@Fruits wahou !!!! Que dire de plus après tout ça ... merci énormément d'avoir pris autant de temps pour me faire une réponse aussi complète ! Du coup, je culpabilise de ne pas pouvoir répondre à ta question 
J'ai eu la chance de pouvoir m'entraîner durant les deux ans de master en recherche, donc question organisation, j'ai eu le temps de tester plein de choses. Il est vrai que les cahiers, c'est LA BASE ! J'en ai un dans lequel j'essaie d'écrire : tel jour j'ai fait ça et j'ai mis tant de temps pour faire ça, histoire d'évaluer mon besoin en temps pour telle ou telle "activité". J'ai aussi un code couleur dans un classeur pour les fiches de lecture (c'est rigolo, je stabylote en rose aussi pour les fiches
). Dans ce cahier, je note aussi les références biblio que je dois consulter, la bibliothèque dans laquelle le bouquin se trouve ainsi que sa côte. Et puis, quand j'ai lu ledit bouquin, je note que je l'ai lu et je renvoie à la fiche de lecture dans mon classeur.
Point 3 : la méthode pomodoro, j'en entends beaucoup de bien mais je ne l'ai jamais mise en application, je devrais peut-être essayer quand la motivation n'est pas au rendez-vous.
Point 4 : je suis d'accord avec toi que c'est plus encourageant de rencontrer régulièrement son/sa directeur/trice de recherche, ça permet de faire le point, même si parfois on a peur de le/la voir parce qu'on a pas avancé, parce qu'on patauge complètement, etc. Cette personne est (en partie) là pour toi, donc autant en profiter.
Point 5 : ce point avait justement fait l'objet d'un autre de mes topics. Je m'interrogeais sur la possibilité d'être inscrite en doctorat dans une ville et de vivre dans une autre ville. Or, de pouvoir se rendre dans les bureaux du centre de recherches régulièrement pour les réunions, les colloques et les rencontres avec les autres doctorants, ça permet de ne pas se sentir trop seul dans sa recherche j'imagine. Et ta remarque confirme cette interrogation.
Je ne vais pas reprendre tous tes autres points, mais ils sont tous supra intéressants, tu as l'air d'avoir beaucoup appris de cette expérience et d'avoir à coeur de la partager. Je t'en remercie

J'ai eu la chance de pouvoir m'entraîner durant les deux ans de master en recherche, donc question organisation, j'ai eu le temps de tester plein de choses. Il est vrai que les cahiers, c'est LA BASE ! J'en ai un dans lequel j'essaie d'écrire : tel jour j'ai fait ça et j'ai mis tant de temps pour faire ça, histoire d'évaluer mon besoin en temps pour telle ou telle "activité". J'ai aussi un code couleur dans un classeur pour les fiches de lecture (c'est rigolo, je stabylote en rose aussi pour les fiches

Point 3 : la méthode pomodoro, j'en entends beaucoup de bien mais je ne l'ai jamais mise en application, je devrais peut-être essayer quand la motivation n'est pas au rendez-vous.
Point 4 : je suis d'accord avec toi que c'est plus encourageant de rencontrer régulièrement son/sa directeur/trice de recherche, ça permet de faire le point, même si parfois on a peur de le/la voir parce qu'on a pas avancé, parce qu'on patauge complètement, etc. Cette personne est (en partie) là pour toi, donc autant en profiter.
Point 5 : ce point avait justement fait l'objet d'un autre de mes topics. Je m'interrogeais sur la possibilité d'être inscrite en doctorat dans une ville et de vivre dans une autre ville. Or, de pouvoir se rendre dans les bureaux du centre de recherches régulièrement pour les réunions, les colloques et les rencontres avec les autres doctorants, ça permet de ne pas se sentir trop seul dans sa recherche j'imagine. Et ta remarque confirme cette interrogation.
Je ne vais pas reprendre tous tes autres points, mais ils sont tous supra intéressants, tu as l'air d'avoir beaucoup appris de cette expérience et d'avoir à coeur de la partager. Je t'en remercie
