Un petit coucou à toutes et une volée de soutiens à celles qui en ont besoin.

(Comme
@Pachinko j’ai fait une petite cure de sevrage numérique et hop 100 pages de retard

)
Petit Ninja devient un vrai tchatcheur, ça évite quand même une partie des crises de colère/frustration de comprendre ce qu’il veut.
Par contre à l’approche des deux ans, les colères deviennent plus impressionnantes avec profusions de je me jette au sol puis je gesticule.
Heureusement qu’il n’y en a pas tous le temps mais surtout lorsqu'il est fatigué. Au réveil on passe d’excellents moments de rigolade les trois ensemble (on se fait des partie de cache cache fendard).
Je pense que sa nounou est une maniaque du ménage : notre fils passe son temps à prendre du matériel de ménage et nettoyer de petits coin de chez nous.

L’avantage c’est que chaque fois qu’il salit, il essaye de nettoyer même si ça pèche un peu dans la pratique : avec le balais il étale plus qu’il ne ramasse, et l’autre jour après avoir mis du lait de son biberon par terre il a nettoyé avec la balayette. Enfin c’est l’intention qui compte comme on dit.
Il vient d’entamer sa période “vroum vroum” et passe son temps à jouer avec des petites voitures et des trains (en plus son père lui a offert un livre sur les engins de chantier, il abuse , mais je ne peux pas me venger, des imagiers sur la gestion et la maintenance de patrimoine immobilier je crois que ça n’existe pas

). Tout est bon pour les faire rouler : la pile de magazine de maman, le lavabo, la tête de papa, le genou de maman lorsqu’elle est aux toilettes.
D’ailleurs à ce propos c’est toujours le stalker des toilettes. En version opportuniste il profite que l’on soit dessus pour amener un livre et qu’on lui lise. En version mimétisme, il s’assied sur son pot entreposé à côté et répète à tue tête “pipi, caca”
@Bree_ Je me reconnais beaucoup dans l’expérience de ta sœur. Comme j’ai repris le travail rapidement je ne donnais plus qu’un biberon par jour, celui du soir: papa donnait les deux du matin et la nounou les deux de la journée, donc à part pour le matériel je ne voyais pas de contraintes (surtout que le mien acceptait les biberons à température ambiante). Le troisième jour ou le petit était à la maison j’ai pu sortir seule une bonne partie de l’après midi. Ca a énormément calmer mes angoisses de l’époque : de devoir être sur le qui vive h24 et que son papa ne s’implique pas assez dans sa vie.