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Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
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*tousse* Woody Allen *tousse* Roman Polanski *tousse* et à peu près tous les cas de pédophilie qui ne correspondent pas au mec chelou qui traque des petites filles sur Internet ou à la sortie des écoles *tousse*Très franchement les pédophiles étant sans doute LA catégorie de la population la plus honnie du monde, je ne suis pas sûre qu'avouer ses penchants pédophiles soit une manière de s'attirer la sympathie des gensIls pourraient dire qu'ils sont bénévoles à la SPA par exemple, c'est nettement moins risqué
On hait beaucoup les pédophiles en théorie, mais justement parce qu'on a plein de fantasmes et d'idées reçues sur les pédophiles. Je ne sais pas ce que tu entends par "abstinent", mais j'ai très honnêtement du mal à ne pas trouver répugnant de fantasmer sur des enfants, même si il n'y a pas d'actes ou de consommation de pédopornographie. Etant donné que ce qui induit le fantasme c'est le rapport de pouvoir avec les enfants, "innocents" et incapables de consentir, je pense qu'on parle de personnes assez horribles, ouais.
Quant à savoir si certaines personnes sont réellement malades et ne peuvent pas se contrôler (@Sword), j'ai du mal à y croire et je crois que je m'en fiche un peu.
EDIT : Et les articles de Rue89, je vois très bien de quoi tu parles, et en creusant un peu, c'est exactement la technique de victimisation que j'ai décrite plus tôt.
EDIT2 : J'avais oublié de te répondre sur ce point, @Sword : je ne doute pas que beaucoup de personnes souffrant de maladies mentales finissent en prison, mais ça ne veut pas dire qu'il y a un lien entre maladies mentales et crimes (c'est une des raisons pour laquelle j'estime que la justice est partiale, et qui fait que je m'oppose à la peine de mort). On peut souffrir de maladies mentales et différencier sans problème le bien du mal et ne pas commettre de crimes. Ou en commettre malgré tout sans que ça ait un lien avec la maladie, mais que les gens établissent un lien de causalité malgré tout. Mais bon, c'est un autre sujet, et ça fait trop de débats pour ce soir.
Dernière édition :
@Sword : (J'ai rajouté un édit à mon message précédent, je en sais pas si tu le verras avec les bugs de mention.)
Bien sûr que les gens fantasment sur ce qu'ils veulent, mais si je fantasmais sur le fait de violer des enfants, je me demanderais quand même comment j'en suis arrivée là et c'est mon système de pensée que je remettrai en cause, plutôt que de m'inventer une maladie.
Bien sûr que les gens fantasment sur ce qu'ils veulent, mais si je fantasmais sur le fait de violer des enfants, je me demanderais quand même comment j'en suis arrivée là et c'est mon système de pensée que je remettrai en cause, plutôt que de m'inventer une maladie.
Vu le déferlement de "oh les pauvres, peut-être qu'ils peuvent rien y faire", je pense que oui, c'est pas trop, trop mal vu.@Rosenrot_ je rejoins à 100% @Sword. Mais je me dis, admettons. Admettons que dans certains contextes la pédophilie n'est pas SI mal vue, admettons que ce soit répugnant d'avoir des fantasmes pédophiles, même si on ne passe pas à l'acte. Bon, maintenant qu'on a dit ça on fait quoi ? On coupe les couilles à ceux qui passent à l'acte et on traque et voue aux gémonies ceux qui ne passent pas à l'acte ?Au delà de la question morale posée par cette méthode, quelle efficacité ?
La prévention est curieusement absente de ton discours, que proposes-tu ?
Et excuse-moi de condamner les pédophiles sans apporter de solutions concrètes, qui ne consisteraient de toute façon pas en les solutions barbares que tu proposes (je pense avoir été suffisamment claire en m'opposant à la peine de mort). Je n'ai également JAMAIS parlé de condamnation judiciaire pour les fameux "pédophiles abstinents", seulement de "remise en question" (qui est encore la meilleure des préventions, mais je ne me fais pas d'illusion). Je suis aussi pour la paix dans le monde, mais je ne sais pas précisément comment y parvenir, donc je m'abstiens de souhaiter cette utopie ? (En attendant, qu'est-ce que TU proposes ? 
