Le crush du lycée : chronique d'un échec annoncé
- Initiateur de la discussion Jack Parker
- Date de début
Ah ouais, moi aussi j'en ai eu un... Un des frères de ma copine de classe. Je suis pas passée par une phase "d'intérêt grandissant", je suis tombée raide dingue de lui la première fois que je l'ai vu (ouais parce que moi, en mec qui joue "Don't cry" des Gun's à la guitare en chantant (super bien en plus, ce con) d'un air triste et torturé, c'était vraiment plus que l'extase), et c'est devenu une obsession délirante.
Je passais tout mon temps chez ma pote dans l'espoir de le croiser (et en plus, 99% du temps, il y était), je m'asseyais par terre en me collant à ses jambes quand il sortait sa gratte (*psychopaaaaathe*), et j'arrêtais pas d'essayer de choper des infos via ma pote (qui, une fois, probablement par pitié, m'a filé un de ses tee-shirt. Que j'ai passé des heures à renifler. Un vieux tee-shirt sale qui était dans la panière pour être lavé, un tee-shirt plein de transpi. Je l'ai reniflé pendant des HEURES.).
Sauf que moi, j'ai vraiment pu sortir avec lui. J'ai eu le droit à une déclaration comme dans les films américains (il a passé 5 bonnes minutes à me dire combien j'étais merveilleuse)(je déconne pas)(5 ans après je m'en remets toujours pas), et on a fini par sortir ensemble mais en cachette, parce que sa mère voulait pas (il avait 19 ans, moi 15, du coup elle voulait pas).
Ca a été 2mois qu'on a passé à jouer à cache-cache pour pas se faire choper. Je débarrassais les tasses à café de tout le monde et je faisais la vaisselle pour que, le temps que je fasse ça dans la cuisine, il trouve une excuse pour venir me rejoindre, et j'en passe... On a bien sûr fini par se faire choper, et il a ensuite passé 1 mois à essayer de me plaquer (oui, je dis bien essayer. Parce qu'en tant que bonne psychopathe de 15 ans en plein crush, je refusais tout simplement qu'il me plaque. Il le disait qu'il me quittait, je le rappelait ("harceler" est peut être plus juste d'ailleurs) jusqu'à ce qu'il accepte de me revoir, et c'était reparti pour un tour).
J'ai quand même mis plus d'un an à m'en remettre. Pff. Les hormones de lycéenne, ça craint. Chuis bien contente d'en être sortie !
Je passais tout mon temps chez ma pote dans l'espoir de le croiser (et en plus, 99% du temps, il y était), je m'asseyais par terre en me collant à ses jambes quand il sortait sa gratte (*psychopaaaaathe*), et j'arrêtais pas d'essayer de choper des infos via ma pote (qui, une fois, probablement par pitié, m'a filé un de ses tee-shirt. Que j'ai passé des heures à renifler. Un vieux tee-shirt sale qui était dans la panière pour être lavé, un tee-shirt plein de transpi. Je l'ai reniflé pendant des HEURES.).
Sauf que moi, j'ai vraiment pu sortir avec lui. J'ai eu le droit à une déclaration comme dans les films américains (il a passé 5 bonnes minutes à me dire combien j'étais merveilleuse)(je déconne pas)(5 ans après je m'en remets toujours pas), et on a fini par sortir ensemble mais en cachette, parce que sa mère voulait pas (il avait 19 ans, moi 15, du coup elle voulait pas).
Ca a été 2mois qu'on a passé à jouer à cache-cache pour pas se faire choper. Je débarrassais les tasses à café de tout le monde et je faisais la vaisselle pour que, le temps que je fasse ça dans la cuisine, il trouve une excuse pour venir me rejoindre, et j'en passe... On a bien sûr fini par se faire choper, et il a ensuite passé 1 mois à essayer de me plaquer (oui, je dis bien essayer. Parce qu'en tant que bonne psychopathe de 15 ans en plein crush, je refusais tout simplement qu'il me plaque. Il le disait qu'il me quittait, je le rappelait ("harceler" est peut être plus juste d'ailleurs) jusqu'à ce qu'il accepte de me revoir, et c'était reparti pour un tour).
J'ai quand même mis plus d'un an à m'en remettre. Pff. Les hormones de lycéenne, ça craint. Chuis bien contente d'en être sortie !
