@Sofea : Difficile à dire en partant d'expériences personnelles / de l'entourage (je parle de ma propre réponse), j'ai eu l'impression qu'il était extrêmement rare que les anti-dépresseurs et anxiolytiques permettent réellement de retrouver une vie "normale".
Le problème étant que tout le monde ne réagit pas forcément au même traitement, voire pas du tout à ceux mis sur le marché, donc il faudrait chercher une étude à ce sujet (qui détermine ce qu'elle entend par "vivre normalement").
La seule personne dont la souffrance semblait endormie était une personne sous un traitement si lourd qu'elle ne pouvait plus rien faire... mais je suis consciente que l'aspect des gens, leur comportement, ce qu'ils renvoient visuellement, est loin d'être représentatif de leurs pensées.
C'est d'autant plus difficile à juger pour moi qu'il y a des personnes surdouées non diagnostiquées, qu'il est impossible de savoir ce qu'il se passe dans la tête des autres (ce qui rend la recherche de tout diagnostique extrêmement angoissante pour moi, comment savoir si on est légitime, réellement en souffrance, réellement différent quand nous sommes seul-e-s face à nos pensées, nos émotions, nos sensibilités ?), mais surtout parce que mon entourage a toujours été formé de personnes aux profils très particuliers (handicaps, troubles mentaux, harcelé-e-s et autres "indapté-e-s").
Bref, je vais *attention risque de procrastination* chercher des études sur la dépression, l'anxiété, etc. et différents profils (retard mental, HQI/HP/précoces/zèbres/surdoués, troubles dys, TDA, etc.) dès que je serai de nouveau chez moi, je pense. La manière donc chaque cerveau s'exprime est quelque chose de fascinant pour moi. Si vous en connaissez, je serai ravie de m'informer !
PS: Je viens de me rendre compte que j'avais mal lu le message de moteur, j'avais compris tout l'inverse. Du coup, je suis de nouveau choquée par un tel manque d'empathie, mais je suppose que ça vient des idées reçues sur les surdoué-e-s. Il est grand temps d'informer les gens sur la réalité !
*C'était la reine des "sauts de ligne, bonsoir"*.
Le problème étant que tout le monde ne réagit pas forcément au même traitement, voire pas du tout à ceux mis sur le marché, donc il faudrait chercher une étude à ce sujet (qui détermine ce qu'elle entend par "vivre normalement").
La seule personne dont la souffrance semblait endormie était une personne sous un traitement si lourd qu'elle ne pouvait plus rien faire... mais je suis consciente que l'aspect des gens, leur comportement, ce qu'ils renvoient visuellement, est loin d'être représentatif de leurs pensées.
C'est d'autant plus difficile à juger pour moi qu'il y a des personnes surdouées non diagnostiquées, qu'il est impossible de savoir ce qu'il se passe dans la tête des autres (ce qui rend la recherche de tout diagnostique extrêmement angoissante pour moi, comment savoir si on est légitime, réellement en souffrance, réellement différent quand nous sommes seul-e-s face à nos pensées, nos émotions, nos sensibilités ?), mais surtout parce que mon entourage a toujours été formé de personnes aux profils très particuliers (handicaps, troubles mentaux, harcelé-e-s et autres "indapté-e-s").
Bref, je vais *attention risque de procrastination* chercher des études sur la dépression, l'anxiété, etc. et différents profils (retard mental, HQI/HP/précoces/zèbres/surdoués, troubles dys, TDA, etc.) dès que je serai de nouveau chez moi, je pense. La manière donc chaque cerveau s'exprime est quelque chose de fascinant pour moi. Si vous en connaissez, je serai ravie de m'informer !
PS: Je viens de me rendre compte que j'avais mal lu le message de moteur, j'avais compris tout l'inverse. Du coup, je suis de nouveau choquée par un tel manque d'empathie, mais je suppose que ça vient des idées reçues sur les surdoué-e-s. Il est grand temps d'informer les gens sur la réalité !
*C'était la reine des "sauts de ligne, bonsoir"*.