Le pire dans tout ça c'est qu'on ne va pas trop essayer de mettre en lumière les comportements des c*** qui font ça, alors que c'est clairement par là que doit se tourner tout le système de solution, non on continue à apprendre à se cacher/défendre/prévenir de ce genre de comportement... duquel nous ne sommes en rien responsables, ni par nos vêtements (quand bien même on se baladerait à poil dans la rue, je ne vois pas en quoi ça donne le droit à qui que ce soit de nous toucher...), ni par notre comportement (si c'est non, c'est non, ça veut pas dire "oh oui j'ai trop envie mais j'ose pas le dire"), ... Bref, on tartine de rafistolages au lieu de stopper le problème en soi.
Comme la mad qui a écrit l'article j'ai eu pas mal de chance.La première fois dont je me souviens j'avais 10 ans, j'étais seule dans un chemin de promenade, pneu du vélo troué donc je rentrais à pied. Note pour celles qui disent qu'elles vivent dans un coin paumé : c'était un coin paumé, genre village - canal - champs quoi... Le mec m'a stoppée, m'a demandé si je voulais l'embrasser, il m'a touchée et ça m'a fait l'effet d'une décharge-adrénaline-coup de sueur. J'ai laissé là mon vélo et j'ai continué à marcher, genre super sure de moi. Du coup, il a pas su quoi faire et m'a laissée partir...
J'ai toujours réagi à chaud comme ça, (jusqu'à gifler un mec une fois) et c'est peut-être aussi ça qui a chaque fois aidé à me dépêtrer, ça plus énormément de bol... (train arrivé à temps / amis qui débarquent / ...) bref, de la "chance" mais je suis pleinement consciente que ça ne tient qu'à ça...
Comme la mad qui a écrit l'article j'ai eu pas mal de chance.La première fois dont je me souviens j'avais 10 ans, j'étais seule dans un chemin de promenade, pneu du vélo troué donc je rentrais à pied. Note pour celles qui disent qu'elles vivent dans un coin paumé : c'était un coin paumé, genre village - canal - champs quoi... Le mec m'a stoppée, m'a demandé si je voulais l'embrasser, il m'a touchée et ça m'a fait l'effet d'une décharge-adrénaline-coup de sueur. J'ai laissé là mon vélo et j'ai continué à marcher, genre super sure de moi. Du coup, il a pas su quoi faire et m'a laissée partir...
J'ai toujours réagi à chaud comme ça, (jusqu'à gifler un mec une fois) et c'est peut-être aussi ça qui a chaque fois aidé à me dépêtrer, ça plus énormément de bol... (train arrivé à temps / amis qui débarquent / ...) bref, de la "chance" mais je suis pleinement consciente que ça ne tient qu'à ça...