J
janec
Guest
Maindieu que ça fait du bien de lire ça ! Je me sens vraiment moins zinzin en repensant à cette période aha ! Merci : )
Ahhh, j'adore cet articles et les commentaires!
Voici mon crush du lycée, celui qui m'a rendu complétement dingue. Ca commence comme la plupart des histoires: il était en terminal, grand, beau, célibataire, et moi, j'étais folle de lui, et passais des heures à le regarder de loin.
Puis un jour, alors que je parlais avec deux filles de ma classe, voilà t-il pas qu'il se dirige vers nous, fait un signe de tete accompagné d'un "salut", sort un papier de son sac, le tend à l'une des filles en disant "Y'as maman qui veut que je te fasse passer ca", puis s'en va. Son intervention à duré environ 30sec, cela a suffit pour que je vire cramoisi, me mette à suer comme une malade, et réponde un "bczjbejzhb" à son salut.
Mais meme si il avait du me trouver bizarre, au moins je détenais une information capitale: mon crush était le grand frère d'une fille de ma classe! Je mets direct un plan d'attaque,
devenir amie avec la fille, qu'elle m'invite chez elle, puis ... euhh je savais pas trop après, se jeter sauvagement sur son frere? Plan qui a plutot bien fonctionné au départ, sauf qu'il n'était jamais chez lui lorsque j'étais là. C'est à ce moment que je suis passé en mode psychopate. Je pretextait régulièrement une envie d'aller aux toilettes, ca me permettait de passer juste devant sa chambre, et si il n'y avait personne dans les environs, je rentrais secretement dans sa chambre pour respirer son odeur pendant 10sec, et essayer de retenir par coeur le moindre objet qui se trouvait là! 
Alors qd un jour je l'ai appercu embrasser une autre fille, et bien non, je ne suis pas morte sur le coup, je me suis simplement fait la reflexion "ahhh, heureusement qu'on est pas sorti ensemble parcequ'il a l'air d'embrasser trop mal". Comment ca, de la mauvaise foi moi??? Qu'estce qu'on ne s'invente pas lorsqu'on vient d'avoir le coeur brisé.
Voici mon crush du lycée, celui qui m'a rendu complétement dingue. Ca commence comme la plupart des histoires: il était en terminal, grand, beau, célibataire, et moi, j'étais folle de lui, et passais des heures à le regarder de loin.
Puis un jour, alors que je parlais avec deux filles de ma classe, voilà t-il pas qu'il se dirige vers nous, fait un signe de tete accompagné d'un "salut", sort un papier de son sac, le tend à l'une des filles en disant "Y'as maman qui veut que je te fasse passer ca", puis s'en va. Son intervention à duré environ 30sec, cela a suffit pour que je vire cramoisi, me mette à suer comme une malade, et réponde un "bczjbejzhb" à son salut.
Mais meme si il avait du me trouver bizarre, au moins je détenais une information capitale: mon crush était le grand frère d'une fille de ma classe! Je mets direct un plan d'attaque,
devenir amie avec la fille, qu'elle m'invite chez elle, puis ... euhh je savais pas trop après, se jeter sauvagement sur son frere? Plan qui a plutot bien fonctionné au départ, sauf qu'il n'était jamais chez lui lorsque j'étais là. C'est à ce moment que je suis passé en mode psychopate. Je pretextait régulièrement une envie d'aller aux toilettes, ca me permettait de passer juste devant sa chambre, et si il n'y avait personne dans les environs, je rentrais secretement dans sa chambre pour respirer son odeur pendant 10sec, et essayer de retenir par coeur le moindre objet qui se trouvait là! Alors qd un jour je l'ai appercu embrasser une autre fille, et bien non, je ne suis pas morte sur le coup, je me suis simplement fait la reflexion "ahhh, heureusement qu'on est pas sorti ensemble parcequ'il a l'air d'embrasser trop mal". Comment ca, de la mauvaise foi moi??? Qu'estce qu'on ne s'invente pas lorsqu'on vient d'avoir le coeur brisé.
