Culture du viol, consentement et « zone grise »

24 Janvier 2013
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@Yehudi Ben le problème quand on a trop bu d'alcool c'est qu'on n'est pas complétement maître de soi. Donc même si on est en état de parler, on pourrait consentir à un acte, chose qu'on ne ferait pas complétement sobre. Comparons une relation sexuelle à une opération chirugicale. Je pense qu'on sera tous d'accords pour dire qu'une personne qui a consenti à une opération sous l'influence d'alcool ou de drogue n'a pas vraiment consenti. Après effectivement c'est plus compliqué lorsque les deux partenaires sont bourrés :erf:. L'un pas tellement en état de consentir, l'autre pas en état de s'assurer que l'autre est consentant. Maintenant il me semble que ce qui se produit plus souvent, ce sont des hommes sobres ou presque qui ramènent des filles bien bourrée chez eux (et à dessein souvent).
D'ailleurs ton message est contradictoire, tu dirais à une fille qui était bourrée mais pas trop qui dit avoir été violée qu'elle ne devait pas boire autant, mais pas à une fille qui serait presque dans le coma? Donc il faut soit ne pas boire, soit boire pour être ivre morte?
Lorsqu'il y a une personne dont le consentement est floutée, il faut partir du principe que c'est NON, pour ne pas avoir qu'elle ait à regretter le lendemain.
 
13 Janvier 2011
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Lille
@Astipalaya : Oui le problème c'est quand les deux sont bourrés, parce que dans ce cas là le mec pourrait très bien aussi dire qu'il a été violé. En fait je trouve la frontière très mince quand les gens ont bu entre viol et pas viol.
"D'ailleurs ton message est contradictoire, tu dirais à une fille qui était bourrée mais pas trop qui dit avoir été violée qu'elle ne devait pas boire autant, mais pas à une fille qui serait presque dans le coma? Donc il faut soit ne pas boire, soit boire pour être ivre morte?" Non en fait ce que je voulais dire c'est que des fois j'ai l'impression que les filles qui regrettent se cherchent ne excuse dans l'alcool, je n'irai pas dire ça à une fille qui était totalement inconsciente puisqu'elle n'avait pas la possibilité de choisir. Enfin j'ai du mal avec les gens qui boivent trop en général, mais une fille (ou un mec !) qui n'était plus en état de choisir et qui donc a été violée je vais pas aller la blâmer... J'arrive pas à m'expliquer en fait.
 
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Réactions : clarinette90
12 Octobre 2013
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CAEN
jesuispes.tumblr.com
"NB : le devoir conjugal n’implique pas de céder à son partenaire quand il le décide. Ça implique d’avoir des relations sexuelles, mais certainement pas sur commande"
Je suis pas sure de bien avoir compris mais est-ce que ça veut dire que lorsqu'on est marié on est obligé d'avoir des relations sexuelles ? Genre on est obligé d'être consentant à un moment ? Parce que moi je lis : "le devoir conjugal [...] implique d'avoir des relations sexuelles" :annoyed:
 
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Réactions : Daily et Calleigh.
22 Mai 2012
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Agatyou : Ce n'est pas ce qu'elle veux dire, c'est ce que dit la loi. C'est une loi tombée en désuétude, mais certaines personnes craignant d'avoir des choses à se reprocher entre bros le ressortent en 2014 encore.
 
