Je ne comprends pas comment, aujourd'hui encore, des parents font le choix d'habiller leurs enfants jumeaux de manière strictement identique.
Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
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@Barbe Bleue
Je n'ai pas de jumelle mais mes parents trouvaient sympa de nous habiller de manière identique ma sœur et moi :/
Tout le monde trouvait ça mignon.... Sauf moi. À neuf /dix ans, j'ai commencé à râler et obtenu au moins de porter des couleurs différentes mais ça les a étonné!
Maintenant que j'y repense, je détestais beaucoup de mes vêtements d'enfance (style "fillette" à l'ancienne, assez peu confortables).
Je n'ai pas de jumelle mais mes parents trouvaient sympa de nous habiller de manière identique ma sœur et moi :/
Tout le monde trouvait ça mignon.... Sauf moi. À neuf /dix ans, j'ai commencé à râler et obtenu au moins de porter des couleurs différentes mais ça les a étonné!
Maintenant que j'y repense, je détestais beaucoup de mes vêtements d'enfance (style "fillette" à l'ancienne, assez peu confortables).
@Barbe Bleue Je pense qu'ils trouvent ça drôle et veulent probablement cultiver le mythe des jumeaux liés. Sauf que, c'est hyper nocif pour les gamins, ok ils sont jumeaux mais ils sont différents et doivent se construire leurs propre personnalité.
Des gens qui prennent leurs enfants pour des poupées/poupons sans réfléchir si c'est adapté pour eux ou sans leurs demander leurs avis quand ils le peuvent.
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Des gens qui prennent leurs enfants pour des poupées/poupons sans réfléchir si c'est adapté pour eux ou sans leurs demander leurs avis quand ils le peuvent.
@MedusaQueen Je suis assez perplexe par rapport à la vidéo de réponse que tu as posté sur la vidéo Suis je une vilaine terf (ma cotation ne marche pas). Je ne connaissais ni ces youtubeuse ni ces vidéos, on dirait que QueerChretienne qui reponds à Antestesia confirme par ses réponses ce qui est dit dans la 1ere vidéo.
Par exemple parler de parent au lieu de mère, oui c'est mieux car inclusif mais ça coupe un peu les débats sur le sexisme au sein de la parentalité si on ne nomme plus les mères ? Sur la transphobie si une femme lesbienne ne veut pas coucher avec une femme trans avec un pénis, euuh comparer vulve et micro pénis serieusement?
Sur les expériences de sexisme identique alors que n'est donné comme exemple que le harcèlement de rue (les femmes trans vivent le sexisme et la transphobie, deux choses qui se mêlent, elles vivent des choses différentes des femmes cis, ça me semble pas deconnant de dire que les femmes cis, qui ne vivent pas la transphobie, peuvent vivre le sexisme différent, notamment à la socialisation étant enfant: être élevé en compétition pour l'attention des hommes par exemple, au niveau des Jeux d'enfants qui façonnent les futurs goûts et carrières, au niveau de lorientation scolaire, etc).
Sur les groupes de parole de victimes je suis également réservée sur les arguments avancé du "moi ça m'a pas dérangé". À partir du moment où on parle de parole de victimes de viol je suis réservée, comme sur les histoires de pénis et de transphobie, sur les réponses à apporter aux femmes victimes qui seraient gênées. Deconstruire ses préjugés c'est possible, de construire ses traumatismes par contre...
Du coup cette vidéo de réponse me donne une impression très étrange, j'ai l'impression qu'on tombe pile dans ce qui est dénoncé sans aller plus loin
Par exemple parler de parent au lieu de mère, oui c'est mieux car inclusif mais ça coupe un peu les débats sur le sexisme au sein de la parentalité si on ne nomme plus les mères ? Sur la transphobie si une femme lesbienne ne veut pas coucher avec une femme trans avec un pénis, euuh comparer vulve et micro pénis serieusement?
Sur les expériences de sexisme identique alors que n'est donné comme exemple que le harcèlement de rue (les femmes trans vivent le sexisme et la transphobie, deux choses qui se mêlent, elles vivent des choses différentes des femmes cis, ça me semble pas deconnant de dire que les femmes cis, qui ne vivent pas la transphobie, peuvent vivre le sexisme différent, notamment à la socialisation étant enfant: être élevé en compétition pour l'attention des hommes par exemple, au niveau des Jeux d'enfants qui façonnent les futurs goûts et carrières, au niveau de lorientation scolaire, etc).
