Je me demande...
- Initiateur de la discussion Lemon Juice
- Date de début
@Deilephila elpenor pour le coup ce que je ne comprends pas, c'est qu'on puisse admirer Walter White alors que ce mec est un psychopathe manipulateur dissimulé derrière l'identité d'un prof de physique chimie sans histoire. D'ailleurs c'est un peu l'idole des mascu qui estiment que la vraie méchante de la série est en fait... Skyler! 
(ben oui, c'est l'épouse castratrice qui a l'outrecuidance de péter les plombs quand elle découvre la double vie de son mari). Pour moi Walter White c'est le personnage principal de la série, mais c'est pas un "héro" au sens où il devrait nous inspirer. Il s'inscrit dans la lignée de Dexter, JR, Tony Soprano... dont on suit les aventures et auxquels on peut éventuellement s'attacher tout en sachant que ce sont des personnes horribles.
Et sinon moi j'ai jamais pu piffrer Don Draper, le mec soi disant brillant, charismatique et mystérieux qui se comporte en fait comme un petit garçon capricieux avec les femmes
(ben oui, c'est l'épouse castratrice qui a l'outrecuidance de péter les plombs quand elle découvre la double vie de son mari). Pour moi Walter White c'est le personnage principal de la série, mais c'est pas un "héro" au sens où il devrait nous inspirer. Il s'inscrit dans la lignée de Dexter, JR, Tony Soprano... dont on suit les aventures et auxquels on peut éventuellement s'attacher tout en sachant que ce sont des personnes horribles.Et sinon moi j'ai jamais pu piffrer Don Draper, le mec soi disant brillant, charismatique et mystérieux qui se comporte en fait comme un petit garçon capricieux avec les femmes
@Deilephila elpenor
Alors, je n'ai pas vu toutes les séries, mais pour celles que j'ai vu, en fait, je te dirais que c'est normal de pas les aimer, parce qu'ils sont "créés" comme ça !
Suite à une discussion avec mon copain, je lui disais que OITNB j'avais mais lâché au début de la seconde saison, dès que Pipper apparaissait j'avais envie de hurler, je la déteste, elle me soule, elle est bête à manger du foin, elle a zéro intérêt.
Et donc il m'a expliqué (Mais finalement, à raison), que si elle était comme ça, c'était justement pour montrer à quel point elle avait rien à faire là, à quel point elle était à côté de la plaque, que c'était voulu de montrer qu'elle était pénible, très ouin ouin tout ça (Je sais pas si je suis claire
). Ca serait presque anormal de l'apprécier en quelque sorte finalement, tant elle fait tâche (Bon malgré tout je refuse de regarder de nouveau c'est trop pour moi de revoir un épisode avec elle 
).
Pour TWD, finalement, je trouve que ça revient à peu de choses près à ça. Le gars est à côté de la plaque, il comprends rien, et il arrive pas à se faire à tout ça (Il veut absolument garder son besoin d'être un "leadeur" par rapport à son métier tout ça, en bref, il tourne pas la page alors que là c'est LE moment de lâcher mec). En bref, je trouve qu'il est tout sauf appréciable, mais pareil, c'est un peu fait exprès aussi je trouve.
Voilà je suis peut être pas claire, mais souvent le perso principal il est selon les séries juste nul, il sert de prétexte pour montrer à quel point tout avance, sauf lui quoi.
Alors, je n'ai pas vu toutes les séries, mais pour celles que j'ai vu, en fait, je te dirais que c'est normal de pas les aimer, parce qu'ils sont "créés" comme ça !
Suite à une discussion avec mon copain, je lui disais que OITNB j'avais mais lâché au début de la seconde saison, dès que Pipper apparaissait j'avais envie de hurler, je la déteste, elle me soule, elle est bête à manger du foin, elle a zéro intérêt.
Et donc il m'a expliqué (Mais finalement, à raison), que si elle était comme ça, c'était justement pour montrer à quel point elle avait rien à faire là, à quel point elle était à côté de la plaque, que c'était voulu de montrer qu'elle était pénible, très ouin ouin tout ça (Je sais pas si je suis claire
). Ca serait presque anormal de l'apprécier en quelque sorte finalement, tant elle fait tâche (Bon malgré tout je refuse de regarder de nouveau c'est trop pour moi de revoir un épisode avec elle ).Pour TWD, finalement, je trouve que ça revient à peu de choses près à ça. Le gars est à côté de la plaque, il comprends rien, et il arrive pas à se faire à tout ça (Il veut absolument garder son besoin d'être un "leadeur" par rapport à son métier tout ça, en bref, il tourne pas la page alors que là c'est LE moment de lâcher mec). En bref, je trouve qu'il est tout sauf appréciable, mais pareil, c'est un peu fait exprès aussi je trouve.
