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iciLe Code de la santé publique prévoit que « si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables ». Néanmoins, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a émis un avis* en 2005 précisant notamment qu’« il reconnaît le droit d’un patient conscient et lucide à refuser un traitement, même quand la conséquence peut en être la mort ou la perte significative de ses chances de guérir ». « Si les médecins ont établi avec le patient une relation de qualité suffisante, respectueuse des droits de ce dernier, alors dans ce contexte le patient a pu exprimer ses doutes et tester la valeur du médecin ou de l’équipe soignante, précise Daniel Oppenheim. A l’inverse, le médecin s’efforce de prendre en compte les attentes et les craintes du patient tout en faisant la part entre angoisse, dépression ou pessimisme excessif… Mais tout n’est pas réglé pour autant ! Seul le dialogue permet d’éviter les situations de conflit tout en favorisant la connaissance et la confiance réciproque. » Soigner n’est pas seulement prendre en compte une maladie, accompagner la personne malade n’est pas seulement lui imposer un traitement.

) et qui est globalement en bonne santé. Je pense qu'à peu près tous mes proches savent que ça serait la meilleure nouvelle à m'annoncer. J'accepte très bien ma mortalité et celle des autres. Mourir à une valence positive pour moi donc je vois pas pourquoi je me battrai contre. Ça serait extrêmement égoïste pour moi de faire ça car ça reviendrait à dire que ma petite personne est à ce point indispensable que je dois aller contre "la nuture" et renier tous mes principes au passage.



, "l'utilité sociale" de ce sport aussi (comme moyen d'intégration, pour fédérer les humains autour de grands événements, etc.)