Jme pose la question, sur cet argument "le masque, le confinement, la distanciation sociale, c'est liberticide".
On est d'accord que la liberté des un.es s'arrête où commence celle des autres, non ?
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Est-ce que ma liberté personnelle de me coller dans le dos des gens et leur souffler dans la nuque sans masque (mon ressenti personnel des files d'attente) est plus importante que le droit à la santé, à l'accès aux soins correct (donc pas sur-peuplés), et finalement la liberté de l'autre de vivre ?
(au-delà du débat sur le bien fondé des décisions prises de protéger le travail et la productivité à tout prix, au détriment de notre santé physique et mentale et de nos contacts "inutiles et festifs"...
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