@alextine1703 @Prouk merci beaucoup de votre gentillesse
C'est peut-être une bonne idée la thérapeute, ça s'était très bien passé, en plus.
Pour le fait de partir quelques jours, c'est exactement ce que je ferais si j'étais seule, mais là on a un petit garçon de deux ans... Soit je le laisse, mais franchement c'est très dur pour moi et ça donne un très mauvais message (mon compagnon me dit, entre autres, que si je tient tant à cette grossesse, c'est que je n'ai rien à foutre de notre premier enfant
) soit je pars avec lui et dans ce cas-là ça entérine un rapport de force où il sauterait à pieds joints dans l'argumentaire "tu veux me priver de mon enfant et gâcher ma relation avec lui". Ça plus les contingences matérielles de : aller chez un‧e proche signifierait que mon fils est à 50 mn de transports minimum de sa crèche, donc soit je nous impose un rythme de journées intenable (et de toutes façons des horaires de travail ultra-réduits pour moi), soit j'arrête de bosser temporairement, donc précarisation...
Là on va partir dans ma famille ce week-end mon fils et moi sans mon compagnon (c'était déjà prévu), c'est toujours ça de pris, mais on a déjà été séparés pour le boulot une semaine depuis le début de la crise, et ça n'a rien changé à l'avis de mon compagnon, donc bon... J'ai peu d'espoir.
Edit : J'ai pris un rdv téléphonique, seule, avec la thérapeute de la dernière fois, pour cette après-midi. Je ne sais pas si elle pourra vraiment m'aider, mais ça me soulagera d'en parler à un tiers je pense.