@Denis : Je sais très bien ce que j’ai écrit, mais je pense que soit tu ne comprends juste pas, soit tu extrapole mes propos.
Une personne exposée à une scène par la surprise ne peut pas avoir antérieurement consentie à y être exposée. Faire ce genre de chose dans un lieu public (sans que rien ne puisse être verrouillé etc), c’est prendre le risque qu’une personne soit exposée à nos actes par inadvertance. Prendre le risque qu’une personne soit exposée à nos actes par inadvertance ou par surprise, c’est potentiellement mettre une personne dans la situation où elle n’a pas pu consentir à être exposée à telle situation.
« Risque » est un mot clé...
D’ailleurs, dans le cadre du consentement entre partenaires sexuels le risque est aussi une notion importante. C’est bien pour se prémunir d’un risque (que la personne ne soit pas consentante) qu’on s’assure antérieurement du consentement. On pourrait ne pas s’en assurer puis découvrir a posteriori que la personne a passé un bon moment, mais ce n’est pas de la spéculation que d’estimer que dans ce cas on a ignoré la notion même du consentement puisque dans les faits, le résultat aurait été le même si l’autre personne l’avait moins bien vécue.
Une personne exposée à une scène par la surprise ne peut pas avoir antérieurement consentie à y être exposée. Faire ce genre de chose dans un lieu public (sans que rien ne puisse être verrouillé etc), c’est prendre le risque qu’une personne soit exposée à nos actes par inadvertance. Prendre le risque qu’une personne soit exposée à nos actes par inadvertance ou par surprise, c’est potentiellement mettre une personne dans la situation où elle n’a pas pu consentir à être exposée à telle situation.
« Risque » est un mot clé...
D’ailleurs, dans le cadre du consentement entre partenaires sexuels le risque est aussi une notion importante. C’est bien pour se prémunir d’un risque (que la personne ne soit pas consentante) qu’on s’assure antérieurement du consentement. On pourrait ne pas s’en assurer puis découvrir a posteriori que la personne a passé un bon moment, mais ce n’est pas de la spéculation que d’estimer que dans ce cas on a ignoré la notion même du consentement puisque dans les faits, le résultat aurait été le même si l’autre personne l’avait moins bien vécue.