Sur les groupes de parole de victimes je suis également réservée sur les arguments avancé du "moi ça m'a pas dérangé". À partir du moment où on parle de parole de victimes de viol je suis réservée, comme sur les histoires de pénis et de transphobie, sur les réponses à apporter aux femmes victimes qui seraient gênées. Deconstruire ses préjugés c'est possible, de construire ses traumatismes par contre...
Du coup cette vidéo de réponse me donne une impression très étrange, j'ai l'impression qu'on tombe pile dans ce qui est dénoncé sans aller plus loin
Dernière édition :
Je viens de voir les vidéos du coup et y'a plusieurs trucs qui m'ont aussi fait tiquer dans la réponse de Queer Chrétienne...
Sur la question des réunions en non mixité, elle dit que la chose importante où il faut être vigilant, c'est la monopolisation de la parole (jusque là je suis d'accord), "monopolisation de la parole" qui n'a "pas de genre, pas de sexe", ah? Pourquoi avancer quelque chose de faux pour défendre son point de vue? Je trouve ça contre-productif, on peut juste dire de faire attention à la monopolisation de la parole, et avancer que c'est pas parce qu'une partie des femmes trans ont plus été élevées dans l'enfance / l'adolescence à prendre la parole par rapport aux femmes cis que ça va forcément être le cas là...
Sur le fait que les femmes trans et les femmes cis vivent la même chose niveau sexisme, le témoignage de Sophie dans l'espace public est intéressant... tout en confirmant je trouve que si les vécus du sexisme sont évidemment similaires sur certains points, sur d'autres ils ne le sont pas: rien que le fait de remarquer la différence, le fait de s'en rendre compte à l'âge adulte et de commencer à subir le sexisme ("les incivilités sont devenues récurrentes pour elle"), c'est pas exactement pareil que de le subir depuis la naissance... la question de "l'avant" que mentionne @adita est j'ai l'impression souvent l'angle mort de cette problématique, comme si le sexisme subi n'était réductible qu'à celui subi adulte, comme si une enfance et une adolescence genrée, conditionnée, ça ne comprait pas.
Là l'exemple de s'écarter sur le trottoir quand on croise un homme car eux ils bougent pas, bah oui j'ai envie de dire, c'est "naturel" (construit socialement) de s'écarter pour les femmes, et ce depuis l'enfance... s'effacer depuis toujours devant les hommes, sans forcément l'avoir conceptualisé d'ailleurs! est-ce que c'est vraiment exactement pareil que de le subir uniquement à l'âge adulte et du coup en "remarquant" la différence et donc le problème? Le sexisme subi reste le même dès qu'on croise un homme, pourtant je suis perplexe de dire que c'est exactement pareil pour tout.
Est-ce à dire que les femmes trans ne subissent pas de sexisme? Non bien sûr. Par contre vouloir dire à tout pris "c'est la même expérience du sexisme" alors qu'il y a dedans des choses identiques et d'autres différentes, je ne comprends pas l'idée. L'important je pense c'est de ne pas faire de hiérarchie entre les différentes expériences de sexisme subi, au lieu de tout fourrer dans un grand "c'est pareil" alors qu'on ne peut pas vraiment dire ça vu que ça n'est pas le cas.
Pour le partie sur les lesbiennes et les femmes trans je trouve son argumentaire assez fatiguant: elle fait une généralité de son propre cas, "on est attiré par une personne habillée, pas par la forme des organes génitaux"... Bah écoute si pour toi les caractères sexuels primaires comme les organes génitaux n'ont ne rentrent pas en compte dans ton orientation sexuelle c'est cool mais pourquoi généraliser ses goûts persos à toutes en invalidant les orientations sexuelles incluant les caractères sexuelles primaires dedans?
Et dire "y'a plein de formes de vulves différentes" en sous-entendant donc qu'un pénis n'est qu'une vulve différente au milieu d'autres vulves différentes, euh... une opinion personnelle est peut-être pas généralisable à toutes quoi...
D'ailleurs comme le souligne @adita ta on est quand beaucoup dans cette vidéo dans le "alors moi ça me dérange pas" érige en vérité générale -> "mon expérience" = doit être celle des autres.
