@Aalia
Oh oui des définitions
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. J'aime bien les définitions moi
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Du coup:
Maternage proximal: ensemble de pratiques basées sur les besoins perçus de l'enfant. Ca englobe l'allaitement au sein, le portage physio, le co-dodo, la langue des signes, l'hygiène naturelle infantile... Ces pratiques ont été remises au goût du jour et "intellectualisées" dans les années 60 aux USA et le terme maternage proximal est apparu en France dans les années 90 d'après Wikipedia.
Maternage: Souvent utilisé à tort (je plaide coupable) comme le diminutif de maternage proximal. En vrai d'après le Larousse le maternage est l'ensemble des soins prodigués par la mère à son bébé.
Education bienveillante: D'après le Larousse toujours, la bienveillance est une inclinaison à la compréhension, à l'indulgence. Rapporté à l'éducation, il s'agit d'une manière d'éduquer basée sur la compréhension de l'enfant et qui englobe tout un tas de pratiques, comme la communication non violente par exemple. On parle aussi d'éducation non violente d'ailleurs, ou encore d'éducation positive.
La motricité libre: Elle fait partie de l'éducation bienveillante, et oui elle consiste à ne pas entraver les mouvements de l'enfant. Le concept date des années 60.
Le unschooling: En français on utilise le terme d'instruction à domicile (ou instruction en famille). Il englobe plusieurs pratiques variées, comme l'instruction libre par exemple qui consiste à suivre les centres d'intérêt de l'enfant plutôt qu'un programme, mais suivre le CNED fait également partie des différentes pratiques d'instruction à domicile.
En soi c'est pas mieux ou moins bien que l'école, c'est différent. Tout dépend de l'enfant et de ses parents. Ma sœur a été déscolarisée un certain temps car elle était devenue le souffre-douleur de la classe (et de la maîtresse qui visiblement n'aimait pas du tout son métier). Il peut y avoir d'autres motivations, Wikipedia en différencie cinq:
- la supériorité de l'éducation à la maison (50,8 %) des parents ;
- motivations religieuses (33,0 %) ;
- mauvaise qualité de l'environnement scolaire (29,8 %) ;
- objection au contenu des programmes scolaires (14,4 %) ;
- niveau insuffisant de l'enseignement scolaire (11,5 %).