Voilà je suis peut être pas claire, mais souvent le perso principal il est selon les séries juste nul, il sert de prétexte pour montrer à quel point tout avance, sauf lui quoi.
@MorganeGirly, il faut différencier deux diagnostics : 1. médical, 2. psychologique.
Pour le premier : « le psychiatre est le seul professionnel de santé mentale habilité à poser les diagnostics médicaux (dépression, trouble panique, trouble de personnalité, etc.). Les autres professionnels évoluant dans le milieu de la santé mentale (psychologue, psychothérapeute, etc.), n’étant pas médecins, n’ont pas le droit légal de poser un diagnostic médical, ce qui constituerait un exercice illégal de la médecine. (Article L4161-1 du code de Santé Publique). » Source.
Pour le deuxième, cela concerne les psychothérapeutes au sens large. Le titre de psychothérapeute est protégé. Seuls les médecins, les psychologues et les psychanalystes peuvent user de ce titre et donc poser un diagnostic psychologique. Si cette amie d’une amie ne suit pas des études de psychologie, il se peut qu’elle se destine à être psychopraticienne, titre libre, sans condition de diplôme. Et dans ce cas : attention.
Il n’est pas possible de poser un diagnostic sans avoir rencontré la personne concernée en entretiens individuels. Donc les diagnostics sauvages demandés par sa formation = red flag. Et quand on respecte un minimum le code de déontologie des psychothérapeutes (il existe), on ne reçoit pas en entretien une personne proche, ami·e, famille, voisin·e… Alors certes elle n’est pas encore diplômée et je m’en fiche un peu qu’elle se prenne au jeu, mais le contenu de sa formation est inquiétant.
Pour le premier : « le psychiatre est le seul professionnel de santé mentale habilité à poser les diagnostics médicaux (dépression, trouble panique, trouble de personnalité, etc.). Les autres professionnels évoluant dans le milieu de la santé mentale (psychologue, psychothérapeute, etc.), n’étant pas médecins, n’ont pas le droit légal de poser un diagnostic médical, ce qui constituerait un exercice illégal de la médecine. (Article L4161-1 du code de Santé Publique). » Source.
Pour le deuxième, cela concerne les psychothérapeutes au sens large. Le titre de psychothérapeute est protégé. Seuls les médecins, les psychologues et les psychanalystes peuvent user de ce titre et donc poser un diagnostic psychologique. Si cette amie d’une amie ne suit pas des études de psychologie, il se peut qu’elle se destine à être psychopraticienne, titre libre, sans condition de diplôme. Et dans ce cas : attention.
Il n’est pas possible de poser un diagnostic sans avoir rencontré la personne concernée en entretiens individuels. Donc les diagnostics sauvages demandés par sa formation = red flag. Et quand on respecte un minimum le code de déontologie des psychothérapeutes (il existe), on ne reçoit pas en entretien une personne proche, ami·e, famille, voisin·e… Alors certes elle n’est pas encore diplômée et je m’en fiche un peu qu’elle se prenne au jeu, mais le contenu de sa formation est inquiétant.
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Je me demande vraiment d’où vient la logique de certains de mes colocs 
Un des mes colocs passent des heures sur la terrasse et comme il a la flemme de sortir des clés, il laisse la porte ouverte, même en hiver. Genre en ce moment, il est dehors de 19h à 1h du mat et ne ferme pas la porte (qui donne sur la rue, la terrasse étant dans ûe dépendance un peu à l’écart, des gens peuvent passer et rentrer sans qu’il le remarque), ce qui fait qu’il fait froid le soir. Comme on a fermé la porte plusieurs fois (qu’il rouvre à chaque fois), il a fini par comprendre qu’on aimait pas trop donc il a fermé la porte MAIS il a décidé de laisser ses clés DANS LA SERRURE. Quand le livreur s’est invité à l’intérieur et qu’on a remarqué que quelqu’un avait laissé les clés sur la porte, il a répondu que c’était pour pas laisser la porte ouverte.
Mais je sais pas gars, j’ai une solution audacieuse et si tu gardais tes clés AVEC TOI? C’est quoi ce niveau de flemme de trouver trop compliqué de devoir sortir ses clés de sa poche!
Un des mes colocs passent des heures sur la terrasse et comme il a la flemme de sortir des clés, il laisse la porte ouverte, même en hiver. Genre en ce moment, il est dehors de 19h à 1h du mat et ne ferme pas la porte (qui donne sur la rue, la terrasse étant dans ûe dépendance un peu à l’écart, des gens peuvent passer et rentrer sans qu’il le remarque), ce qui fait qu’il fait froid le soir. Comme on a fermé la porte plusieurs fois (qu’il rouvre à chaque fois), il a fini par comprendre qu’on aimait pas trop donc il a fermé la porte MAIS il a décidé de laisser ses clés DANS LA SERRURE. Quand le livreur s’est invité à l’intérieur et qu’on a remarqué que quelqu’un avait laissé les clés sur la porte, il a répondu que c’était pour pas laisser la porte ouverte.