Alors c'est très bien d'apporter un avis différent, ça équilibre et cet avis doit être entendu, par contre généraliser dessus et croire que ça en fait un argument là pour moi y'a un souci.
Sur la question des réunions en non mixité, elle dit que la chose importante où il faut être vigilant, c'est la monopolisation de la parole (jusque là je suis d'accord), "monopolisation de la parole" qui n'a "pas de genre, pas de sexe", ah? Pourquoi avancer quelque chose de faux pour défendre son point de vue? Je trouve ça contre-productif, on peut juste dire de faire attention à la monopolisation de la parole, et avancer que c'est pas parce qu'une partie des femmes trans ont plus été élevées dans l'enfance / l'adolescence à prendre la parole par rapport aux femmes cis que ça va forcément être le cas là...
Sur le fait que les femmes trans et les femmes cis vivent la même chose niveau sexisme, le témoignage de Sophie dans l'espace public est intéressant... tout en confirmant je trouve que si les vécus du sexisme sont évidemment similaires sur certains points, sur d'autres ils ne le sont pas: rien que le fait de remarquer la différence, le fait de s'en rendre compte à l'âge adulte et de commencer à subir le sexisme ("les incivilités sont devenues récurrentes pour elle"), c'est pas exactement pareil que de le subir depuis la naissance... la question de "l'avant" que mentionne @adita est j'ai l'impression souvent l'angle mort de cette problématique, comme si le sexisme subi n'était réductible qu'à celui subi adulte, comme si une enfance et une adolescence genrée, conditionnée, ça ne comprait pas.
Là l'exemple de s'écarter sur le trottoir quand on croise un homme car eux ils bougent pas, bah oui j'ai envie de dire, c'est "naturel" (construit socialement) de s'écarter pour les femmes, et ce depuis l'enfance... s'effacer depuis toujours devant les hommes, sans forcément l'avoir conceptualisé d'ailleurs! est-ce que c'est vraiment exactement pareil que de le subir uniquement à l'âge adulte et du coup en "remarquant" la différence et donc le problème? Le sexisme subi reste le même dès qu'on croise un homme, pourtant je suis perplexe de dire que c'est exactement pareil pour tout.
Est-ce à dire que les femmes trans ne subissent pas de sexisme? Non bien sûr. Par contre vouloir dire à tout pris "c'est la même expérience du sexisme" alors qu'il y a dedans des choses identiques et d'autres différentes, je ne comprends pas l'idée. L'important je pense c'est de ne pas faire de hiérarchie entre les différentes expériences de sexisme subi, au lieu de tout fourrer dans un grand "c'est pareil" alors qu'on ne peut pas vraiment dire ça vu que ça n'est pas le cas.
Pour le partie sur les lesbiennes et les femmes trans je trouve son argumentaire assez fatiguant: elle fait une généralité de son propre cas, "on est attiré par une personne habillée, pas par la forme des organes génitaux"... Bah écoute si pour toi les caractères sexuels primaires comme les organes génitaux n'ont ne rentrent pas en compte dans ton orientation sexuelle c'est cool mais pourquoi généraliser ses goûts persos à toutes en invalidant les orientations sexuelles incluant les caractères sexuelles primaires dedans?
Et dire "y'a plein de formes de vulves différentes" en sous-entendant donc qu'un pénis n'est qu'une vulve différente au milieu d'autres vulves différentes, euh... une opinion personnelle est peut-être pas généralisable à toutes quoi...
D'ailleurs comme le souligne @adita ta on est quand beaucoup dans cette vidéo dans le "alors moi ça me dérange pas" érige en vérité générale -> "mon expérience" = doit être celle des autres.
Alors c'est très bien d'apporter un avis différent, ça équilibre et cet avis doit être entendu, par contre généraliser dessus et croire que ça en fait un argument là pour moi y'a un souci.
Dernière édition :
@Lizey Quand je travaillais en maison de repos, y avait 2 ascenseurs l'un à côté de l'autre mais indépendant donc si on appelait l'ascenceur de droite, cela n'appelait que celui là et pas celui de gauche aussi.
