Moi aussi d'un côté je comprends le commentaire de @Shaggera
Ma réaction en prenant conscience de la masculinité toxique c'est une espèce de rire jaune car on constate que les oppressés dans leurs schéma, au final, ils se font aussi du mal à eux-mêmes.
En fait j'en viens à me demander si il ya vraiment des oppresseurs car en regardant l'histoire même des rois, dirigeants et hommes de pouvoir étaient moqués pour leur mollesse, leur féminité ou leur absence de force et de virilité. En fait j'ai l'impression que c'est vraiment sociétal (les oppresseurs sont ceux qui défendent ses schémas, plus que "les hommes", même si évidemment quand tu es au sommet de cette hiérarchie tu auras plus tendance à les défendre.)
Ma réaction en prenant conscience de la masculinité toxique c'est une espèce de rire jaune car on constate que les oppressés dans leurs schéma, au final, ils se font aussi du mal à eux-mêmes.
En fait j'en viens à me demander si il ya vraiment des oppresseurs car en regardant l'histoire même des rois, dirigeants et hommes de pouvoir étaient moqués pour leur mollesse, leur féminité ou leur absence de force et de virilité. En fait j'ai l'impression que c'est vraiment sociétal (les oppresseurs sont ceux qui défendent ses schémas, plus que "les hommes", même si évidemment quand tu es au sommet de cette hiérarchie tu auras plus tendance à les défendre.)
Dernière édition :

Même si je dois avouer que c'est aussi un domaine de la médecine qui m'effraie quelque peu. Car plus on avance en connaissance sur sujet, plus on se rend compte que ce qu'on nomme le "soi", sa personnalité, son individualité, est une construction très précaire et surtout très fortement influencée par la biologie. Et qu'une légère rupture d'équilibre chimique, un petit dommage cérébral, une maladie X ou Y et on devient facilement "quelqu'un d'autre". 