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Réactions : Shiera S
23 Août 2013
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strasbourg
Coucou,

j'ai trouvé cet article fort intéressant, ainsi que les réponses. Une question cependant me taraude, à quel moment l'homme n'est pas violeur? Car si la culture du viol est mal perçue, j'ai le sentiment que le terme violeur apparaît rapidement, sans réelle nuance.
Je m'explique: une des jeunes filles raconte que son ex a couché avec elle alcoolisée alors que lui était sobre, dans ce cas, je ne peux pas voir autre chose que du viol, mais dans le cas du couple lambda qui entame une partie de jambes en l'air, où finalement la fille ne veut pas, ne le signifie pas et donc l'homme continue, l'homme n'est pas plus responsable que la fille, ou bien?
Je ne veux pas faire l'apologie du viol ou du victim-shaming, j'essaie juste de comprendre où se situent les limites quand l'autre ne les signifie pas clairement.
Le discours de ce texte, très bien fait au demeurant, inclus que l'homme est forcément responsable, mais n'y a t'il pas des situations où aucun des deux n'est "responsable", résultante d'un malentendu prodigieux ou d'un manque de communication?


Enfin, petite question aux filles qui ont été "abusées" par leurs copains, leur avez vous dit, par la suite, que leur acte était inadmissible? Je pense que dire aux mecs quand ils ont abusé, est une bonne chose, car parfois, si la violée n'a pas conscience d'etre violée, l'homme n'a pas conscience d'etre violeur, ce qui engendre un risque de récidive.

Bref, j'espere n'avoir blessé personne, je participe et me questionne et apporterait des précisions si mon propos est mal interprété(je préfère anticiper)
 
19 Septembre 2014
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Rennes
carlawn.wordpress.com
@Yehudi

Je me sens un peu visée par ce que tu dis.
Il y a une différence entre vouloir sur le moment coucher avec un garçon, puis le regretter après (pour des tas de raisons), et ne pas vouloir du tout avant et pendant (alcoolisée ou pas) ! Oui, boire c'est mal, mais on dit toujours aux filles "ne bois pas trop, tu risques de te faire violer". Par contre, on ne dit pas aux mecs "ne bois pas, tu risques de violer ou de te faire violer" (alors qu'en France, les hommes boivent en moyenne davantage que les femmes).
Je ne vois pas de mal à prendre une cuite, tant qu'on reste un minimum conscient de ce que l'on fait et qu'on ne blesse personne, presque tout le monde l'a déjà fait. Et souvent, les filles sortent en groupe, donc le fait d'être entouré de personnes que l'on connaît rassure, d'où un certain relâchement sur l'alcool.
Par contre, payer des coups pour que la fille soit encore plus saoule qu'elle ne l'est, l'harceler pour qu'elle accepte d'être raccompagné, et insister lourdement pour qu'elle accepte de coucher avec toi, alors que tu sais qu'elle est saoule, c'est quand même beaucoup plus condamnable que de se prendre une cuite.

Si deux personnes sont saoules, c'est différent certes, mais malheureusement, les reproches sont surtout faits aux filles en général si ça dérape ("t'avais pas qu'à t'habiller comme ça", "t'avais pas qu'à l'allumer", "t'avais pas qu'à boire" etc.). C'est comme si on déresponsabilisait complètement les garçons de ce côté là et c'est surtout ça qui me dérange.
 
13 Janvier 2011
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Lille



Par contre, payer des coups pour que la fille soit encore plus saoule qu'elle ne l'est, l'harceler pour qu'elle accepte d'être raccompagné, et insister lourdement pour qu'elle accepte de coucher avec toi, alors que tu sais qu'elle est saoule, c'est quand même beaucoup plus condamnable que de se prendre une cuite.

Non mais dans ce cas là c'est un viol, clairement, je ne dis pas le contraire.

J'ai du mal à expliquer de quoi je parle, je parle d'un cas où les deux sont d'accord, se draguent mutuellement, ou l'un des deux qui drague l'autre mais l'autre est réceptif, et où les deux sont consentants. D'ailleurs dans mon message j'ai précisé que c'était pareil pour les mecs hein.
Pour les gens qui boivent trop, c'est personnel, que ce soit des garçons ou des filles j'ai du mal avec les gens qui boivent trop, font des trucs qu'ils regrettent le lendemain et s'en plaignent, j'ai envie de leur dire de ne pas boire dans ce cas là, aux filles comme aux garçons.
 
