Ado, je m'y suis mise tard et j'ai culpabilisé.
Comme ensuite, j'ai eu un problème dans les parages, j'ai confessé à mon médecin que j'avais commencé à me masturber. Elle m'a dit : "ah ben c'est tard quand même! " J'ai donc culpabilisé de ne pas l'avoir fait plus tôt :-D.
Puis pendant mes études j'ai découvert une corrélation inattendue : plus je travaillais de l'intellect, plus ma libido augmentait et me déconcentrait... ça a été fun pour faire mon mémoire, et j'ai même augmenté la dose de ma pilule exprès pour que ça ne me "démange" pas trop.
Ensuite phase plus "religieuse" - on m'évoquait que c'était "mal", "interdit"... à la fois je n'étais pas d'accord et à la fois, je culpabilisais quand même. Et puis, j'avais l'impression que ma libido était quand même beaucoup plus élevée que "la moyenne". Je ne me sentais pas normale.
J'ai fini par en parler à ma gyné... au fil de la conversation, c'était de plus en plus cash... Et elle m'a rassurée sur l'absence totale de pathologie me concernant. Et quand j'ai évoqué que mes amies témoignaient d'une envie beaucoup moins grande de relations sexuelles si en couple, et la masturbation n'avait pas voix au chapitre, ma gyné m'a rétorqué "oh ben chacun-e ses besoins, il y en a qui ont besoin de 8h de sommeil, d'autres 5, d'autres 10... c'est pareil pour la libido!". Depuis lors, tout va bien. Comme dit @Cy. "mon clitoris ne connait plus la crise". Par contre, je n'en parlerais pas à n'importe qui non plus...
Comme ensuite, j'ai eu un problème dans les parages, j'ai confessé à mon médecin que j'avais commencé à me masturber. Elle m'a dit : "ah ben c'est tard quand même! " J'ai donc culpabilisé de ne pas l'avoir fait plus tôt :-D.
Puis pendant mes études j'ai découvert une corrélation inattendue : plus je travaillais de l'intellect, plus ma libido augmentait et me déconcentrait... ça a été fun pour faire mon mémoire, et j'ai même augmenté la dose de ma pilule exprès pour que ça ne me "démange" pas trop.
Ensuite phase plus "religieuse" - on m'évoquait que c'était "mal", "interdit"... à la fois je n'étais pas d'accord et à la fois, je culpabilisais quand même. Et puis, j'avais l'impression que ma libido était quand même beaucoup plus élevée que "la moyenne". Je ne me sentais pas normale.
J'ai fini par en parler à ma gyné... au fil de la conversation, c'était de plus en plus cash... Et elle m'a rassurée sur l'absence totale de pathologie me concernant. Et quand j'ai évoqué que mes amies témoignaient d'une envie beaucoup moins grande de relations sexuelles si en couple, et la masturbation n'avait pas voix au chapitre, ma gyné m'a rétorqué "oh ben chacun-e ses besoins, il y en a qui ont besoin de 8h de sommeil, d'autres 5, d'autres 10... c'est pareil pour la libido!". Depuis lors, tout va bien. Comme dit @Cy. "mon clitoris ne connait plus la crise". Par contre, je n'en parlerais pas à n'importe qui non plus...
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