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Membre supprimé 357025
Guest
@Ariel* Alors déjà 
Je sais exactement ce que tu peux ressentir, je suis passée par là...Et je crois aussi que le post d'Absol était peut-être plus maladroit qu'autre chose, mais quand le sujet te touche personnellement et en ce moment, c'est difficile de prendre du recul et de se dire qu'on ne nous visait pas directement.
La santé mentale c'est un sujet vaste, qui recouvre beaucoup de troubles psychiques différents, et on a pas tou.te.s les mêmes niveaux de difficultés au quotidien, mais les injonctions, pour moi c'est non. Chacun.e fait ce qu'iel peut, à son échelle.
L'an dernier j'ai connu quelqu'un qui me disait régulièrement "sors un peu, tu verras, ça te fera du bien" ou "va faire du sport, ça entretient le mental et le physique". J'ai fini par l'envoyer gentiment chier, en lui disant que je culpabilisais déjà énormément de rien être capable de faire au quotidien, sans en plus qu'elle me le rappelle en me demandant ce que j'avais fait de ma journée, c'est-à-dire rien, et avec beaucoup de doutes et de peurs diverses.
Fais ce que tu peux, c'est déjà beaucoup, et c'est largement suffisant
Je sais exactement ce que tu peux ressentir, je suis passée par là...Et je crois aussi que le post d'Absol était peut-être plus maladroit qu'autre chose, mais quand le sujet te touche personnellement et en ce moment, c'est difficile de prendre du recul et de se dire qu'on ne nous visait pas directement.
La santé mentale c'est un sujet vaste, qui recouvre beaucoup de troubles psychiques différents, et on a pas tou.te.s les mêmes niveaux de difficultés au quotidien, mais les injonctions, pour moi c'est non. Chacun.e fait ce qu'iel peut, à son échelle.
L'an dernier j'ai connu quelqu'un qui me disait régulièrement "sors un peu, tu verras, ça te fera du bien" ou "va faire du sport, ça entretient le mental et le physique". J'ai fini par l'envoyer gentiment chier, en lui disant que je culpabilisais déjà énormément de rien être capable de faire au quotidien, sans en plus qu'elle me le rappelle en me demandant ce que j'avais fait de ma journée, c'est-à-dire rien, et avec beaucoup de doutes et de peurs diverses.
Fais ce que tu peux, c'est déjà beaucoup, et c'est largement suffisant
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en fin de grossesse, je m’installais dedans pour faire du point de croix, j’étais trop bien installée et c’était pas trop dur de se lever. Quand elle était toute minus, on lui donnait tous ses biberons dans le Poang jusqu’à ses 3 mois. Et tous les soirs, on s’installe dedans pour lire l’histoire du soir 
