@Naos Je te dirai que prendre conscience de ça (le fait que c'est confortable pour lui), c'est déjà un grand pas. Parce que tu as toutes les cartes en main, en tout cas les plus importantes, pour faire un choix éclairé sur ta situation de couple
Je ne prône pas la séparation dans ces cas-là, mais je suis à 100% d'accord avec toi sur la charge mentale aussi d'éduquer son partenaire à prendre sa part de charge mentale (le serpent qui se mort la queue).
En fait, on peut juste en avoir marre de devoir penser à faire penser à son compagnon de prendre sa part du gâteau. Et c'est OK. Et normal.
Je sais qu'aujourd'hui, le fait d'avoir un couple équilibré sur ce sujet, c'est vraiment non négociable.
Et d'ailleurs, je me suis rendue compte dans mon couple actuel qu'avoir une charge mentale équitable, ce n'était pas faire 50/50 sur tout.
C'est plutôt quelque chose de fluctuant, basé sur la confiance. Ces derniers temps, j'ai été particulièrement prise et moins disponible pour les tâches du quotidien. Mon conjoint a vraiment compensé naturellement, sans que je lui dise. On en a parlé récemment et je lui ai dit que j'avais conscience que je lui laissais trop de choses en ce moment, et que j'allais reprendre ma part.
A contrario, il m'est arrivé aussi d'en faire beaucoup plus par période. Je sais juste que ça va se rééquilibrer à un moment donné.
Au quotidien, c'est juste savoir que si moi par exemple, je suis beaucoup plus à cheval sur la nourriture, donc je fais naturellement plus à manger, je sais par contre que mon compagnon va faire naturellement des choses auxquelles je ne pense pas (ranger le garage par exemple).
Quand on n'a plus ces préoccupations au quotidien, la communication est aussi beaucoup plus fluide en général. Parce qu'elle n'est pas gangrénée par ces rancunes accumulées des tâches ménagères et autres apanages de la charge mentale féminine.
Je ne prône pas la séparation dans ces cas-là, mais je suis à 100% d'accord avec toi sur la charge mentale aussi d'éduquer son partenaire à prendre sa part de charge mentale (le serpent qui se mort la queue).
En fait, on peut juste en avoir marre de devoir penser à faire penser à son compagnon de prendre sa part du gâteau. Et c'est OK. Et normal.
Je sais qu'aujourd'hui, le fait d'avoir un couple équilibré sur ce sujet, c'est vraiment non négociable.
Et d'ailleurs, je me suis rendue compte dans mon couple actuel qu'avoir une charge mentale équitable, ce n'était pas faire 50/50 sur tout.
C'est plutôt quelque chose de fluctuant, basé sur la confiance. Ces derniers temps, j'ai été particulièrement prise et moins disponible pour les tâches du quotidien. Mon conjoint a vraiment compensé naturellement, sans que je lui dise. On en a parlé récemment et je lui ai dit que j'avais conscience que je lui laissais trop de choses en ce moment, et que j'allais reprendre ma part.
A contrario, il m'est arrivé aussi d'en faire beaucoup plus par période. Je sais juste que ça va se rééquilibrer à un moment donné.
Au quotidien, c'est juste savoir que si moi par exemple, je suis beaucoup plus à cheval sur la nourriture, donc je fais naturellement plus à manger, je sais par contre que mon compagnon va faire naturellement des choses auxquelles je ne pense pas (ranger le garage par exemple).
Quand on n'a plus ces préoccupations au quotidien, la communication est aussi beaucoup plus fluide en général. Parce qu'elle n'est pas gangrénée par ces rancunes accumulées des tâches ménagères et autres apanages de la charge mentale féminine.