Lullaby: adorable comme tout. Clémence Poésy, dont le jeu ne me satisfait pas toujours du tout, s'en tire pas trop mal (peut-être parce qu'elle n'a pas tant de répliques que ça?).
En tout cas peu importe, je l'ai trouvé très agréable à regarder, et Clémence Poésy avec ses chaussettes multicolores, ces looks piochés dans diverses époques, ses chapeaux et la peinture sur ses mains... est d'une fraicheur exceptionnelle.
Et l'apparition de Charlie Winston et sa chanson finale

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Bref, petit film sans prétention aucune, qui fait du bien à voir.
Drive: enfin vu!! Comme chaque film complimenté et recomplimenté et rerererecomplimenté par la critique et les spectateurs, j'étais méfiante... Et finalement il est bien, j'ai passé un bon moment, même si je ne l'ai pas trouvé aussi exceptionnel que je ne pensais.
Jolie BO, bons acteurs, jolies images, et thanks god, pas une fin bisounours. Du coup c'est triste, mais c'est mieux ainsi, sinon j'aurai trouvé ça improbable.
Dans ses yeux: enfin vu également, et je l'ai trouvé très bien. J'ai surtout aimé le personnage de Pablo, ivrogne jusqu'à la moelle et qu'il serait facile de décrédibiliser, qui fait les plus grandes et les plus jolies constatations sur l'âme humaine: chaque homme a une passion, la seule sur laquelle on exerce pas de contrôle.
L'air de rien ce constat devient le fil conducteur du film en filigrane: ce n'est qu'à la fin que l'on réalise sa présence omniprésente.
Mention spéciale pour la fin,
Enfin voilà, bon film.