Iscambe
L'orange dit "pas de quartier !"
@catatonia : c'est une question archi-délicate, même. Pour notre fille, j'ai clairement fait du forcing au début pour savoir s'il en voulait. En fait, il flippait que je veuille lancer les essais immédiatement s'il avouait qu'il voulait (un jour) des enfants avec moi. Bingo 
. J'ai réussi à être persuasive et à avoir cet enfant immédiatement. Et il est ravi. Je ne me voyais pas sans, surtout avec lui. C'était une évidence que je voulais un bébé de lui, porter son bébé. Au plus vite. Un besoin viscéral, même. Et je n'aurais pas pu supporter un refus. Et je me dis, s'il ressent aussi ce "truc" pour un deuxième ? Et s'il ne se voyait pas sans, ne concevait pas sa vie sans, tout comme je ne pouvais pas concevoir la mienne sans ma fille ? Je ne peux pas traiter son envie par-dessus la jambe parce que ça m'arrange 
. Je ne vais pas me forcer à faire un bébé n°2 si l'envie ne vient jamais, c'est sûr. Il y a deux solutions : soit l'envie lui passe, soit l'envie me vient.
@Bleue_ : oui. J'ai envie de tout donner à ma fille, sans compromis. Mon temps, ma patience (limitée...), mon amour, mon argent. Je veux que tout ce que j'ai de meilleur à donner, je le lui donne. Je n'ai pas envie d'être partagée entre elle et un autre enfant. Je ne peux pas être à deux endroits en même temps, faire deux choses en même temps avec la même concentration et la même énergie, même avec la meilleure volonté du monde. Il y en a qui y arrivent, mais je ne me sens pas de ces gens-là. Si ma fille a besoin de moi pour faire ses devoirs par exemple, je ne veux pas être à moitié attentive à ce qu'elle fait parce qu'il y en a un autre qui réclame l'autre moitié de mon attention. Je veux pouvoir être complètement dans ce que je fais avec elle, sans être parasitée. Finalement, j'aurais l'impression de ne rien faire à 100%, de ne pas profiter pleinement, de ne pas bien faire. Je ne critique pas du tout ceux qui ont plusieurs enfants et à qui ça arrive. C'est juste que moi, je ne pense pas être heureuse dans ce mode-là.
Je ne dis pas que je ne changerai jamais d'avis, mais pour l'instant, c'est comme ça que je le vois. Bien sûr, j'aimerais connaître de nouveau la grossesse, pouvoir vivre un accouchement qui se termine bien, sans césarienne, avoir l'opportunité de vivre mes premiers jours de maman autrement que déprimée, en plein baby blues, en larmes et complètement paniquée... mais l'après vient aussi. Et ça ne me tente pas du tout. Pourtant ma fille est un ange, je l'aime plus que tout au monde. Mais je ne veux qu'elle...
. J'ai réussi à être persuasive et à avoir cet enfant immédiatement. Et il est ravi. Je ne me voyais pas sans, surtout avec lui. C'était une évidence que je voulais un bébé de lui, porter son bébé. Au plus vite. Un besoin viscéral, même. Et je n'aurais pas pu supporter un refus. Et je me dis, s'il ressent aussi ce "truc" pour un deuxième ? Et s'il ne se voyait pas sans, ne concevait pas sa vie sans, tout comme je ne pouvais pas concevoir la mienne sans ma fille ? Je ne peux pas traiter son envie par-dessus la jambe parce que ça m'arrange . Je ne vais pas me forcer à faire un bébé n°2 si l'envie ne vient jamais, c'est sûr. Il y a deux solutions : soit l'envie lui passe, soit l'envie me vient.@Bleue_ : oui
. J'ai envie de tout donner à ma fille, sans compromis. Mon temps, ma patience (limitée...), mon amour, mon argent. Je veux que tout ce que j'ai de meilleur à donner, je le lui donne. Je n'ai pas envie d'être partagée entre elle et un autre enfant. Je ne peux pas être à deux endroits en même temps, faire deux choses en même temps avec la même concentration et la même énergie, même avec la meilleure volonté du monde. Il y en a qui y arrivent, mais je ne me sens pas de ces gens-là. Si ma fille a besoin de moi pour faire ses devoirs par exemple, je ne veux pas être à moitié attentive à ce qu'elle fait parce qu'il y en a un autre qui réclame l'autre moitié de mon attention. Je veux pouvoir être complètement dans ce que je fais avec elle, sans être parasitée. Finalement, j'aurais l'impression de ne rien faire à 100%, de ne pas profiter pleinement, de ne pas bien faire. Je ne critique pas du tout ceux qui ont plusieurs enfants et à qui ça arrive. C'est juste que moi, je ne pense pas être heureuse dans ce mode-là. Je ne dis pas que je ne changerai jamais d'avis, mais pour l'instant, c'est comme ça que je le vois. Bien sûr, j'aimerais connaître de nouveau la grossesse, pouvoir vivre un accouchement qui se termine bien, sans césarienne, avoir l'opportunité de vivre mes premiers jours de maman autrement que déprimée, en plein baby blues, en larmes et complètement paniquée... mais l'après vient aussi. Et ça ne me tente pas du tout. Pourtant ma fille est un ange, je l'aime plus que tout au monde. Mais je ne veux qu'elle...
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Et t'es trop jolie ! 
Antonia a été toute cool, a fait une sieste dans sa poussette, mangé du taboulé et une demi-banane. Je crois que les petits pots ça la gonfle en fait... 
. C'est parti pour 2h d'attente! Par contre là, j'ai la tête qui tourne un peu, et j'ai l'impression d'étouffer un peu
Mais ce qui est sûr c'est que je pense avoir senti mon ovulation il y'a pile poil 14 jours, j'ai eu mal du côté gauche,j'en avait même parlé à M.Cactus et on avait quand même fait l'amour ce soir là. Donc si j'ai ovulé ce jour là ou même le lendemain, ça serais donc il y'a 13 ou 14 jours tout de même..
Mais si je ne suis pas enceinte alors c'est que j'ai un sacré problème à avoir des pertes aussi abondantes(
), des douleurs de règles mais un peu différentes depuis une semaine, des nausées depuis deux-trois jours,hyper constipée( re-
).
mais je suis dans incompréhension et un peu beaucoup déçue surtout 
