serait supposé ressentir. En gros, qu’il n’avait peut-être pas l’impression que j’étais « la bonne ». Qu’il avait l’impression qu’il devait prendre du temps pour lui, pour être seul, parce que c’était peut-être juste qu’il avait peur d’être seul. Qu’il se sent bien avec moi, que c’est toujours le cas, mais qu’il ne sait pas si c’est suffisant pour une relation durable. Il m’a dit que « Sur le papier, tout est là… mais… » Et puis aussi, il ne veut pas dépendre de quelqu’un… Il m’a dit qu’il avait peut-être juste flippé aussi… Qu’il avait bien vu que j’y croyais plus que lui…
Donc voilà, on s’est dit beaucoup de choses, de belles choses aussi, qu’on était contents de s’être rencontrés, d’avoir fait un bout de chemin ensemble… Il m’a dit que je ne devais pas douter de moi, que peut-être que oui, ça aurait pu continuer, mais qu’avec des si, on pouvait tout imaginer… Qu’il a pensé beaucoup à moi, mais qu’il pensait toujours que c’était la meilleure décision, qu’il ne voulait pas me mettre dans une position d’attente…
Voilà… je suis soulagée d’avoir pu lui parler, d’avoir pu terminer cette relation plus « doucement ». Je suis déçue, évidemment, et un peu découragée, parce que mes histoires finissent toujours ainsi : « T’es vraiment super, mais je ne suis pas amoureux… ». Je n’y crois plus, en fait. J’avais l’impression de pouvoir me « lâcher » un peu avec lui… mais non. Pas encore. Je sais bien que c’est une question de timing, de personne… mais j’en ai marre.
Vous savez tout... je pense que je n'aurais pas pu faire grand-chose de plus, non ? Que pensez-vous de tout ça ?
J'ai ressenti un petit creux au bas du ventre quand je l'ai vu... on s'est posés dans un parc. Il a tout de suite commencé en disant "Je suis désolé de la façon dont ça s'est passé". Et puis, on a discuté pendant deux heures... Il m'a dit qu'il n'avait jamais été célibataire longtemps depuis ses 17 ans (il en a 29, et il a eu trois relations de quatre ans, avec des périodes de célibat très courtes entre chaque relation). Qu’il ne savait pas exactement ce qu’il ressentait, mais qu’il avait l’impression de ne pas ressentir ce qu’il serait supposé ressentir. En gros, qu’il n’avait peut-être pas l’impression que j’étais « la bonne ». Qu’il avait l’impression qu’il devait prendre du temps pour lui, pour être seul, parce que c’était peut-être juste qu’il avait peur d’être seul. Qu’il se sent bien avec moi, que c’est toujours le cas, mais qu’il ne sait pas si c’est suffisant pour une relation durable. Il m’a dit que « Sur le papier, tout est là… mais… » Et puis aussi, il ne veut pas dépendre de quelqu’un… Il m’a dit qu’il avait peut-être juste flippé aussi… Qu’il avait bien vu que j’y croyais plus que lui…
Donc voilà, on s’est dit beaucoup de choses, de belles choses aussi, qu’on était contents de s’être rencontrés, d’avoir fait un bout de chemin ensemble… Il m’a dit que je ne devais pas douter de moi, que peut-être que oui, ça aurait pu continuer, mais qu’avec des si, on pouvait tout imaginer… Qu’il a pensé beaucoup à moi, mais qu’il pensait toujours que c’était la meilleure décision, qu’il ne voulait pas me mettre dans une position d’attente…
Voilà… je suis soulagée d’avoir pu lui parler, d’avoir pu terminer cette relation plus « doucement ». Je suis déçue, évidemment, et un peu découragée, parce que mes histoires finissent toujours ainsi : « T’es vraiment super, mais je ne suis pas amoureux… ». Je n’y crois plus, en fait. J’avais l’impression de pouvoir me « lâcher » un peu avec lui… mais non. Pas encore. Je sais bien que c’est une question de timing, de personne… mais j’en ai marre.
Vous savez tout... je pense que je n'aurais pas pu faire grand-chose de plus, non ? Que pensez-vous de tout ça ?
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