)
@Sword : Et bien, je ne suis pas d'accord, tout simplement. Tes attirances (qui sont très répandues de surcroît) ne naissent pas de rien, et ça me semble évident que vivre dans une société hétéronormée a une influence. Je trouve que c'est dommage de partir du principe que les fantasmes et les attirances existent dans une sorte de vide détaché de la société, qu'on ne peut pas les influer et qu'il n'y a pas à y réfléchir, mais je sais que c'est une opinion très répandue dans la communauté "sex-positive", et c'est une des raisons qui fait que ce système de pensée ne m'intéresse plus.
Tes attirances (qui sont très répandues de surcroît) ne naissent pas de rien, et ça me semble évident que vivre dans une société hétéronormée a une influence. Je trouve que c'est dommage de partir du principe que les fantasmes et les attirances existent dans une sorte de vide détaché de la société, qu'on ne peut pas les influer et qu'il n'y a pas à y réfléchir, mais je sais que c'est une opinion très répandue dans la communauté "sex-positive", et c'est une des raisons qui fait que ce système de pensée ne m'intéresse plus.
Au contraire, je pense qu'ils ont très bien intégré les systèmes de hiérarchie qui existent. C'est strictement la même logique que le viol au sens large.Tu sembles vraiment considérer que les gens qui éprouvent des attirances pédophiles sont en quelque sort en-dehors de l'humanité, et ça me laisse perplexe
@Acathe : Les 3/4 des propos que tu me prête ne sont pas les miens. 
L'image fantasmée des pédophiles, je l'ai déjà abordée : c'est celle du pervers la bave aux lèvres qui enlève des enfants à la sortie des écoles. C'est l'idée que la pédophilie est un phénomène marginal, que les pédophiles sont des fous, et pas des gens normaux que tu côtoies tout le jours (je répète : même logique que dans la culture du viol). (Astuce pour lutter contre la pédophilie : assurez-vous de connaître un maximum de gens. Les gens qu'on connaît ne peuvent pas être pédophiles.)
Sur quoi je me base pour affirmer que les pédophiles utilisent des techniques de manipulation pour se victimiser ? Leurs discours ne sont pas difficiles à trouver, et pas difficiles non plus à décortiquer. (Besoin de faire encore la comparaison avec la culture du viol ?) Je ne parle pas d'un cerveau unique partagé entre individus, je parle d'un phénomène culturel.
Quand je dis que je voudrais que Julien Blanc meure, d'une part je ne fantasme pas sur son meurtre (j'ai même parlé de justice divine), d'autre part c'est un sentiment motivé par un désir de "vengeance" parce que ses actions me choquent et me blessent. Explique-moi quels motifs peuvent animer un pédophile pour fantasmer sur le viol d'enfants si ce n'est la volonté de dominer et de blesser.
"Alors tu crois que tous les homosexuels qui auraient voulu devenir hétéro manquaient juste de bonne volonté?"
Je sais pas comment t'as pu en arriver à conclure que c'était dans ma logique, mais soit.
Je crois que notre orientation sexuelle est pour beaucoup définie par notre environnement, nos rencontres, etc, et qu'elle est susceptible de changer. Mais je ne vois pas quelle raison les homosexuels pourraient avoir de VOULOIR la changer, donc la question ne se pose pas.
"Tu penses que des enfants qui vivent dans un milieu où ils sont battus, abusés, vivent la communication dans la violence ou le silence, devraient faire un peu plus d'efforts pour voir les choses autrement?"
What ? (Désolée, mais je cherche vainement le rapport avec la choucroute.)
"J'ai du mal avec la propension à parler de monstres à tout bout de champs. Les personnes que tu imagines sans aucun sentiment ni compassion, des coquilles vides, sont une infime partie des personnes en prison. Je crois que les psychopathes sont de l'ordre de 1%. "
C'est pas comme si c'est ce que je disais depuis mon 1er message, mais passons.
Sinon, tu parlais à un moment de ton message (mais je ne retrouve plus où) de personnes abusées qui deviennent abusives. La plupart des personnes abusées ne deviennent pas abusives, donc tu ne crois pas qu'à un moment celles qui le sont ont choisit de l'être ? Ce serait vraiment cool d'arrêter de chercher des excuses aux agresseurs.
