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Guest
@quinn ça coûte une blinde, les tarifs "public" et "administration/entreprise" ne sont pas les mêmes pour les systèmes d'exploitation.
Dans l'entreprise de mon mec, ils bossent également sur du vieux XP et un logiciel dont le créateur est mort et qui a une gueule de minitel... Le système est tellement vieux pour changer un logiciel, il faudrait changer tout le réseau, et ça coûte super cher, à la fois en personnel (études des besoins + mise en oeuvre) et en matériel informatique
Quant à l'administration, tu rajoutes les paramètres personnel vieillissant qui part à la retraite et qui n'est pas remplacé, les têtes pensantes souvent d'un certain âge et rarement de service informatique...ça fait un parc archaïque mais personne ne sait vraiment quoi faire, et c'est clairement pas dans les priorités d'embaucher du personnel dans l'informatique quand t'as déjà du mal à assurer le service public.
Alors clairement, tant que ça fonctionne et qu'on peut rafistoler, personne ne change rien, ils reculent l'investissement au maximum.
Même si ça joue sur les performances.
Dans l'entreprise de mon mec, ils bossent également sur du vieux XP et un logiciel dont le créateur est mort et qui a une gueule de minitel... Le système est tellement vieux pour changer un logiciel, il faudrait changer tout le réseau, et ça coûte super cher, à la fois en personnel (études des besoins + mise en oeuvre) et en matériel informatique

Quant à l'administration, tu rajoutes les paramètres personnel vieillissant qui part à la retraite et qui n'est pas remplacé, les têtes pensantes souvent d'un certain âge et rarement de service informatique...ça fait un parc archaïque mais personne ne sait vraiment quoi faire, et c'est clairement pas dans les priorités d'embaucher du personnel dans l'informatique quand t'as déjà du mal à assurer le service public.
Alors clairement, tant que ça fonctionne et qu'on peut rafistoler, personne ne change rien, ils reculent l'investissement au maximum.

Même si ça joue sur les performances.
Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours entretenu une véritable aversion pour les chiffres. Même quand ma mère m'a proposé de m'apprendre à compter au-delà de 12, j'ai refusé parce que ça ne m'intéressait pas. Après le véritable calvaire a commencé dès la rentrée de CP quand la prof a distribué les manuels de mathématique et que j'ai eu des bouffées de stress rien qu'à la vue des couvertures (vertes et brillantes, c'est dire si ça m'a marquée!). Par la suite j'ai eu de "bonnes" raisons de détester les maths, mais rétrospectivement je me rends bien compte qu'elles étaient moins liées aux maths en elles-mêmes, qu'à la façon dont elles étaient enseignées et la pression à la performance entretenue par l'école et mes parents.
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