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Quelques chansons de rock (i'm crazy on you ) et la journée sera finie . Copine, métro, commande lentilles (toujours à la dernière minute. Je m'auto-desespère )douche et repos . Et enlevage de lentilles parce que la ca me gêne . Pourtant elles sont récentes
Et maintenant un vieux favori: my shadow is the only one that walks beside me, my shallow heart is the only thing that's beating .
En plus ça m'a saoulée car je voulais mettre un épisode avant les reines après avoir fait la vaisselle, et du coup j'ai pas eu le temps. Et après il est capable de me sortir, quand il est énervé, qu'on ne peut rien me demander. Sérieux, mec. Quand il a besoin d'un truc faut tout abandonner mais toi t'as le temps de crever le temps qu'il réagisse.
Oui, bon, je suis encore énervée on dirait.
Ah mais je vous ai pas raconté la belle perle du mec avec qui j'ai couché dimanche et qui m'a zappee juste après (il etait sur son tel, est parti se faire à diner etc). Dimanche soir y'avait un reportage sur M6 sur les personnes transgenre (j'espère que je me trompe pas dans la formulation ), vous l'avez peut-être vu. Eh ben a un moment il a dit "c'est des fous ces gens-là"
Sur une note plus positive la journée est finie pour moi . À plus tard peut être
@Ignis Aurae merci pour les infos (dommage que ce soit de la viande salée, je déteste quand c'est trop salé, j'imagine que même après une nuit de trempage ça doit garder le goût ) bonne découverte culinaire
Plus sérieusement, à propos de Au revoir là-haut
J'ai bien aimé, même si, ayant lu le livre (en plus récemment), j'ai eu beaucoup de pincements au cœur face à toutes les choses tronquées. Enfin, je suis réaliste, je sais bien que résumer 600 pages en un film de 2h, ça demande des "sacrifices" Mais j'ai pas pu m'en empêcher. Y a beaucoup de volets de l'histoire sur lesquels on passe très rapidement.
C'est vraiment moins "trash" que le livre (qui est, à mon sens, pas comme ça juste dans le but de faire du sensationnalisme, mais parce que ça colle à une réalité, celle de la guerre, de la survie, des gueules cassées, ...). À peine tu entraperçois un petit reflet flou de la gueule d'Édouard (autant dire que tu vois rien), et c'est tout.
Par contre, pour moi le film a fait une décision assez intelligente sur le plan narratif.
En fait, tout le problème de l'adaptation tient au fait que le livre n'est pas un livre "à dialogues". Y a tellement de non-dits. Des choses (passé des personnages, pensées, etc) que tu peux pas (ou peu) faire comprendre à un·e spectateurice sans passer par du dialogue. Et du coup, dans le film, ça transparaît souvent de façon pas très heureuse. Genre Albert avait l'air plus bête que ce qu'il n'est en réalité (il se faisait souvent expliquer des choses, que dans le livre il comprenait de lui-même).
Et du coup, ça englobe un peu aussi ce que tu disais, @loy (et poke @Astrobulle au passage).
Moi ça me choquerait pas d'entendre ça à propos de mes burgers, parce que j'assaisonne toujours ma viande (moutarde, coriandre, ras-el hanout - je précise pour pas que y ait d’ambiguïté et qu'on pense que je me contente de mettre du sel et du poivre ), et que, dans le cas où je ferais tout toute seule, ben ça voudrait dire que je fais aussi de la sauce, qui serait donc elle aussi assaisonnée