@Dandinou : il me semblait que j'avais posté un message sur les différentes facettes de l'expérimentation animale dans les premières pages
Edit : en fait non, j'en parlais à peine un peu là par exemple.
Mais en exemple de disciplines qui peuvent faire appel à l'expérimentation animale :
- la recherche fondamentale, pour comprendre le fonctionnement de phénomènes physiologiques ou psychologiques :
-- en physiologie, biologies cellulaire et moléculaire (avec pour but, plus tard, d'avoir des applications notamment en santé humaine car c'est le nerf de la guerre...) ;
-- en comportement (par observation d'animaux dans différents milieux, différentes conditions, par expérience de conditionnement, tests comportementaux...)
- la recherche appliquée, la recherche thérapeutique et pharmaceutique :
-- le développement de nouveaux médicaments pour la santé humaine ou animale ;
-- la production de médicaments (fut un temps, l'insuline était produite par des porcs ; les sérums antitétaniques pour humains sont constitués d'anticorps de chevaux)
- l'enseignement : de Biologie et de physiologie (apprendre à effectuer des expérimentations en engendrant le minimum de souffrance à l'animal), d'anatomie en médecine vétérinaire...
(j'en oublie certainement)
Mais toutes les expérimentations animales ne sont pas invasives ou contraignantes pour l'animal.
Par exemple, l'étude de l'effet d'un mode de vie (enrichi ou non) sur le comportement de rongeurs, l'étude de l'apprentissage ne sont pas forcément invasives. Observer un groupe de chevaux dans un pré, dont c'est l'environnement habituel, et les exposer à un objet nouveau pour étudier leur néophobie n'est pas invasif, et on peut dire que ce n'est pas contraignant non plus pour l'animal, pour peu qu'il puisse avoir assez d'espace s'il ne se sent pas à l'aise.
(loin de moi l'idée de nier que l'expérimentation animale peut engendrer de la souffrance, mais je tenais à rappeler que toute EA n'est pas systématiquement synonyme de souffrance)
Edit : en fait non, j'en parlais à peine un peu là par exemple.
Mais en exemple de disciplines qui peuvent faire appel à l'expérimentation animale :
- la recherche fondamentale, pour comprendre le fonctionnement de phénomènes physiologiques ou psychologiques :
-- en physiologie, biologies cellulaire et moléculaire (avec pour but, plus tard, d'avoir des applications notamment en santé humaine car c'est le nerf de la guerre...) ;
-- en comportement (par observation d'animaux dans différents milieux, différentes conditions, par expérience de conditionnement, tests comportementaux...)
- la recherche appliquée, la recherche thérapeutique et pharmaceutique :
-- le développement de nouveaux médicaments pour la santé humaine ou animale ;
-- la production de médicaments (fut un temps, l'insuline était produite par des porcs ; les sérums antitétaniques pour humains sont constitués d'anticorps de chevaux)
- l'enseignement : de Biologie et de physiologie (apprendre à effectuer des expérimentations en engendrant le minimum de souffrance à l'animal), d'anatomie en médecine vétérinaire...
(j'en oublie certainement)
Mais toutes les expérimentations animales ne sont pas invasives ou contraignantes pour l'animal.
Par exemple, l'étude de l'effet d'un mode de vie (enrichi ou non) sur le comportement de rongeurs, l'étude de l'apprentissage ne sont pas forcément invasives. Observer un groupe de chevaux dans un pré, dont c'est l'environnement habituel, et les exposer à un objet nouveau pour étudier leur néophobie n'est pas invasif, et on peut dire que ce n'est pas contraignant non plus pour l'animal, pour peu qu'il puisse avoir assez d'espace s'il ne se sent pas à l'aise.
(loin de moi l'idée de nier que l'expérimentation animale peut engendrer de la souffrance, mais je tenais à rappeler que toute EA n'est pas systématiquement synonyme de souffrance)