@GrandeMarine Ta belle grand-mère a l'air géniale
Mais ce qu'elle dit, c'est un peu le ""problème"" des féministes à l'ancienne type Badinter, pour qui en dehors de la péridurale, des couches jetables, du biberon et du travail, point de salut. Leurs combats ont été primordiaux pour obtenir des droits qui nous semblent aujourd'hui acquis, mais depuis de nouvelles luttes sont apparues et n'en sont pas moins féministes. L'allaitement au sein permet aussi de s'affranchir du consumérisme et du patriarcat (puisque sein nourricier et pas que sexuel), et l'accouchement "naturel", de s'affranchir du patriarcalisme médical et du catholicisme ("tu accoucheras dans la douleur" or l'accouchement sans péri n'est pas forcément douleur). D'ailleurs, le métier des sages-femmes, qui nous accompagnent dans l'accouchement et dans l'allaitement, est (ou devrait être) profondément féministe. Et heureusement, depuis l'époque de nos grands-mères, les machines à laver se sont démocratisées, les couches lavables sont devenues très pratiques, l'allaitement n'est plus aussi contraignant (je pense aux pesées après chaque tétées, à l'allaitement à l'extérieur qui était impensable...) et les accouchements sans péridurale sont aussi mieux accompagnés (en général).
Le grand combat, ça reste quand même l'implication des hommes pour le partage des tâches, de la charge mentale, de l'impact de la parentalité sur la vie pro et perso, etc., parce que quels que soient les choix des parents, on est encore nombreuses à porter beaucoup de choses sur nos épaules. C'est l'égalité dans le quotidien qui permet de se dégager du temps pour soi et pas le fait d'allaiter au sein/au biberon ou de mettre des couches jetables/lavables
Je précise que pour moi il n'y a pas de choix qui soit plus ou moins féministe qu'un autre, et que chacun.e devrait pouvoir décider de ce qui lui convient sans se voire dire qu'elle dessert la cause.
Désolée, c'est hyper brouillon
(et les autres madz ont déjà tout dit entre temps)
@Margottine Peut-être que la nuit le fera réfléchir ?
En attendant, est-ce que tu as la possibilité d'aller chez tes parents par exemple, pour pouvoir partager davantage le temps passé à s'occuper de Tempoupette ?
@Coq' Parfois ça arrive qu'au moment des règles les fils se sentent davantage car le col de l'utérus descend, tu peux peut-être vérifier avec une SF ou un gynéco si c'est le cas ? S'il se fait vraiment la malle, il existe un modèle moins courant mais à risque moindre d'expulsion (Gynéfix) par contre peu de soignants savent le poser, mais on sait jamais. Sinon, la solution des serviettes lavables ne semble pas forcément attirante au premier abord, mais ils font des modèles vraiment efficaces et confortables.
Ca c'était pour la partie purement technique, pour le reste ici on ne se fout pas du tout que tu ailles mal
Ca te fait peut-être une belle jambe, ce n'est que virtuel, mais tu es une personne importante
Comment ça se passe, dans ton entourage proche ? Est-ce que tu trouves un peu de soutien ?
Mais ce qu'elle dit, c'est un peu le ""problème"" des féministes à l'ancienne type Badinter, pour qui en dehors de la péridurale, des couches jetables, du biberon et du travail, point de salut. Leurs combats ont été primordiaux pour obtenir des droits qui nous semblent aujourd'hui acquis, mais depuis de nouvelles luttes sont apparues et n'en sont pas moins féministes. L'allaitement au sein permet aussi de s'affranchir du consumérisme et du patriarcat (puisque sein nourricier et pas que sexuel), et l'accouchement "naturel", de s'affranchir du patriarcalisme médical et du catholicisme ("tu accoucheras dans la douleur" or l'accouchement sans péri n'est pas forcément douleur). D'ailleurs, le métier des sages-femmes, qui nous accompagnent dans l'accouchement et dans l'allaitement, est (ou devrait être) profondément féministe. Et heureusement, depuis l'époque de nos grands-mères, les machines à laver se sont démocratisées, les couches lavables sont devenues très pratiques, l'allaitement n'est plus aussi contraignant (je pense aux pesées après chaque tétées, à l'allaitement à l'extérieur qui était impensable...) et les accouchements sans péridurale sont aussi mieux accompagnés (en général).Le grand combat, ça reste quand même l'implication des hommes pour le partage des tâches, de la charge mentale, de l'impact de la parentalité sur la vie pro et perso, etc., parce que quels que soient les choix des parents, on est encore nombreuses à porter beaucoup de choses sur nos épaules. C'est l'égalité dans le quotidien qui permet de se dégager du temps pour soi et pas le fait d'allaiter au sein/au biberon ou de mettre des couches jetables/lavables
Je précise que pour moi il n'y a pas de choix qui soit plus ou moins féministe qu'un autre, et que chacun.e devrait pouvoir décider de ce qui lui convient sans se voire dire qu'elle dessert la cause.
