C'est étonnant la justesse avec laquelle l'auteure parvient à mettre le doigt sur son problème sans pour autant parvenir à le résoudre.
Pour moi, tout est résumé dans cette phrase. Je n'aurai même pas mis les deux propositions en opposition.
Je connais beaucoup de personne qui déteste s'ennuyer alors que c'est une occasion unique de se poser de vrais questions, de faire le point. Alors oui, ça fait peur parfois, certaines questions sont tellement dérangeantes qu'on est bien heureux de ne pas avoir une minute à soi pour y réfléchir. Mais la fuite n'est jamais une solution. Il n'y a aucun mal à être extrêmement actif et à aimer ça. Mais attention à ce que tout ça ne soit pas en réalité une couverture, une justification pour s'occuper l'esprit et refuser de se confronter à ces pensées dérangeantes de peur des réponses qu'on pourrait y trouver. Je dis ça sans aucune méchanceté, aucun jugement ni aucune prétention, je cherche simplement à aider. Admettre qu'on fuit et qu'on refuse de "perdre le contrôle" comme ça me semble etre le cas dans l'article, c'est déjà la preuve que l'auteure est consciente qu'elle a un problème. Peut-être qu'une aide extérieure comme un psy pourrait se révéler utile pour mieux y faire face. De quoi remplir ces interminables vacances
De mon point de vue, soit l’auteure a peur de se retrouver seule avec elle-même et c’est triste, soit elle adore être toujours occupée et je ne vois pas où est le problème.
Pour moi, tout est résumé dans cette phrase. Je n'aurai même pas mis les deux propositions en opposition.
Je connais beaucoup de personne qui déteste s'ennuyer alors que c'est une occasion unique de se poser de vrais questions, de faire le point. Alors oui, ça fait peur parfois, certaines questions sont tellement dérangeantes qu'on est bien heureux de ne pas avoir une minute à soi pour y réfléchir. Mais la fuite n'est jamais une solution. Il n'y a aucun mal à être extrêmement actif et à aimer ça. Mais attention à ce que tout ça ne soit pas en réalité une couverture, une justification pour s'occuper l'esprit et refuser de se confronter à ces pensées dérangeantes de peur des réponses qu'on pourrait y trouver. Je dis ça sans aucune méchanceté, aucun jugement ni aucune prétention, je cherche simplement à aider. Admettre qu'on fuit et qu'on refuse de "perdre le contrôle" comme ça me semble etre le cas dans l'article, c'est déjà la preuve que l'auteure est consciente qu'elle a un problème. Peut-être qu'une aide extérieure comme un psy pourrait se révéler utile pour mieux y faire face. De quoi remplir ces interminables vacances