Je me roule tellement par terre en lisant vos histoires, merci de partager tout ça, vous êtes géniales 
(Edit : ha ouais en fait ça fait un beau pavé, je sais pas si j'ai pas un peu honte >_> 
)
AAaaaah, mais merci un milliard de fois pour cet article,
ça a fait ma soirée d'hier, et les commentaires aussi haha. Du coup j'ai nostalgié, je réfléchissais à répondre, et résultat cette nuit j'ai rêvé de mon ancien crush du collège ... C'était mimouuu.
(Mais je me faisais péter mon coup par un de mes profs de TD, trop la lose ~~)
Au collège donc, en 3ème, il s'appelait Florent et il était beau, mais beauuu. La jambe de poulpe à tous les étages quoi. Genre brun, les yeux profonds et des longs cils, et une boucle d'oreille (pour le côté bad boy tavu, mais c'était un gentil au fond -enfin, j'imagine-). Il avait deux ans de plus que moi (il avait retapé et j'avais un an d'avance : je crois qu'à l'époque c'était lui le seul point positif que je voyais dans le fait d'avoir sauté une classe) et il jouait de la batterie. J'ai jamais su s'il "savait", mais j'imagine qu'il devait me trouver chelou...(En plus j'ai le rougeoiement super facile, c'est vraiment nul ça). Il trainait toujours avec des gens populaires et des filles jolies et cool... Mais un jour, il m'a caressé les cheveux alors qu'il était assis derrière moi en cours (dis comme ça, ça fait un peu creepy en fait). Il avait aussi demandé à une de mes copines si j'étais célibataire (DUUUHHH), je crois que j'ai freezé toute la journée quand je l'ai appris, c'était même pas la peine de me parler, j'étais enfermée dans ma tête entrain de crier en agitant les bras intérieurement. Je me souviens très précisément de ce que je portais ce jour-là (un gilet trop moche que je détestais) et que j'ai réussi à manger qu'un yaourt. Mes autres copines comprenaient pas et j'arrivais même pas à leur annoncer THE nouvelle quoi. Au final il s'est rien passé (panda triste) et plus la fin de l'année approchait (il partait dans un lycée dans un autre trou du cul du monde) plus je dépérissais, jusqu'à la fête de fin d'année où il a joué de la batterie devant tout le monde. Et après ma vie n'avait plus aucun sens sans lui x).
N’empêche j'en étais vraiment entichée, une vraie godiche. Comme vous j'avais le journal intime, les descriptions de nos "conversations", les milliers d'interprétations des signes avec les copines et respectivement pour leurs crushs, les surnoms débiles ("la chèvre", Truc & Muche -ouais bon...-, "l'homme poire" -quand il riait il se fendait littéralement le visage en deux, impressionnant-, ...), l'écoute honteuse de musique de daube (c'était pas glorieux, d'ailleurs j'ai jamais compris pourquoi good charlotte allait si bien avec ma déprime amoureuse d'ado débile qui regarde par la fenêtre avec un air profondément torturé).
Mais ce crush là ça allait niveau sociopathie, il était à "disposition", dans ma classe, donc c'était simple... Par contre, au lycée, une amie (d'un autre établissement dans une autre ville où je n'allais que le w-e) avait flashé sur un type et là ça a viré au stalking en bonne et due forme (et vas-y que je te suis dans la rue -et que je te prends en photo (ouais j'avais la technologie appareil photo sur mon téléphone, trop precurseur, et la qualité était merveilleuse hahaha), et qu'on fait des comicstrips sur toi, et des montages vidéos des photos que tu postes sur ton skyblog, et que je stalk tes potes, ta meuf, etc. toujours avec forces surnoms et cris de dindes bien sur). Le pire c'est que ce pauvre bougre au début, je l'avais jamais vu en vrai, juste en photo. Le jour où je l'ai croisé par hasard dans la rue, je l'ai reconnu direct. Je jure que le temps s'est arrêté à ce moment, mon regard a fait un zoom camera sur lui en train de courir, cheveux et nez (rouge) au vent. Quand la réalité a repris le dessus j'ai directement envoyé un sms hurlant à mes copines (du genre "OH MON DIEU JE CROIS QUE JAI CROISE X IL A UNE CASQUETTE VERTE ?!!!!! Hiii " surement..). Je me tapais un de ces fous-rires/crise d'hystérie, j'en ris encore rien que d'y penser (les pauvres gens autour...).