J'ai essayé de mener ce débat de façon la plus calme possible, mais ton message me tape vraiment sur les nerfs, et vu que vous êtes décidées à me prêter des propos que je n'ai jamais formulés, je vais m'arrêter là.
L'image fantasmée des pédophiles, je l'ai déjà abordée : c'est celle du pervers la bave aux lèvres qui enlève des enfants à la sortie des écoles. C'est l'idée que la pédophilie est un phénomène marginal, que les pédophiles sont des fous, et pas des gens normaux que tu côtoies tout le jours (je répète : même logique que dans la culture du viol). (Astuce pour lutter contre la pédophilie : assurez-vous de connaître un maximum de gens. Les gens qu'on connaît ne peuvent pas être pédophiles.)
Sur quoi je me base pour affirmer que les pédophiles utilisent des techniques de manipulation pour se victimiser ? Leurs discours ne sont pas difficiles à trouver, et pas difficiles non plus à décortiquer. (Besoin de faire encore la comparaison avec la culture du viol ?) Je ne parle pas d'un cerveau unique partagé entre individus, je parle d'un phénomène culturel.
Quand je dis que je voudrais que Julien Blanc meure, d'une part je ne fantasme pas sur son meurtre (j'ai même parlé de justice divine
), d'autre part c'est un sentiment motivé par un désir de "vengeance" parce que ses actions me choquent et me blessent. Explique-moi quels motifs peuvent animer un pédophile pour fantasmer sur le viol d'enfants si ce n'est la volonté de dominer et de blesser."Alors tu crois que tous les homosexuels qui auraient voulu devenir hétéro manquaient juste de bonne volonté?"
Je sais pas comment t'as pu en arriver à conclure que c'était dans ma logique, mais soit.
Je crois que notre orientation sexuelle est pour beaucoup définie par notre environnement, nos rencontres, etc, et qu'elle est susceptible de changer. Mais je ne vois pas quelle raison les homosexuels pourraient avoir de VOULOIR la changer, donc la question ne se pose pas.
"Tu penses que des enfants qui vivent dans un milieu où ils sont battus, abusés, vivent la communication dans la violence ou le silence, devraient faire un peu plus d'efforts pour voir les choses autrement?"
What ?
(Désolée, mais je cherche vainement le rapport avec la choucroute.)"J'ai du mal avec la propension à parler de monstres à tout bout de champs. Les personnes que tu imagines sans aucun sentiment ni compassion, des coquilles vides, sont une infime partie des personnes en prison. Je crois que les psychopathes sont de l'ordre de 1%. "
C'est pas comme si c'est ce que je disais depuis mon 1er message, mais passons.
Sinon, tu parlais à un moment de ton message (mais je ne retrouve plus où) de personnes abusées qui deviennent abusives. La plupart des personnes abusées ne deviennent pas abusives, donc tu ne crois pas qu'à un moment celles qui le sont ont choisit de l'être ? Ce serait vraiment cool d'arrêter de chercher des excuses aux agresseurs.
J'ai essayé de mener ce débat de façon la plus calme possible, mais ton message me tape vraiment sur les nerfs, et vu que vous êtes décidées à me prêter des propos que je n'ai jamais formulés, je vais m'arrêter là.