Et les gens passaient leur temps à appeler les 2 ascenseurs en même temps ! De 1, ça faisait perdre son temps à tout le monde car l'ascenseur s'arrêtait souvent à un étage où la personne avait appelé mais avait pris l'autre ascenseurs
Mais surtout, ça multipliait les fugues de résidents désorientés ! Enfin, même pas spécialement des fugues dans le sens où pour certains, c'était pas volontaire, c'était plus ils se perdaient. Mais bon, tu peux te douter que si tu demandes 2 ascenseurs et que tu prends le premier qui arrive, le second va arriver aussi et s'ouvrir avec personne devant. Dans un endroit avec des personnes désorientées qui vont juste rentrer dans l'ascenseur par "réflexe" (ou pour d'autres moins avancés dans la maladie, prendre l'ascenseur car ils savent que c'est par là qu'on sort même s'ils savent pas trop où ils sont).
Fin là, c'était la faute du mec qui a conçu le bâtiment au départ mais les professionnels de soin peuvent quand même se dire "tiens je vais pas appeler 2 ascenseurs en même temps, sinon je risque de devoir aller rechercher madame X dans la rue dans 5 min".
Et les gens passaient leur temps à appeler les 2 ascenseurs en même temps ! De 1, ça faisait perdre son temps à tout le monde car l'ascenseur s'arrêtait souvent à un étage où la personne avait appelé mais avait pris l'autre ascenseurs
Mais surtout, ça multipliait les fugues de résidents désorientés ! Enfin, même pas spécialement des fugues dans le sens où pour certains, c'était pas volontaire, c'était plus ils se perdaient. Mais bon, tu peux te douter que si tu demandes 2 ascenseurs et que tu prends le premier qui arrive, le second va arriver aussi et s'ouvrir avec personne devant. Dans un endroit avec des personnes désorientées qui vont juste rentrer dans l'ascenseur par "réflexe" (ou pour d'autres moins avancés dans la maladie, prendre l'ascenseur car ils savent que c'est par là qu'on sort même s'ils savent pas trop où ils sont).
Fin là, c'était la faute du mec qui a conçu le bâtiment au départ mais les professionnels de soin peuvent quand même se dire "tiens je vais pas appeler 2 ascenseurs en même temps, sinon je risque de devoir aller rechercher madame X dans la rue dans 5 min".
Pour continuer sur le monde fou des ascenseurs, là où j'habitais avant il y en avait deux, un qui ne s'arrêtait qu'aux étages pairs, l'autre aux étages impairs... Je soupçonne les constructeurs de vouloir créer des variantes, un peu comme on sort un nouvel Iphone avec deux nouveautés et demie, ils ont peut-être peur qu'on trouve les ascenseurs ringards à force 
?
?
Je ne comprend pas pourquoi ça perturbe autant les gens que d'autres ne veuillent pas parler. Sérieux, y en a qui crient au scandale parce qu'il y a la possibilité de demander aux chauffeurs Uber que l'on ne veut pas faire la conversation. Je vois pas en quoi c'est impoli et inhumain… la politesse d'accord "Bonjour, merci, au revoir, s'il vous plait" ok, mais faire du smalltalk non, c'est pas obligé. Surtout qu'il y a des gens qui sont hyper mal à l'aise avec ça.
Perso, dans les lieux publics, je n'aime pas qu'on me parle, ça me met mal à l'aise, je bafouille et je met à raconter des trucs inintéressants juste pour pas passer pour une rustre. Quand je fais mes courses, je veux juste payer et partir, quand je suis dans les transports je veux juste aller d'un point A à un point B, quand j'attend un train ou un bus, je veux juste attendre mon transport, quand je lis dans un café je veux juste lire dans un café, etc...
J'ai pas envi de raconter ma vie ou faire du smalltalk à Micheline Jesaistout ou à Jean-Mi Relou.
Perso, dans les lieux publics, je n'aime pas qu'on me parle, ça me met mal à l'aise, je bafouille et je met à raconter des trucs inintéressants juste pour pas passer pour une rustre. Quand je fais mes courses, je veux juste payer et partir, quand je suis dans les transports je veux juste aller d'un point A à un point B, quand j'attend un train ou un bus, je veux juste attendre mon transport, quand je lis dans un café je veux juste lire dans un café, etc...
J'ai pas envi de raconter ma vie ou faire du smalltalk à Micheline Jesaistout ou à Jean-Mi Relou.