Enfin, grâce à lui j'ai découvert plein de groupe de musique que j'aurais jamais connu donc c'était plutôt positif, et surtout qu'est ce qu'on a pu rire... Mais heureusement qu'il l'a jamais su parce que putain, c'était freaky, on savait tout (ou presque) (et heureusement qu'il habitait trop loin en ville sinon je pense qu'on aurait passé nos aprems du week-end en bas de chez lui...).
Je l'ai recroisé y a pas longtemps (enfin, un an ou 2*) dans un bar et il m'a fixée avec un regard bizarre, j'ai eu un sentiment d'angoisse (genre "ogod, il sait..."), mais je vois pas comment...
Mince, qu'est-ce qu'on était niaises en tout cas... Mais on s'amusait bien au moins x).
*Je viens de me souvenir que même si ce "croisement" au bar est arrivé bien 3 ans après le lycée, j'ai débarqué en trombe parce qu'on m'avait prévenu via sms qu'il était là, et que du coup ça se résumait encore une fois à du stalking ~~. (Enfin, c'est pas du stalking, j'appréciais juste la vue, avec une bière et des amis, c'est pas illégal ça x)).
)AAaaaah, mais merci un milliard de fois pour cet article,
ça a fait ma soirée d'hier, et les commentaires aussi haha. Du coup j'ai nostalgié, je réfléchissais à répondre, et résultat cette nuit j'ai rêvé de mon ancien crush du collège ... C'était mimouuu.(Mais je me faisais péter mon coup par un de mes profs de TD, trop la lose ~~)
Au collège donc, en 3ème, il s'appelait Florent et il était beau, mais beauuu. La jambe de poulpe à tous les étages quoi. Genre brun, les yeux profonds et des longs cils, et une boucle d'oreille (pour le côté bad boy tavu, mais c'était un gentil au fond -enfin, j'imagine-). Il avait deux ans de plus que moi (il avait retapé et j'avais un an d'avance : je crois qu'à l'époque c'était lui le seul point positif que je voyais dans le fait d'avoir sauté une classe) et il jouait de la batterie. J'ai jamais su s'il "savait", mais j'imagine qu'il devait me trouver chelou...(En plus j'ai le rougeoiement super facile, c'est vraiment nul ça). Il trainait toujours avec des gens populaires et des filles jolies et cool... Mais un jour, il m'a caressé les cheveux alors qu'il était assis derrière moi en cours (dis comme ça, ça fait un peu creepy en fait). Il avait aussi demandé à une de mes copines si j'étais célibataire (DUUUHHH), je crois que j'ai freezé toute la journée quand je l'ai appris, c'était même pas la peine de me parler, j'étais enfermée dans ma tête entrain de crier en agitant les bras intérieurement. Je me souviens très précisément de ce que je portais ce jour-là (un gilet trop moche que je détestais) et que j'ai réussi à manger qu'un yaourt. Mes autres copines comprenaient pas et j'arrivais même pas à leur annoncer THE nouvelle quoi. Au final il s'est rien passé (panda triste) et plus la fin de l'année approchait (il partait dans un lycée dans un autre trou du cul du monde) plus je dépérissais, jusqu'à la fête de fin d'année où il a joué de la batterie devant tout le monde. Et après ma vie n'avait plus aucun sens sans lui x).
N’empêche j'en étais vraiment entichée, une vraie godiche. Comme vous j'avais le journal intime, les descriptions de nos "conversations", les milliers d'interprétations des signes avec les copines et respectivement pour leurs crushs, les surnoms débiles ("la chèvre", Truc & Muche -ouais bon...-, "l'homme poire" -quand il riait il se fendait littéralement le visage en deux, impressionnant-, ...), l'écoute honteuse de musique de daube (c'était pas glorieux, d'ailleurs j'ai jamais compris pourquoi good charlotte allait si bien avec ma déprime amoureuse d'ado débile qui regarde par la fenêtre avec un air profondément torturé).
