J'ai toujours joué la carte de l'honnêteté pendant mes entretiens et dans mes CV, et ça m'a toujours été utile. Très récemment j'ai fais un entretien pour un boulot dans un gros réseau. On m'a demandé "Vous sentez-vous capable de mener tel type d'atelier ?" j'ai répondu que honnêtement ce type d'atelier ce n'était pas du tout ma tasse de thé. Je n'ai pas été prise pour ce poste parce qu'il cherchait quelqu'un pour spécifiquement ce type d'atelier. Mais ils ont appréciés d'autres éléments de mon profil, ainsi que ma transparence, et m'ont rappelé quelques semaines plus tard pour me proposer un poste qui me convenait parfaitement. L'honnêteté a payé, j'aurai été très mal si on m'avait prise pour une tâche que je ne sais pas faire (et pour laquelle je n'ai aucune envie de me former), et eux ce serait très vite aperçu de la supercherie.
J'entends parfaitement que dans des situations très tendues ou dans certains secteurs il faille mentir pour pouvoir subvenir à ses besoins, mais n'en faisons pas une génralité pour autant. On a toujours le choix de nos stratégies, et perso je préfère rester honnête, pas parce que j'ai une grande noblesse ou quoi que ce soit, mais juste parce que l'idée de faire un taff que je ne maîtrise pas me terrifie. Je préfère me voir refuser un poste parce qu'il n'est pas fait pour moi, qu'il ne me correspond pas et que j'y serai mal, plutôt que d'être prise, de faire du mauvais travail et donc de mal me faire voir par les personnes qui m'ont fait confiance.
Et évidemment qu'on enjolive un peu les choses par moment, ou qu'on peut faire preuve d'assurance alors qu'on a pas non plus exécuté dix milles fois une tâche, mais bon pour moi ça c'est pas du mensonge, pas comme le collègue dont parle le témoignage qui pour le coup a vraiment menti. Maintenant dans les commentaires au-dessus, ce qu'on remarque c'est que les gens qui ont menti se sont finalement avéré compétent sur leur poste, ou se sont formés au fil de l'eau et n'ont pas été des poids pour leur collège, et c'est ça la différence avec le collègue du témoignage. Dans le cas de figure où le mensonge entraîne des complications pour les autres employés, et pénalise tous le monde, je trouve ça pas terrible.
J'entends parfaitement que dans des situations très tendues ou dans certains secteurs il faille mentir pour pouvoir subvenir à ses besoins, mais n'en faisons pas une génralité pour autant. On a toujours le choix de nos stratégies, et perso je préfère rester honnête, pas parce que j'ai une grande noblesse ou quoi que ce soit, mais juste parce que l'idée de faire un taff que je ne maîtrise pas me terrifie. Je préfère me voir refuser un poste parce qu'il n'est pas fait pour moi, qu'il ne me correspond pas et que j'y serai mal, plutôt que d'être prise, de faire du mauvais travail et donc de mal me faire voir par les personnes qui m'ont fait confiance.
Et évidemment qu'on enjolive un peu les choses par moment, ou qu'on peut faire preuve d'assurance alors qu'on a pas non plus exécuté dix milles fois une tâche, mais bon pour moi ça c'est pas du mensonge, pas comme le collègue dont parle le témoignage qui pour le coup a vraiment menti. Maintenant dans les commentaires au-dessus, ce qu'on remarque c'est que les gens qui ont menti se sont finalement avéré compétent sur leur poste, ou se sont formés au fil de l'eau et n'ont pas été des poids pour leur collège, et c'est ça la différence avec le collègue du témoignage. Dans le cas de figure où le mensonge entraîne des complications pour les autres employés, et pénalise tous le monde, je trouve ça pas terrible.