@Heran.
J'y ai jeté un coup d'oeil tout à l'heure, je vais regarder ça plus attentivement mais j'ai eu l'impression d'une grosse bagarre, a
vec d'un côté des gens dont c'est le métier et du coup, les analyses ne sont pas forcémet neutres, et de l'autre des personnes absolument contre ( et du coup, je ne sais pas si leurs solutions sont réellement viables).
Je vais lire plus attentivement.
Je comprends pas trop ce point de vue, pourquoi dans les débats quand quelqu'un est calé sur le sujet sa voix n'a pas plus de poids que ceux qui n'y connaissent pas grand chose
Les personnes dont le metiers ne seront pas forcement neutres mais par exemple dans ce débat il y a eu des madz biologistes mais qui ne font pas d'expérimentations animales qui sont venues apportées des connaissances techniques: Sur ce qu'il est possible
actuellement de faire, de ne pas faire, des techniques de remplacement actuelles, pourquoi on ne peut pas se passer actuellement de la recherche sur les animaux pour le developpement de traitements médicamenteux etc.
Dans vce débat il y a quand même des contraites techniques qui font qu'on ne peut pas actuellement, se passer des tests sur les animaux pour developper de nouveaux médicaments. Je ne suis pas pour l'expérimentation sur des animaux en tant que tel, mais tant que dans certains cas on ne peut pas s'en passer ben je l'accepte, en espérant que la recherche avance et qu'on puisse à terme s'en passer. De plus en plus la recherche avance dans ce sens, si ce n'est pas le cas ce n'est pas une histoire de cruauté gratuite, c'est juste qu'il y a pas encore d'autres alternatives viables
On peut se poser des questions sur le côté ethique, sur pourquoi les recherches pour se passer de tests sur les animaux sont assez récentes (question de volonté?), sur les méthodes de remplacement, par contre on peut pas dire qu'on peut à la fois s'en passer pour tout et developper des médicaments viables, c'est pas le cas à l'heure actuelle.
Je conprends très bien les raisons éthiques des contres et là on rentre plutôt dans un débat philosophique et non scientifique, par contre je comprends moins quand c'est à grand renfort de bullshit scientifiques
Enfin du coup dans ta reflexion ça dépends si tu te places dans le débat plutôt d'un côté philosophique ou plutôt d'un côté scientifique.
Si on s'en tiens au débat philosophique et éthique là les personnes avec des connaissances scientifiques sur le sujet n'ont effectivement pas un avis qui à mon sens serait plus pertinent. Par contre si on se place d'un côté technique ben je trouve ça différent.
Et du coup je comprends pas bien pourquoi dans ces débats la paroles des personnes qui ont des connaissances techniques sur le sujet n'a pas plus de poids que celle qui n'en ont pas (sur ce sujet et celui de la vivisection y'a eu des trucs "scientifiques" assez folkloriques, c'est pas parce qu'un blog qui linke 0 études dit qu'on peut se passer d'expérimention animale que c'est vrai, et c'est pas parce qu'on dit "oui mais y'a les cellules souches" ou "oui mais y'a les modèles informatiques" que ça peut s'appliquer à toutes les recherches dans toutes les pathologies et qu'on peut généraliser ça à la recherche médicamenteuse en général).
Après si on se contente des raisons éthiques et antispécistes ben je comprends le point de vue des contres, par contre dasn ce cas là il faut accepter qu'il n'y ai plus que très peu de recherche médicamenteuse, ou que les tests ne se fassent que sur des humains consentants, etc
Et dans ce cas je rejoins un peu
@irisetrose Je ne pense pas que seules les personnes malades doivent s'exprimer sur le sujet, par contre c'est plus facile d'être contre l'expérimentation animale pour la recherche médicale quand on prends trois paracetamol par an que quand on a une maladie chronique invalidante et douloureuse.
Je reconnais que je ne suis pas objective sur le sujet (je tiens pas particulièrement à se qu'on renonce à la recherche médicale et médicamenteuse au nom du bien être animal, avis qui mélange égoïsme et fait d'être concernée) et du coup pour compenser ça j'essaye de m'en tenir à ce qu'il est techniquement possible de faire et de ne pas faire à l'heure actuelle.
Après je reste optimiste sur le sujet
Depuis 20 ans on a fait d'enormes progrès pour développer des traitements contre des maladies complétement mises de côté jusque là, et on développe aussi de plus en plus d'alternatives à l'expérimentation animale, j'ai bon espoir que d'ici 50 à 100 ans on puisse guérir des pathologies qu'on ne peut pas guérir actuellement ET que l'expérimentation animale n'existe plus.