Mais ce crush là ça allait niveau sociopathie, il était à "disposition", dans ma classe, donc c'était simple... Par contre, au lycée, une amie (d'un autre établissement dans une autre ville où je n'allais que le w-e) avait flashé sur un type et là ça a viré au stalking en bonne et due forme (et vas-y que je te suis dans la rue -et que je te prends en photo (ouais j'avais la technologie appareil photo sur mon téléphone, trop precurseur, et la qualité était merveilleuse hahaha), et qu'on fait des comicstrips sur toi, et des montages vidéos des photos que tu postes sur ton skyblog, et que je stalk tes potes, ta meuf, etc. toujours avec forces surnoms et cris de dindes bien sur). Le pire c'est que ce pauvre bougre au début, je l'avais jamais vu en vrai, juste en photo. Le jour où je l'ai croisé par hasard dans la rue, je l'ai reconnu direct. Je jure que le temps s'est arrêté à ce moment, mon regard a fait un zoom camera sur lui en train de courir, cheveux et nez (rouge) au vent. Quand la réalité a repris le dessus j'ai directement envoyé un sms hurlant à mes copines (du genre "OH MON DIEU JE CROIS QUE JAI CROISE X IL A UNE CASQUETTE VERTE ?!!!!! Hiii " surement..). Je me tapais un de ces fous-rires/crise d'hystérie, j'en ris encore rien que d'y penser (les pauvres gens autour...).
Enfin, grâce à lui j'ai découvert plein de groupe de musique que j'aurais jamais connu donc c'était plutôt positif, et surtout qu'est ce qu'on a pu rire... Mais heureusement qu'il l'a jamais su parce que putain, c'était freaky, on savait tout (ou presque) (et heureusement qu'il habitait trop loin en ville sinon je pense qu'on aurait passé nos aprems du week-end en bas de chez lui...).
Je l'ai recroisé y a pas longtemps (enfin, un an ou 2*) dans un bar et il m'a fixée avec un regard bizarre, j'ai eu un sentiment d'angoisse (genre "ogod, il sait..."), mais je vois pas comment...
Mince, qu'est-ce qu'on était niaises en tout cas... Mais on s'amusait bien au moins x).
*Je viens de me souvenir que même si ce "croisement" au bar est arrivé bien 3 ans après le lycée, j'ai débarqué en trombe parce qu'on m'avait prévenu via sms qu'il était là, et que du coup ça se résumait encore une fois à du stalking ~~. (Enfin, c'est pas du stalking, j'appréciais juste la vue, avec une bière et des amis, c'est pas illégal ça x)).
Le surnom de mon crush en 3e c'était "JP" pour... "Jambes poilues"
En 5e j'avais crushé sur un 6e, j'avais écrit "M+H" dans un coeur un peu partout dans ma chambre. Dont sur une couette avec laquelle je dors encore
En 5e j'avais crushé sur un 6e, j'avais écrit "M+H" dans un coeur un peu partout dans ma chambre. Dont sur une couette avec laquelle je dors encore
Les filles, vous êtes incroyables. J'avoue que je n'ai pas lu lire les 89 "crush" mais quelques uns m'ont suffit pour savoir que je n'étais plus seule à aimé en silence. Mais en fait, vous savez il y a pire encore que de ne pas oser avouer son amour pseudo fictif; parce que non, le beau goss de terminal, c'est certainement pas l'homme de notre vie 
En se qui me concerne, j'ai complètement craqué sur un gars de ma promo à la fac. Je sais à quel point je suis timide mais lui ne le sait pas, j'ai donc pris mon courage à deux mains, je me suis débrouillée pour avoir son numéro, sms et tout ce qui s'en suis, on se retrouve l'un derrière l'autre le jour du concours. On s'entend vraiment bien. Un mois de vacance, il veut me voir... Bien sûr que moi aussi et bien calme blanc pendant une semaine, aucune réponse à mes messages... RIEN. En fait, avec lui c'est toujours comme ça. Il tient absolument à se qu'on passe en deuxième année ensemble et puis il arrête toute conversation. Il est mignon, beau même; je suis indéniablement amoureuse de lui, mais qu'est ce qu'il est lunatique... Je n'arrive pas à le cerner. Je lui dit qu'il me fait souffrir; il me dit qu'il veut un plan cul (Bah oui vous comprenez, on est en première année, il faut bosser, il veut pas de relation sérieuse même s'il "je lui plait beaucoup" --'). J'accepte le plan cul et il se rétracte... Je ne comprend toujours pas pourquoi (Il est surement plus timide que moi encore). Énervé contre lui je l'envoie chier. Voilà donc une semaine et demi qu'on ne parle plus du tout et que je l'aime de plus en plus fort malgré moi. Timide ou pas, je ne ferais pas de geste, lui non plus. C'était plus sympa finalement, de simplement fantasmer sur lui...
