@Mad_Ame je crois que ça dépend des femmes, moi j'avais mal dans le bas de l'utérus et le bas du dos ! Et pour les contractions non-douloureuses je ne les "sentais" pas vraiment, je le savais juste en posant ma main sur mon ventre, s'il était dur comme de la pierre et que je ne pouvais pas enfoncer mes doigts dedans je savais que c'en était une, et là par contre ça prenait bien tout l'utérus du bas jusqu'en haut (oui je comprends ta question avec retard en fait haha), d'ailleurs je crois que j'avais vu une vidéo qui disait que pour être sûr que c'était une contraction il faut pas se tâter le bas du ventre mais bien le haut de l'utérus (donc en dessous des seins oui).
Tiens et rien à voir mais l'autre jour une dame qui devait avoir 65-70 ans m'a parlé à l'arrêt de bus, elle m'a demandé si mon enfant était une fille ou un garçon, quel âge, son prénom, etc (presque tous les jours quelqu'un m'arrête pour me demander ça, c'est fou comme les bébés attirent la conversation).
Et après elle m'a dit "Vous l'allaitez ?" (ça aussi toutes les petites dames âgées que je croise me le demandent, c'est dingue, en me gratifiant d'un "c'est bien" ensuite, super culpabilisant pour les femmes qui n'allaitent pas) et elle a enchaîné sur plein de conseils "Surtout ne laissez pas pleurer votre bébé hein, après ça leur endommage le cerveau" "Ne frappez pas votre bébé hein !". J'étais agréablement surprise de voir qu'elle n'a pas les conseils classiques de son âge mais en même temps, bon, de quoi je me mêle (et je suis un peu vexée qu'elle ait pu croire que je frappe mon bébé). Et maintenant j'arrête pas de penser au fait que quand mon bébé hurle ça lui endommage le cerveau

parce que bon je la laisse jamais pleurer (ou 5 minutes le temps d'aller aux toilettes / souffler / me faire à manger) mais même dans mes bras elle pleure et hurle à plein poumons, j'arrive pas à la calmer quand c'est comme ça et ça m'obsède maintenant de me dire qu'elle aura des séquelles, qu'elle va être traumatisée et compagnie (alors que j'imagine bien que non puisque je l'ai dans mes bras, que je lui parle, je lui dis que je suis là, etc.).