Mais je sais pas gars, j’ai une solution audacieuse et si tu gardais tes clés AVEC TOI? C’est quoi ce niveau de flemme de trouver trop compliqué de devoir sortir ses clés de sa poche!
@MorganeGirly
Je suis psychiatre et je n'ai jamais "analysé" personne
j'évite même soigneusement de le faire quand ça concerne ma famille.
(Et d'ailleurs, quand je rencontre une personne, que je dis dans la conversation que je suis psychiatre, et que la personne me répond "haha je vais faire attention à ce que je dis, tu vas m'analyser !"...ça m'agaaaace, mais alors, ça m'agaaaaceeee Non Michel je ne vais pas t'analyser, d'abord parce que ce n'est pas possible, et ensuite parce que je n'en ai rien à carrer. Bref, ne dites pas ça aux psychiatres/psychologues si vous en croisez, généralement ça nous agace 
)
En fait, être enthousiasmé.e par ses études oui, mais dans le cadre de la santé mentale, c'est impossible d'évaluer quelque chose chez quelqu'un qu'on a croisé comme ça en soirée. Par contre, au début de mes études de médecine, j'étais hyper contente de savoir examiner les gens et j'ai fait des examens neuro à tous mes grands-parents
Je suis psychiatre et je n'ai jamais "analysé" personne
j'évite même soigneusement de le faire quand ça concerne ma famille.(Et d'ailleurs, quand je rencontre une personne, que je dis dans la conversation que je suis psychiatre, et que la personne me répond "haha je vais faire attention à ce que je dis, tu vas m'analyser !"...ça m'agaaaace, mais alors, ça m'agaaaaceeee
Non Michel je ne vais pas t'analyser, d'abord parce que ce n'est pas possible, et ensuite parce que je n'en ai rien à carrer. Bref, ne dites pas ça aux psychiatres/psychologues si vous en croisez, généralement ça nous agace )En fait, être enthousiasmé.e par ses études oui, mais dans le cadre de la santé mentale, c'est impossible d'évaluer quelque chose chez quelqu'un qu'on a croisé comme ça en soirée. Par contre, au début de mes études de médecine, j'étais hyper contente de savoir examiner les gens et j'ai fait des examens neuro à tous mes grands-parents
Ça me fait penser à ce thread dans lequel un étudiant en psycho raconte un covoiturage lors duquel on lui pose cette question, ça tourne mal(Et d'ailleurs, quand je rencontre une personne, que je dis dans la conversation que je suis psychiatre, et que la personne me répond "haha je vais faire attention à ce que je dis, tu vas m'analyser !"...ça m'agaaaace, mais alors, ça m'agaaaaceeee
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Hier à Roland Garros, je me suis faite faire un tatouage éphémère sur le poignet (une balle de tennis) et j'aime beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP... Du coup, je me tâte assez sérieusement à me faire vraiment tatouer un truc au même endroit. Sachant que perso les tatouages, je pars du principe que c'est pas pour moi (j'ai rien contre, mais je pense que ça ne correspond définitivement pas à ma personnalité / mon style). Sauf que là, franchement j'hésite car j'aime beaucoup l'effet de mon tatouage ephémère et donc je me dis qu'un tatouage joli / mignon / minimaliste / mini, à l'intérieur du poignet droit, ça pourrait être cool. Ou bien, est-ce que vu mon style je passerais vraiment pour une vieille bobo qui veut se la jouer cool alors que ben elle est juste une "vielle" bobo reloue (pour vous donner une idée de mon style, je suis allée aujourd'hui travailler en robe légère et gilet assorti Marie Sixtine, sous-robe Sezane, ballerines Bensimon, petit sac Nat and Nin et gros sac canvas (oui l'été j'aime avoir deux sacs) Roland Garros, maquillage léger, cheveux naturels lâchés, 2 bagues en argentées discrètes et une montre Swatch) ?
Dernière édition :
M
Membre supprimé 334633
Guest
@Iris Chase c'est tellement répandu les tattoos aujourd'hui, on voit vraiment des gens de tous genre et tout âge en porter, je pense pas que ça choquerait avec ton style. Et au pire si des gens pensent que tu es une vieille bobo c'est leur problème, si tu sens que ça te ferait plaisir d'avoir un petit tattoo à cet endroit c'est ton ressenti qui compte 
@Iris Chase
Peut être essaye d’abord d’en faire un éphémère ? (ceux qui durent quelques mois). Ça te donnera une idée de si ça te plaît vraiment et si ça convient à ton style.
Peut être essaye d’abord d’en faire un éphémère ? (ceux qui durent quelques mois). Ça te donnera une idée de si ça te plaît vraiment et si ça convient à ton style.
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