En se qui me concerne, j'ai complètement craqué sur un gars de ma promo à la fac. Je sais à quel point je suis timide mais lui ne le sait pas, j'ai donc pris mon courage à deux mains, je me suis débrouillée pour avoir son numéro, sms et tout ce qui s'en suis, on se retrouve l'un derrière l'autre le jour du concours. On s'entend vraiment bien. Un mois de vacance, il veut me voir... Bien sûr que moi aussi et bien calme blanc pendant une semaine, aucune réponse à mes messages... RIEN. En fait, avec lui c'est toujours comme ça. Il tient absolument à se qu'on passe en deuxième année ensemble et puis il arrête toute conversation. Il est mignon, beau même; je suis indéniablement amoureuse de lui, mais qu'est ce qu'il est lunatique... Je n'arrive pas à le cerner. Je lui dit qu'il me fait souffrir; il me dit qu'il veut un plan cul (Bah oui vous comprenez, on est en première année, il faut bosser, il veut pas de relation sérieuse même s'il "je lui plait beaucoup" --'). J'accepte le plan cul et il se rétracte... Je ne comprend toujours pas pourquoi (Il est surement plus timide que moi encore). Énervé contre lui je l'envoie chier. Voilà donc une semaine et demi qu'on ne parle plus du tout et que je l'aime de plus en plus fort malgré moi. Timide ou pas, je ne ferais pas de geste, lui non plus. C'était plus sympa finalement, de simplement fantasmer sur lui...
Hahaha c'est tellement drôle, merci pour cette histoire !
Moi quand j'étais en fin-seconde, mes amies ont repéré un groupe de garçons - le genre skatteur/cheveux gras/jeans larges qui va fumer et boire dans le parc derrière le lycée, t'as vu - qu'on avait surnommé les 4 Fantastiques. Bah oui, ils étaient quatre.
Mes amies craquaient tous sur le même, Charles, qui s'est retrouvé PAR HASARD (moi je dis, c'était le destin) dans ma classe de première et avant moi dans l'ordre alphabétique - soit, toujours à côté en cours.
Moi c'était son meilleur pote qui m'intéressait, Thomas ou "l'anglais" (ah l'époque des surnoms débiles dont on ne se souvient même plus l'origine) dans une autre classe. Mais c'est pas grave, le destin nous réunirai.
J'ai passé des cours de récré à suivre Thomas partout dans le lycée, à vaincre la timidité pour devenir pote avec Charles, à imaginer des stratagèmes pour arriver quand il discutait avec des personnes que je connaissais pour faire la bise à tout le groupe (et lui, du coup). J'avais récupéré son adresse MSN par une amie, que j'avais noté sur un bout de papier et caché sous la batterie de mon premier téléphone portable Motorola, ceux qui se referment.
Mon grand moment de fierté fut en fin première, quand j'ai fais le compte-rendu personnalisé de conseil de classe à Charles et que Thomas était là. Et il m'avait adressé la parole, à moi. Ah.
Mais il fallait que je trouve des informations sur Charles pour mes amies donc je ne pouvais pas me concentrer sur Thomas uniquement. Et l'un des 4 Fantastiques a eu un crush pour moi - compliqué, tout ça. Et puis Charles et moi n'étions plus dans la même classe en terminale. Tous mes plans sont tombés à l'eau.
Cinq ans après, j'ai retrouvé mon premier portable (que j'avais perdu sur mon lieu de vacances, je le pensais perdu dans l'océan) avec bien entendu l'adresse MSN de Thomas cachée dans la batterie. Ha, ha, ha. Ces années-là étaient tellement drôles, quand même.
Moi quand j'étais en fin-seconde, mes amies ont repéré un groupe de garçons - le genre skatteur/cheveux gras/jeans larges qui va fumer et boire dans le parc derrière le lycée, t'as vu - qu'on avait surnommé les 4 Fantastiques. Bah oui, ils étaient quatre.
