Au dela de tout ce qui a été dis précédemment avec avec lequel je suis d'accord, il y a une "coquille" dans l'article (cc @Mymy @Clemence Bodoc )
A Grand-Bassam et à Bamako les attentats ne sont pas l'oeuvre de Daesh, mais de AQMI en fait (Al-Qaïda au Maghreb Islamique). Les deux organisations djihadistes terroristes ont certes de nombreux points communs (djihadisme, terrorisme, une grande partie des financements) mais elles évoluent plus "parallelement" que main dans la main.
D'ailleurs même si il y a eu des liens par le passé entre les deux organisations, le groupe armé du Front Al-Nosra, combattant en Syrie et affilié à Al-Qaïda, s'oppose plus que ne soutient l'EI.
En vrai les relations entre les deux groupes sont bien plus complexes que ce que je viens de résumer mais attention à ne pas confondre les deux groupes. Les attentas ne se situent pas dans les mêmes zones géographiques et n'amènent pas les mêmes revendications ni les mêmes interrogations. Même si oui l'horreur reste la même.
Les dizaines de milliers de réfugié•es syrien•nes fuient la même horreur que celle qui frappe les villes européennes, mais décuplée : c’est leur quotidien. Daech à Grand-Bassam, à Bamako, à Paris ou à Beyrouth, c’est la même organisation terroriste, qui tue au hasard.
A Grand-Bassam et à Bamako les attentats ne sont pas l'oeuvre de Daesh, mais de AQMI en fait (Al-Qaïda au Maghreb Islamique). Les deux organisations djihadistes terroristes ont certes de nombreux points communs (djihadisme, terrorisme, une grande partie des financements) mais elles évoluent plus "parallelement" que main dans la main.
D'ailleurs même si il y a eu des liens par le passé entre les deux organisations, le groupe armé du Front Al-Nosra, combattant en Syrie et affilié à Al-Qaïda, s'oppose plus que ne soutient l'EI.
En vrai les relations entre les deux groupes sont bien plus complexes que ce que je viens de résumer mais attention à ne pas confondre les deux groupes. Les attentas ne se situent pas dans les mêmes zones géographiques et n'amènent pas les mêmes revendications ni les mêmes interrogations. Même si oui l'horreur reste la même.
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