22 Mai 2012
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Agapanthe :
J'ai l'impression que tu as lu l'article en croyant qu'il cherchait à identifier des responsables de viols.

La cible de l'article n'est pas le violeur, mais ce qui pousse un viol (par définition officielle) à se produire, sans que nous ayons conscience que c'en soit un. Il pointe la primauté des rôles genrés (femme passive / homme actif) sur l'importance de la communication. Ce n'est pas parce que l'intention de faire du mal et l'intention de résister étaient absente que le viol n'a aucune résonance sur le psychisme de quelqu'un qui se laisse utiliser comme un gentil meuble utilitaire, en croyant que la personne en face "en vaux la peine". Et combien le violeur consent à cette mentalité. La volonté de faire mal est absente, mais justement, c'est un REFLEXE de penser ainsi, pour tout le monde, de ne pas remettre en cause ce mode de pensée.

Pour essayer de répondre quand même à ta question "quand est-ce que l'homme n'est pas un violeur ?", ben que tu sois homme ou femme, tu n'es pas violeur(se) quand tu ne te permets AUCUN risque de mauvaise compréhension des "signeaux" que t'envois la personne en face, avant de passer à l'acte.

"Le discours de ce texte, très bien fait au demeurant, inclus que l'homme est forcément responsable, "

Non, si tu relis attentivement tu verras que ce n'est pas le cas. Il est juste expliqué que dans la très grande majorité des cas, statistiquement et quand nous demandons tous autour de nous, c'est cette configuration qui se produit. Voir les stats.

Je ne me souviens même pas si mon copain m'a déjà fait ça, mais je dois confesser que je dois me rendre à l'évidence : J'ai déjà violé mon mec. : ( Je lui en ai parlé, et même si il dit que ça ne l'a pas du tout traumatisé (il a l'air rodé dans l'idée qu'un mec peut difficilement être traumatisé par ça, temps mieux pour lui : x), et que du coup il pardonne complètement, je ne suis pas moins dérangée par ce que j'ai fait. C'est une grosse claque, comme prise de conscience. Je suis bien contente qu'on soit en 2014 et que j'ai pris conscience de ce que j'ai fait. @_______@ Plus jamais. Et ça prouve que bordel, si tout le monde, même moi, peut faire ça, le monde va putain de mal et il faut parler de ces choses et cesser de les remettre en question.

Je vais regretter d'avoir écrit ça un jour, j'effacerais sûrement le message sur le long terme, mais... Je veux pas m'assimiler à des machos-connards qui approuve tous bien cachés derrière leurs écrans que "violer c'est mal mais c'est compliqué quand même !" alors qu'une petite partie de leur cerveau crie "J'ai pas fait ça j'ai pas fait ça j'ai pas fait ça je suis un type trop bien nooooon". C'est en se voilant la face qu'on est le dernier des cons !!!!
 
13 Janvier 2011
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Lille
@Yehudi en fait je crois que la différence est simple, y a le truc que tu fais en ayant bu, parce que l'alcool t'as désinhibée, (ça peut autant être montrer son cul sur les quais de Seine ou avoir une relation sexuelle ou appeler quelqu'un pour lui dire que tu l'aime) et le lendemain te dire que t'as fait une p'tite connerie / à différencier avec le rapport que tu as eu bourrée, ou quelque part tu ressentais sur le coup que tu n'en voulais pas mais n'a pas su l'exprimer à cause de l'alcool (ou pour une autre raison). Je pense que la différence est là

Oui voilà c'est ça ! Merci ! Mais j'ai déjà entendu des filles dans le premier cas prétendre ensuite qu'elles s'étaient fait violer, et je trouve que ça décrédibilise tout. Mais la différence est pas si simple que ça à percevoir pour les hommes/les filles qui vont avoir envie de coucher avec une personne dans un de ces deux as, de savoir/comprendre dans lequel des deux elle est justement.
 