Mes amies craquaient tous sur le même, Charles, qui s'est retrouvé PAR HASARD (moi je dis, c'était le destin) dans ma classe de première et avant moi dans l'ordre alphabétique - soit, toujours à côté en cours.
Moi c'était son meilleur pote qui m'intéressait, Thomas ou "l'anglais" (ah l'époque des surnoms débiles dont on ne se souvient même plus l'origine) dans une autre classe. Mais c'est pas grave, le destin nous réunirai.
J'ai passé des cours de récré à suivre Thomas partout dans le lycée, à vaincre la timidité pour devenir pote avec Charles, à imaginer des stratagèmes pour arriver quand il discutait avec des personnes que je connaissais pour faire la bise à tout le groupe (et lui, du coup). J'avais récupéré son adresse MSN par une amie, que j'avais noté sur un bout de papier et caché sous la batterie de mon premier téléphone portable Motorola, ceux qui se referment.
Mon grand moment de fierté fut en fin première, quand j'ai fais le compte-rendu personnalisé de conseil de classe à Charles et que Thomas était là. Et il m'avait adressé la parole, à moi. Ah.
Mais il fallait que je trouve des informations sur Charles pour mes amies donc je ne pouvais pas me concentrer sur Thomas uniquement. Et l'un des 4 Fantastiques a eu un crush pour moi - compliqué, tout ça. Et puis Charles et moi n'étions plus dans la même classe en terminale. Tous mes plans sont tombés à l'eau.
Cinq ans après, j'ai retrouvé mon premier portable (que j'avais perdu sur mon lieu de vacances, je le pensais perdu dans l'océan) avec bien entendu l'adresse MSN de Thomas cachée dans la batterie. Ha, ha, ha. Ces années-là étaient tellement drôles, quand même.
J'adore l'article ET les commentaires (bon j'avoue, je ne les ai pas tous lus).
Mon gros gros crush, celui pour lequel j'aurais tout fait pour qu'il se passe un truc, ça s'est passé au collège.
Il était brun aux yeux marrons et adorait faire des blagues. La moitié des filles voulaient sortir avec lui (l'autre moitié c'était avec son pote BG aussi). Et moi j'étais folle 'amoureuse'. Son prénom était écrit partout dans mon journal intime, je connaissais sa date d'anniversaire, tous les soirs je me couchais en rêvant qu'il était secrètement amoureux de moi. Son père habitait dans la même résidence que moi, du coup 1 semaine sur 2, si je me débrouillais bien je pouvais rentrer avec lui
Il savait que j'existais mais il ne s'est jamais rien passé (en même temps vu ma tête à l'époque, je comprends). Et il n'est jamais sorti avec une fille au collège car on l'intéressait pas, il préférait être avec ses potes. Ça le rendait encore plus irrésistible...
Après la 3ème, il est parti 1 an à l'étranger puis il est revenu, dans le même lycée que moi. Je n'étais plus à fond sur lui (un autre crush me prenait la tête) mais dès qu'il me disait "Salut" et me souriait, je redevenais la collégienne nunuche amoureuse de lui.
1 ou 2 ans après il s'est un peu intéressé à l'une de mes potes, il ne s'est jamais rien passé mais au fond de moi je ne pouvais m'empêcher d'être jalouse.
L'année dernière il m'a ajouté sur Facebook, quand j'ai vu cette demande d'ajout j'ai repensé à tous les films que j'avais pu me faire avec lui, et ça m'a fait sourire.
Je l'ai un peu espionné, et franchement, contrairement à certaines il n'est pas devenu un kéké ou un wesh wesh, il a l'air encore plus cool qu'avant (enfin je crois).
l'article ET les commentaires (bon j'avoue, je ne les ai pas tous lus).Mon gros gros crush, celui pour lequel j'aurais tout fait pour qu'il se passe un truc, ça s'est passé au collège.