@MissDodo Le coiffeur c'est encore pire, vu que je retire mon appareil auditif j'entend tres mal donc ça fout une pression de plus.
Je ne comprends pas pourquoi on dit "à tes souhaits" quand quelqu'un éternue
(et par là j'entends ne pas comprendre pourquoi on dit quelque chose quand on éternue et pas quand on se mouche par exemple, plus que l'origine de l'expression en elle-même)
(après c'est chouette hein je dis pas)
(et par là j'entends ne pas comprendre pourquoi on dit quelque chose quand on éternue et pas quand on se mouche par exemple, plus que l'origine de l'expression en elle-même)
(après c'est chouette hein je dis pas
)
@Lord Griffith Ouais on dirait… dès que tu tape pas la discut' t'es donc quelqu'un qui est pas normal.
Dooouuuuble poooost !! Sorry !! 
Il y a un truc que je comprend pas dans les réactions de mes proches à propos de l'humour.
Ils me sortent que j'ai pas d'humour ou que je ne comprend pas l'humour.
Mais pour dire ça, ils jugent mes réactions à partir de blagues qui ne me font pas rire. Et répètent toujours ces mêmes blagues… ils s'imaginent quoi ? Que je vais soudainement les trouver drôles ?
Puis je sais pas, quand je leur dit que ces blagues me font pas rires, ils sont incapables de respecter ça.
Et un truc qui m'énerve beaucoup, c'est ma mère qui sort aux gens que je ne comprend pas l'humour, alors qu'en fait on se trouve dans un lieu bruyant, la personne qui me parle je la comprend à moitié donc met un peu de temps à comprendre et sa blague porte sur un truc qui m'est un peu inconnu.
EVIDEMMENT que je vais pas rire trou du cul !
Du coup je comprend pas pourquoi ils ne veulent pas comprendre, et j'ai beau leur expliquer qu'on a pas tous le même humour et qu'une blague répétée 10 000 fois même si on a pu la trouver drole ne devient plus drôle.... parce que diantre ! le rire est provoqué par la surprise ! Alors oui c'est possible qu'une blague nous fasse tout le temps rire, mais pour ça faut qu'elle nous fasse rire la première fois. Mais quand c'est pas le cas bordel ça peut pas marcher ! Surtout si c'est une blague qui n'a aucun subtilité.
Donc moi les blagues de beaufs, oppressives ça me fait pas rire.... alors pourquoi continuer à en faire pour que ça m'énerve, me fait passer pour une rabat joie et donner une mauvaise ambiance à une soirée qui aurait très bien pu se passer de ça ?
Il y a un truc que je comprend pas dans les réactions de mes proches à propos de l'humour.
Ils me sortent que j'ai pas d'humour ou que je ne comprend pas l'humour.
Mais pour dire ça, ils jugent mes réactions à partir de blagues qui ne me font pas rire. Et répètent toujours ces mêmes blagues… ils s'imaginent quoi ? Que je vais soudainement les trouver drôles ?
Puis je sais pas, quand je leur dit que ces blagues me font pas rires, ils sont incapables de respecter ça.
Et un truc qui m'énerve beaucoup, c'est ma mère qui sort aux gens que je ne comprend pas l'humour, alors qu'en fait on se trouve dans un lieu bruyant, la personne qui me parle je la comprend à moitié donc met un peu de temps à comprendre et sa blague porte sur un truc qui m'est un peu inconnu.
EVIDEMMENT que je vais pas rire trou du cul !
Du coup je comprend pas pourquoi ils ne veulent pas comprendre, et j'ai beau leur expliquer qu'on a pas tous le même humour et qu'une blague répétée 10 000 fois même si on a pu la trouver drole ne devient plus drôle.... parce que diantre ! le rire est provoqué par la surprise ! Alors oui c'est possible qu'une blague nous fasse tout le temps rire, mais pour ça faut qu'elle nous fasse rire la première fois. Mais quand c'est pas le cas bordel ça peut pas marcher ! Surtout si c'est une blague qui n'a aucun subtilité.
Donc moi les blagues de beaufs, oppressives ça me fait pas rire.... alors pourquoi continuer à en faire pour que ça m'énerve, me fait passer pour une rabat joie et donner une mauvaise ambiance à une soirée qui aurait très bien pu se passer de ça ?