M

Morrigan

Guest
Tu n'as rien à avouer, tu n'es coupable de rien :calin:

Merci :hugs:
Je lui ai donc dit, dans la file d'attente du McDo, ça a donné à peu près ça :
Moi : Bah... j'étais pas consentante.
Elle : TU AS ÉTÉ VIOLÉE !?
Merci maman pour cette superbe discrétion. :facepalm:
Mais ça c'est bien passé, elle a pas gueulé, pas tremblé, on a parlé calmement, posément. Un poids en moins. (Bien qu'elle m'ait dit que "Bon, "viol" c'est quand même un gros mot. T'as juste eu une première fois avec un petit con." (je pense qu'elle le disait aussi pour se rassurer elle...). Mais ça va. Au moins elle le sait, ça de moins à cacher. :sweatdrop:
 
4 Novembre 2007
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Metz
lesvoyagesdemircea.wordpress.com
Coucou,

j'ai trouvé cet article fort intéressant, ainsi que les réponses. Une question cependant me taraude, à quel moment l'homme n'est pas violeur? Car si la culture du viol est mal perçue, j'ai le sentiment que le terme violeur apparaît rapidement, sans réelle nuance.
Je m'explique: une des jeunes filles raconte que son ex a couché avec elle alcoolisée alors que lui était sobre, dans ce cas, je ne peux pas voir autre chose que du viol, mais dans le cas du couple lambda qui entame une partie de jambes en l'air, où finalement la fille ne veut pas, ne le signifie pas et donc l'homme continue, l'homme n'est pas plus responsable que la fille, ou bien?
Je ne veux pas faire l'apologie du viol ou du victim-shaming, j'essaie juste de comprendre où se situent les limites quand l'autre ne les signifie pas clairement.
Le discours de ce texte, très bien fait au demeurant, inclus que l'homme est forcément responsable, mais n'y a t'il pas des situations où aucun des deux n'est "responsable", résultante d'un malentendu prodigieux ou d'un manque de communication?


Enfin, petite question aux filles qui ont été "abusées" par leurs copains, leur avez vous dit, par la suite, que leur acte était inadmissible? Je pense que dire aux mecs quand ils ont abusé, est une bonne chose, car parfois, si la violée n'a pas conscience d'etre violée, l'homme n'a pas conscience d'etre violeur, ce qui engendre un risque de récidive.

Bref, j'espere n'avoir blessé personne, je participe et me questionne et apporterait des précisions si mon propos est mal interprété(je préfère anticiper)

Oui, à l'époque où j'ai été violée par mon petit ami je lui ai dis. En même temps j'avais dis non, donc il en avait conscience. Mais lui dire à je pense, été très important. Il m'a violé emporté par un égoïsme d'adolescent égocentrique (il voulait se venger du fait que j'ai rompu, et perdre son pucelage) mais il n'est pas un sadique psychopathe. En fait il a commencé l'acte, tout à sa sensation d'avoir un dû à prendre, et passé les premières secondes il a réalisé la différence entre l'idée d'être enfin déniaisé et la réalité de ce qu'il était entrain de faire. Dommage qu'il lui ait fallut un coup de rein pour prendre conscience du fait que c'était quelque chose de concret qui était en train de se passer et pas simplement un truc anodin.

Verbaliser ma souffrance, mon traumatisme, m'a permis à moi de me sentir mieux, notamment parce qu'il n'a pas nié les faits et que ça change tout. Mais ça m'a permis aussi de savoir qu'il ne ferait plus jamais la même erreur et ça lui a permis de grandir et de devenir un homme sexuellement responsable.

C'est très triste que nos maturités respectives ait dû se construire là dessus. Mais le fait d'en parler, je considère avec le recul, que c'est un bon moyen de ... comment dire sans ne choquer personne... Disons que ça m'a permis de tourner la page en passant du statut de victime à celui d'agissante.

