@Dame Verveine
Je suis d’accord avec toi mais pas pour ce cas spécifique puisqu’il me semble qu’elle n’a pas précisé ce qu’il y faisait.
Peut être qu’il a de réelles compétences à mettre en avant la bas ? Imaginons si il est infirmier par exemple, ça peut être utile ou ingénieur en construction de je ne sais quoi.
Ton avis est à mon sens valable seulement pour les personnes qui n’ont aucune expertise pouvant servir dans des missions humanitaires. Ce que tu décris concerne essentiellement le volontourisme mais qui n’est pas nécessairement le cas ici.
Par ailleurs, en dehors des pratiques de volontourisme qui sont plus de mal que de bien pour la population. Ne vaut il pas mieux qqn qui part ajouter une petite pierre à l’edifice que rien du tout ? Alors certes il pourrait faire des dons mais je ne suis pas sure que toutes ces personnes qui vont la bas pour du volontourisme auraient mis la même somme en don.
Tout simplement parce que comme beaucoup de personnes, les gens font rarement quelque chose par pure charité mais aiment recevoir de la gratitude.
Donc partant de ce principe la, je dirais que c’est toujours mieux que rien, même si il y a du négatif.
Édit : je rajoute aussi que la somme qu’on est prête à donner est très liée à nos émotions.
Par exemple si je parle d’une tempête en indonésie qui a fait 30 000 morts, il y aura moins de dons que si pour cette même tempete je filme un enfant entrain de mourir.
Donc peut être que les gens qui auront fait du volontourisme 1 mois, même si leur utilité n’aura pas’ été certaine, donneront plus tard et plus que si ils n’y étaient jamais allés