@Mlle Inconnue la rencontre approche ! 
Je te souhaite que tout aille au mieux pour ton bébé et pour toi.
@Vlan. je trouve ça fou comme les protocoles varient d'un endroit à l'autre. Dans mon chu justement c'est l'endocrino qui rédige le protocole. C'est elle qui a écrit le moment où il fallait débuter la pompe, le débit, l'adaptation. Et en effet les SF semblaient ne pas avoir grandement l'habitude. Le premier jour, j'ai eu le droit de manger mon repas de midi. La sf était méchante (et incompétente mais ça on ne l'a compris qu'après) et elle me faisait très peur. Elle m'a dit qu'il fallait absolument que je me fasse mon bolus de midi. Problème : j'ai fait mon bolus mais la douleur me rendait nauséeuse et le plateau était degueu. Ca n'a pas loupé, très vite je suis descendue à 0.60 et j'ai commencé à me sentir partir. Mr Doc a sonné et me secouait la main en me disant de rester avec lui pendant que je luttais pour rester consciente. La SF était manifestement en train de faire un accouchement et a envoyé son étudiant qui débutait (un type adorable qu'elle a traité comme un chien tout du long. J'ai été ravie de le retrouver comme SF diplômé 2 ans après pour petit Doc et il a super bien géré), il était un peu perdu et est allé lui demander quoi faire. Pour elle l'urgence c'était de me placer le monito, et ensuite de me filer un sucre.
Sur le coup j'étais bien evidemment pas du tout en capacité d'avoir un regard critique sur sa façon de gérer mais maintenant je me rends compte à quel point elle était à la masse et que j'aurais mieux fait de m'écouter parce que mine de rien je gérais mon diabète depuis des mois en plus de gérer celui des autres au quotidien.
Je te souhaite que tout aille au mieux pour ton bébé et pour toi. @Vlan. je trouve ça fou comme les protocoles varient d'un endroit à l'autre. Dans mon chu justement c'est l'endocrino qui rédige le protocole. C'est elle qui a écrit le moment où il fallait débuter la pompe, le débit, l'adaptation. Et en effet les SF semblaient ne pas avoir grandement l'habitude. Le premier jour, j'ai eu le droit de manger mon repas de midi. La sf était méchante (et incompétente mais ça on ne l'a compris qu'après) et elle me faisait très peur. Elle m'a dit qu'il fallait absolument que je me fasse mon bolus de midi. Problème : j'ai fait mon bolus mais la douleur me rendait nauséeuse et le plateau était degueu. Ca n'a pas loupé, très vite je suis descendue à 0.60 et j'ai commencé à me sentir partir. Mr Doc a sonné et me secouait la main en me disant de rester avec lui pendant que je luttais pour rester consciente. La SF était manifestement en train de faire un accouchement et a envoyé son étudiant qui débutait (un type adorable qu'elle a traité comme un chien tout du long. J'ai été ravie de le retrouver comme SF diplômé 2 ans après pour petit Doc et il a super bien géré), il était un peu perdu et est allé lui demander quoi faire. Pour elle l'urgence c'était de me placer le monito, et ensuite de me filer un sucre.
Sur le coup j'étais bien evidemment pas du tout en capacité d'avoir un regard critique sur sa façon de gérer mais maintenant je me rends compte à quel point elle était à la masse et que j'aurais mieux fait de m'écouter parce que mine de rien je gérais mon diabète depuis des mois en plus de gérer celui des autres au quotidien.
Je vous lisais assidûment en tant que petit sous-marin il y a quelques années, ça fait plaisir de vous revoir dans les parages !
) !
), mais je comprends ton mari quand il parle de donner le maximum de chances que tout se passe bien. Dès que j'ai appris ma grossesse j'ai stoppé net cigarettes et alcool, et je n'ai pas fait un seul écart depuis parce que pour moi c'était indispensable de savoir que j'aurais fait ces efforts-là, je sais qu'en cas de FC je ne me serais jamais pardonnée d'avoir continué à boire/fumer. C'est très personnel, j'ai beau avoir lu toutes les études qui parlent du caractère inéluctable des FC précoces et de l'absence de transmission mère/enfant au début, ma conscience n'arrivait pas à enregistrer et je me suis vraiment sentie obligée de faire ces concessions là. Je ne blâme pas du tout celles qui ont continué à fumer/boire, c'est juste que pour moi, mon champ d'action se situait à ce niveau, et ça m'a beaucoup tranquillisée de me dire "je fais ça et c'est le maximum que je puisse faire pour éviter ces risques".
5min avant de repartir bosser. Jai tiré a l'arrache. Ya a nouveau 60ml. J'espère que ça suffira. Je suis un gros boulet aujourdhui.
( 
)
(poke 
Trop de classe en mon fils.