Il était brun aux yeux marrons et adorait faire des blagues. La moitié des filles voulaient sortir avec lui (l'autre moitié c'était avec son pote BG aussi). Et moi j'étais folle 'amoureuse'. Son prénom était écrit partout dans mon journal intime, je connaissais sa date d'anniversaire, tous les soirs je me couchais en rêvant qu'il était secrètement amoureux de moi. Son père habitait dans la même résidence que moi, du coup 1 semaine sur 2, si je me débrouillais bien je pouvais rentrer avec lui
Il savait que j'existais mais il ne s'est jamais rien passé (en même temps vu ma tête à l'époque, je comprends). Et il n'est jamais sorti avec une fille au collège car on l'intéressait pas, il préférait être avec ses potes. Ça le rendait encore plus irrésistible...Après la 3ème, il est parti 1 an à l'étranger puis il est revenu, dans le même lycée que moi. Je n'étais plus à fond sur lui (un autre crush me prenait la tête) mais dès qu'il me disait "Salut" et me souriait, je redevenais la collégienne nunuche amoureuse de lui.
1 ou 2 ans après il s'est un peu intéressé à l'une de mes potes, il ne s'est jamais rien passé mais au fond de moi je ne pouvais m'empêcher d'être jalouse.
L'année dernière il m'a ajouté sur Facebook, quand j'ai vu cette demande d'ajout j'ai repensé à tous les films que j'avais pu me faire avec lui, et ça m'a fait sourire.
Je l'ai un peu espionné, et franchement, contrairement à certaines il n'est pas devenu un kéké ou un wesh wesh, il a l'air encore plus cool qu'avant (enfin je crois).
Moi aussi, comme vous toutes (et c'est ça qui est trop awesome), j'ai eu un crush de lycée.
Je mets le texte en spoiler, parce que c'est long.
Voilà pour la "petite" histoire ! Je trouve ça à la fois crétin et mignon.
Je mets le texte en spoiler, parce que c'est long.
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Voilà pour la "petite" histoire ! Je trouve ça à la fois crétin et mignon.
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Mon crush du lycée, c'était un beau métis, sportif, vaguement populaire. Il était en 2nde, moi aussi. Un jour, une amie fait une remarque : "Tiens, il est mignon Charles-Édouard-Alambique". Évidemment, mi-détachée, mi-cool, je marmonne un : "Ouais pas mal, mais sans plus." Deux jours plus tard, je développe une obsession proche du culte de la personnalité pour ce fameux Alambique. J'écris son prénom sur toutes les tables, je parle de lui h24, je m'imagine marcher main dans la main avec lui dans un champ de canne, je perds 10 kilos (oui je vous assure, moi la grosse Aurore, j'ai perdu 10 kilos à cause de l'amour). Ma maladie a été telle qu'un jour, une amie a décidé de lui refourguer en douce une des nombreuses lettres "secrètes" que je lui avais écrite. Quand je l'ai appris, j'ai envisagé de déménager jusqu'en Papouasie Nouvelle Guinée ou creuser un trou assez profond dans le sol pour disparaître.
Mon Alambique (enfin, pas vraiment le mien pour le coup) n'a pas compris un mot de la lettre parce qu'il n'était manifestement pas une lumière (et moi j'avais déjà une très forte sensibilité littéraire). Et il a préféré sortir avec une fille plus jolie, plus populaire et plus facile parce qu'il avait bien sûr un rang de sex-symbol pour pucelles en mal de love à tenir.
Je me suis sentie humiliée et très bête. Depuis ce jour, j'ai développé un sentiment de profond mal-être, et une attitude cynique qui fait que je deviens absolument immonde avec les mâles qui me plaisent. Je suis toujours un peu persuadée d'être la petite grosse boutonneuse dont personne ne veut, maintenant que je suis une petite grosse pas trop dégueu de 20 ans.
Mon Alambique (enfin, pas vraiment le mien pour le coup) n'a pas compris un mot de la lettre parce qu'il n'était manifestement pas une lumière (et moi j'avais déjà une très forte sensibilité littéraire). Et il a préféré sortir avec une fille plus jolie, plus populaire et plus facile parce qu'il avait bien sûr un rang de sex-symbol pour pucelles en mal de love à tenir.
Je me suis sentie humiliée et très bête. Depuis ce jour, j'ai développé un sentiment de profond mal-être, et une attitude cynique qui fait que je deviens absolument immonde avec les mâles qui me plaisent. Je suis toujours un peu persuadée d'être la petite grosse boutonneuse dont personne ne veut, maintenant que je suis une petite grosse pas trop dégueu de 20 ans.
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