Je me permets de citer @Sophie L
Non, précisément. Une personne ne peut pas louer son utérus pour de l'argent (GPA) ni vendre ses organes, par exemple, ce afin de prévenir les inévitables dérives et le trafic. C'est la même problématique pour la prostitution.
C'est quand même curieux, quand on y pense ; tout le monde s'accorde pour dire qu'on ne peut pas laisser les gens vulnérables économiquement vendre leurs organes, et on s'empresse de l'interdire. Mais pour les sujets qui concernent en grande majorité les femmes cis (prostitution et GPA) il y a beaucoup plus d'hésitations et de discussions...
Tirez-en les conclusions que vous voulez, moi ce que j'en retiens c'est que si les conséquences médicales d'une vente d'organes peuvent être très graves et ont donc logiquement conduit à son interdiction, les conséquences de nombreuses années de violences sexuelles sur les femmes, qui peuvent être tout aussi graves (comme on l'a vu : taux élevé de PTSD, dépression, addictions...) n'ont bizarrement pas suffi à légiférer contre la prostitution. On se demande vraiment à qui ça profite et pourquoi les tenants du pouvoir ne se pressent pas pour abolir la prostitution
J'approfondis donc mon propos : toute personne a le droit de faire ce qu'elle veut de son corps, dont monnayer ses services sexuels.
Non, précisément. Une personne ne peut pas louer son utérus pour de l'argent (GPA) ni vendre ses organes, par exemple, ce afin de prévenir les inévitables dérives et le trafic. C'est la même problématique pour la prostitution.
C'est quand même curieux, quand on y pense ; tout le monde s'accorde pour dire qu'on ne peut pas laisser les gens vulnérables économiquement vendre leurs organes, et on s'empresse de l'interdire. Mais pour les sujets qui concernent en grande majorité les femmes cis (prostitution et GPA) il y a beaucoup plus d'hésitations et de discussions...
Tirez-en les conclusions que vous voulez, moi ce que j'en retiens c'est que si les conséquences médicales d'une vente d'organes peuvent être très graves et ont donc logiquement conduit à son interdiction, les conséquences de nombreuses années de violences sexuelles sur les femmes, qui peuvent être tout aussi graves (comme on l'a vu : taux élevé de PTSD, dépression, addictions...) n'ont bizarrement pas suffi à légiférer contre la prostitution. On se demande vraiment à qui ça profite et pourquoi les tenants du pouvoir ne se pressent pas pour abolir la prostitution