Ce que je veux dire c'est que verbaliser est une excellente arme non seulement en amont des agressions sexuelles (ex : Est ce que tu veux vraiment coucher avec moi ? Tu es sure que tu ne dis pas ça sous influence de l'alcool ou d'une drogue, je ne voudrais pas que tu regrettes ensuite) mais ça permet aussi de s'éduquer l'un l'autre quand une erreur a été comise. Il peut s'agir de dire quelque chose comme "Je n'ai pas aimé que tu éjacules dans ma bouche" ou carrément "Je n'étais pas consentante lors de ce rapport, c'était un viol".

C'est à dire qu'il faut avoir le courage de débriefé du sexe, d'en parler avant, pendant mais aussi après.
Et petit à petit on se forge une éducation basée sur autre chose que de vagues instincts.

Etre tombé sur une nana qui lui aura dit "tu vois, tu m'as sodomisé dans le feu de l'action, mais moi je n'étais pas consentante" rendra un homme plus vigilant à l'avenir, de même qu'un homme pourra dire "Tu m'as fais une fellation dans mon sommeil et je n'étais pas consentant" permet de s'enlever de la tête qu'un homme est toujours ok.

De toute façon tant qu'on considérera que le sexe est une sorte d'acte magique qu'on apprend en se taisant et en improvisant, en tâtonnant, et qu'il DOIT prioritairement menée à la satisfaction de nos pulsions, ça merdera quelque chose.
La notion d'échange est banalisé par celle du romantisme, alors que nos rapports sexuels modernes entre plan cul, fuck friend, coup d'un soir, ne sont eux pas du tout codifié. Du coup on improvise, et donc on merde.

Pour aborder un point très précis, je suis très embêtée par une question simple de vocabulaire. J'ai un ami proche avec lequel je couche de temps en temps, nous sommes très amis et nous nous respectons mutuellement. Pourtant je ne pourrais pas dire que je « fais l'amour avec lui » et pire, je ne me vois pas du tout lui dire : « j'aimerais qu'on fasse l'amour » alors même que c'est à cette notion de respect et de tendresse que j'aspire, quand bien même nous ne sommes qu'amis. Je dois donc jongler entre « viens on baise » et l'encore plus maladroit « dis, on couche ensemble ? ».
Il n'existe pas, pour nos plans culs, fuck friend, amant, coup d'un soir, un terme approprié, ni enfantin façon "crac crac" ni vulgaire façon « viens jte tronche » qui transcrive l'idée d'un rapport basé sur la tendresse mutuelle entre deux partenaires qui n'ont pas pour autant l'ambition d'être en couple.

Forcément, quand on a pas les mots, on se retrouve coincé tôt ou tard dans la pratique.
 
13 Juin 2014
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Il y a une situation que je ne comprends pas, c'est quand une fille, à une soirée, a bu, qu'elle couche avec un garçon, et que le lendemain elle regrette et donc elle dit qu'elle a été violée.

@Yehudi : j'ai un problème avec ce que tu racontes là. Je comprends bien ta question, mais, ça arrive vraiment ce que tu dis ? Tu en parles comme si c'était un problème récurrent. Tu as un exemple ? Perso j'ai jamais vu ça... Ni même entendu parler, concrètement, d'un cas réel.
Ça me fait penser à ces mecs antiféministes qui mettent en doute les inégalités homme/femme, à l'aide de l'argument "oui mais nous on peut nous accuser de viol pour le fun, les femmes sont si fourbes. Imagine, la meuf, elle regrette, elle assume pas, eh ben elle va préférer accuser le mec de l'avoir violée"
Ça me fait surtout penser à ce maire espagnol qui déconseille aux hommes de prendre l'ascenseur seul avec une femme, car celle-ci peut vous accuser à tort de viol, à l'aide d'une habile bien que machiavélique mise en scène. (source)

Enfin voilà, s'il te plaît étaye ta pensée, car moi, je n'en ai qu'une image de légende urbaine antiféministe !
 

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