I
Ink
Guest
Je ne comprends pas les familles qui se font la bise entre eux quand ils habitent sous le même toit
Enfin, pour moi faire la bise c'est "dire bonjour/au revoir" à quelqu'un que je vais quitter temporairement et qui va aussi quitter ma maison. Si il reste dans la maison, je ne vois pas l'intérêt de refaire la bise le lendemain. Pareil quand je dors chez des ami-e-s, je vais pas refaire la bise à toute la maisonnée. Alors que eux, si. La bise pour moi, c'est vraiment pour l'extérieur, pas l'intérieur
Du coup maintenant que le copain de ma mère a emménagé, je dois leur faire la bise tous les deux le matin et ça me perturbe car j'ai jamais fait ça avant
Et encore pire avec mon frère, depuis qu'il a quitté la maison on est comme trop perdu à ce niveau-là, à chaque fois on hésite à se faire la bise et on se regarde comme deux ronds de flan 
Enfin, pour moi faire la bise c'est "dire bonjour/au revoir" à quelqu'un que je vais quitter temporairement et qui va aussi quitter ma maison. Si il reste dans la maison, je ne vois pas l'intérêt de refaire la bise le lendemain. Pareil quand je dors chez des ami-e-s, je vais pas refaire la bise à toute la maisonnée. Alors que eux, si. La bise pour moi, c'est vraiment pour l'extérieur, pas l'intérieur
Du coup maintenant que le copain de ma mère a emménagé, je dois leur faire la bise tous les deux le matin et ça me perturbe car j'ai jamais fait ça avant
Et encore pire avec mon frère, depuis qu'il a quitté la maison on est comme trop perdu à ce niveau-là, à chaque fois on hésite à se faire la bise et on se regarde comme deux ronds de flan 
@Ink : perso je fais la bise le matin à ma famille, parce que c'est comme un "bonjour", y'a eu la rupture de la nuit (donc minimum 8h sans se parler / se voir). C'est vraiment une habitude, de dire bonjour chaque matin (même si concrètement on est sous le même toit, une nuit est passée, c'est un jour tout nouveau qui commence 
).
Et aussi on aime bien se faire la bise chez moi (mon frère et mon père ont carrément le droit à un vrai bisou sur la joue!), c'est un prétexte pour être mignons entre nous je suppose, enfin perso c'est vraiment pour ça que je le fais (fifille à son papa spotted!). Mais je comprends ton point de vue, tout ça est très perturbant en fait !
D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi certains hommes ne se font pas la bise. Genre ils se serrent la main entre potes 
. Et me disent ensuite que la bise c'est "un truc de fille" 
. Pourquoi? Je connais plein de mecs qui se font la bise sans soucis pourtant, j'ai du mal à comprendre pourquoi c'est considéré comme "un truc de meufs" par certains. D'où vient cette convention bizarre ?
).Et aussi on aime bien se faire la bise chez moi (mon frère et mon père ont carrément le droit à un vrai bisou sur la joue!), c'est un prétexte pour être mignons entre nous je suppose, enfin perso c'est vraiment pour ça que je le fais (fifille à son papa spotted
!). Mais je comprends ton point de vue, tout ça est très perturbant en fait !D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi certains hommes ne se font pas la bise
. Genre ils se serrent la main entre potes . Et me disent ensuite que la bise c'est "un truc de fille" . Pourquoi? Je connais plein de mecs qui se font la bise sans soucis pourtant, j'ai du mal à comprendre pourquoi c'est considéré comme "un truc de meufs" par certains. D'où vient cette convention bizarre ?
@Ink Question d'habitude, probablement
Pour toi habituellement la bise c'est plutôt pour les bonjour/au revoir "extérieurs" comme tu dis, alors que pour moi depuis que je suis petite ça accompagne automatiquement un bonjour/au revoir quel qu'il soit (oui bon sauf avec des inconnus hein ), donc tous les matins et les soirs aussi quand je suis en famille (tiens maintenant que j'y pense, je ne le fais pas ou peu avec mes amis quand on dort les uns chez les autres ).
Ceci dit j'ai du mal à comprendre les gens qui, au lieu de se faire la bise, se font un bisou sur la bouche (entre parents et enfants)
. Une question d'habitude aussi ?
Edit: Oups je n'avais pas vu le message d' @Endless
Pour toi habituellement la bise c'est plutôt pour les bonjour/au revoir "extérieurs" comme tu dis, alors que pour moi depuis que je suis petite ça accompagne automatiquement un bonjour/au revoir quel qu'il soit (oui bon sauf avec des inconnus hein
), donc tous les matins et les soirs aussi quand je suis en famille (tiens maintenant que j'y pense, je ne le fais pas ou peu avec mes amis quand on dort les uns chez les autres ).Ceci dit j'ai du mal à comprendre les gens qui, au lieu de se faire la bise, se font un bisou sur la bouche (entre parents et enfants)
. Une question d'habitude aussi ? Edit: Oups je n'avais pas vu le message d' @Endless
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