@Ilya HS total, mais le monde est vraiment petit ! Je connais Anthony, que j'ai été amenée à pas mal rencontrer il y a 4-5 ans même si on n'est plus vraiment en contact aujourd'hui. Bref... Intervention inutile, mais quand j'ai vu son nom/pseudo sur ton post, ça m'a fait sourire
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J'ai pas trop de chose à raconter, ça va plutôt bien en ce moment ! G. essaie de manger tout seul, c'est chou - mais salissant
En ce moment, notre Gigot se réveille vers 6h et pleure/chouine/râle beaucoup. On essaie autant que possible d'être à l'écoute et bienveillants, mais je vois bien que le Chéri est à cours de patience... Du coup, il a du mal à gérer le chouinage de G. et il lui dit très souvent "t'es pénible"/"tu me soûles"/"t'es vraiment un ch*eur* et autres phrases du même acabit. On en a déjà énormément discuté, on continue encore, mais la fatigue et le ras-le-bol prennent le dessus et maintenant, il m'envoie paître quand j'essaie de l'inciter à changer la façon dont il parle à notre gigot. Après, c'est loin d'être systématique, mais c'est de plus en plus récurrent, et ça me fait super mal au cœur qu'on parle comme ça à mon bébé. Le Chéri me dit qu'il ne connait que cette façon là de se "décharger", mais je n'arrive pas à lui faire comprendre à quel point ça peut être perçu violemment par un bébé et un enfant, de telles paroles... Il me dit qu'on lui a dit bien pire quand il était petit, et qu'il n'en était pas mort
Et mon BP et ma BM se sont gentiment moqués de moi il n'y a pas longtemps, parce que je reprenais mon BP qui traitait mon fils "gentiment" de cou*llon parce qu'il avait balancé son jouet très loin... Je leur ai expliqué que je refusais qu'on s'adresse de cette façon à G., même "pour rire" et ils ont compris mes arguments, mais m'ont bien fait comprendre qu'ils trouvaient ma façon de penser un peu nunuche. Tant pis, j'assume totalement et au moins, après, ils faisaient attention. Mais la dernière fois qu'on est allés chez eux, rebelote. Et comme c'est cette façon de parler aux bébés/enfants qu'a connu le Chéri, je pense que ça l'a "conforté" dans le fait que c'était normal de se comporter comme ça. Il est très fatigué, très las en ce moment et je n'ai pas envie de lui faire la guerre là-dessus, mais c'est difficile de trouver un juste milieu entre ménager le Chéri qui fait beaucoup d'efforts par ailleurs et qui a le droit de ne pas être parfait ET lui faire comprendre de manière ferme, mais sans déclencher de disputes et d'incompréhension et tout en prenant en compte son état d'épuisement moral et nerveux, que cette façon de parler à notre fils m'est intolérable...
J'envisageais de lui faire lire le chapitre "L'histoire se répète" dans
Il n'y a pas de parents parfaits, d'Isabelle Filliozat, mais il est très imperméable à tout ça (il n'a pas/plus l'énergie de lire, n'est pas réceptif quand je mentionne un livre ou un article de ce type et n'aime pas qu'on lui lise des choses à haute voix - car il entend sans écouter/comprendre).
C'est pas évident, parce que je dois faire preuve de beaucoup plus de patience du coup, avec le Chéri, mais aussi avec G. car j'essaie de compenser les paroles un peu dures de son papa, mais des fois, je sens que je suis à bout aussi et personne ne peut prendre le relais.
Des fois, j'ai l'impression que la période que l'on vit en ce moment est plus difficile que les premiers mois du Gigot parce qu'on rentre vraiment dans les débuts de l'éducation et qu'on est parfois démunis face aux attitudes et aux attentes de notre bébé, plus si bébé que ça, mais pas encore enfant tout à fait.