Info utile : parmi les signataires, nous avons l'inénarrable Sophie de Menthon (qu'est-ce que j'ai fait pour mériter de porter le même prénom qu'elle... ?) qui prétendait, il y a quelques années, que c'était "plutôt sympa" de se faire siffler comme des clébards dans la rue ; Catherine Deneuve, qui a soutenu un pédocriminel bien connu (Roman Polanski, pour ne pas le nommer) ; ainsi que Catherine Millet, qui déclarait en décembre (accrochez-vous à vos slibards parce que c'est bien gerbant
) : "Je regrette beaucoup de ne pas avoir été violée, parce que je pourrais témoigner que du viol, on s'en sort"...
...
Tous les "torts" qu'elles ont listés en sont : personne n'a à "voler un baiser" ni à tripoter quelqu'un d'autre contre son consentement, et un collègue n'a effectivement pas à nous imposer des conversations sur ses affaires de cul. J'en parle même pas à mes potes, vu que c'est pas leurs oignons.
Je croyais un changement social bien amorcé après les prises de parole des femmes qui ont "balancé leurs porcs", mais maintenant que 100 privilégiées nous ont balancé leur invalidation à travers la gueule, je sens qu'on est bien parti pour (finalement) ne rien voir bouger.
J'en ai marre d'être polie vu que je suis furax.
Sans déconner, y'a pas de la gourdasse là ?