Bon, durant cette deuxième moitié du mois, je n'aurais lu que deux livres entrant dans les catégories, mais on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a. 
4. Un classique adulte : La Lettre écarlate (Nathaniel Hawthorne)
Pour être tout à fait honnête, en lisant les critiques sur ce livre, je me suis demandée si je n'avais pas surestimée cette histoire, mais c'est pas grave, on s'en fout, le principal étant que je l'ai beaucoup aimé. Cette histoire se déroule peu de temps après la colonisation de l'Amérique par les puritains... et la mentalité qui va avec.
L'héroïne va d'ailleurs en subir les frais car elle a trompé son mari... qui était lui-même introuvable et dont personne n'était capable de situer sa tête.
Hester, c'est le nom de la jeune femme qui fait preuve d'un courage inouïe comparé aux deux autres qui se vautrent dans la faiblesse, la lâcheté et la vengeance. Bref, psychologiquement parlant, c'était intéressant.
10. Un livre dont la couverture est verte : Ecoutez nos défaites (Laurent Gaudé)
Je me suis rendue compte que j'avais écrit une chronique sur ce livre bien plus élogieuse que je ne le pensais vraiment. Il est intéressant, ce n'est pas le problème, mais il manque quelque chose. (peut-être un peu d'émotion ?) Sans compter que j'ai commencé à accrocher au bout de cent pages. Laurent Gaudé écrit toujours aussi bien mais c'est la première fois où j'ai l'impression que l'auteur a échoué quelque part.

4. Un classique adulte : La Lettre écarlate (Nathaniel Hawthorne)
Pour être tout à fait honnête, en lisant les critiques sur ce livre, je me suis demandée si je n'avais pas surestimée cette histoire, mais c'est pas grave, on s'en fout, le principal étant que je l'ai beaucoup aimé. Cette histoire se déroule peu de temps après la colonisation de l'Amérique par les puritains... et la mentalité qui va avec.


10. Un livre dont la couverture est verte : Ecoutez nos défaites (Laurent Gaudé)
Je me suis rendue compte que j'avais écrit une chronique sur ce livre bien plus élogieuse que je ne le pensais vraiment. Il est intéressant, ce n'est pas le problème, mais il manque quelque chose. (peut-être un peu d'émotion ?) Sans compter que j'ai commencé à accrocher au bout de cent pages. Laurent Gaudé écrit toujours aussi bien mais c'est la première fois où j'ai l'impression que l'auteur a échoué quelque part.
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