Désolée, c'est hyper brouillon
(et les autres madz ont déjà tout dit entre temps)@Margottine Peut-être que la nuit le fera réfléchir ?
En attendant, est-ce que tu as la possibilité d'aller chez tes parents par exemple, pour pouvoir partager davantage le temps passé à s'occuper de Tempoupette ?@Coq' Parfois ça arrive qu'au moment des règles les fils se sentent davantage car le col de l'utérus descend, tu peux peut-être vérifier avec une SF ou un gynéco si c'est le cas ? S'il se fait vraiment la malle, il existe un modèle moins courant mais à risque moindre d'expulsion (Gynéfix) par contre peu de soignants savent le poser, mais on sait jamais. Sinon, la solution des serviettes lavables ne semble pas forcément attirante au premier abord, mais ils font des modèles vraiment efficaces et confortables.
Ca c'était pour la partie purement technique, pour le reste ici on ne se fout pas du tout que tu ailles mal
Ca te fait peut-être une belle jambe, ce n'est que virtuel, mais tu es une personne importante
Comment ça se passe, dans ton entourage proche ? Est-ce que tu trouves un peu de soutien ?
Ou la "lancer" sur le lit. Et aujourd'hui elle me soulait à ne pas vouloir avancer dans la rue et je l'ai poussée assez sèchement pour qu'elle avance. Aujourd'hui je me suis beaucoup contenue et ça me fait peur car je me refuse à penser que je pourrais en arriver à la frapper vraiment. J'ai peur de pousser chaque fois un peu plus (la pousser un peu, la mettre sèchement sur le lit, lui donner une petite tape..... jusqu'où ?) Et j'ai peur qu'à force d'y penser (même y penser pour me raisonner ou même juste en parler comme je le fais là) ça ne "banalise" l'idée dans mon esprit. Le pire c'est de voir que c'est complètement lié à mon état de fatigue et que ce n'est objectivement pas complètement de sa faute. Même si elle est très en demande, la plupart du temps ça va je supporte. Là je suis malade et fatiguée et du coup je suis lasse de plein de choses et ça lui retombe dessus.
). Du coup la chiantise n'est certainement pas la meilleure manière pour eux d'avoir ce qu'il veulent. 
Si c'est le plus grand en plus elle peut avoir tendance à se décharger un peu sur lui car elle attend peut-être de lui qu'il soit un peu plus "raisonnable" que les autres. Enfin je sais pas. 

.
. On est toujours en vacances et il fait ENFIN beau, on a été faire une balade pour voir des marmottes, il était en Manduca, toutes les parties du corps couvertes sauf qu'il enlevait tout le temps son chapeau ou sa casquette donc on a mis la protection incluse dans le Manduca mais il tournait sa tête tout le temps pour regarder autour de lui et on a pas pensé du tout à lui mettre de la crème solaire...
.
Petit Pavot vous a entendu et est resté bien au chaud ! Les contractions ont cessé et mon col s'est stabilisé, gros soulagement. J'ai pu rentrer à la maison
On passe juste à deux suivis à domicile par semaine au lieu d'un. Au moins ça me fera de la compagnie quand le Colonel aura repris le boulot !
Bienvenue à ton fils !