C'est triste quand même de se dire qu'on est autant a avoir vécu la "même" première fois...
J'avais 16 ans, lui 19. Il voulait absolument qu'on prévoit de le faire pour le soir du nouvel an. J'ai essayé de louvoyer en lui disant que j'aimais pas l'idée de prévoir une date, que ça enlevait toute spontanéité. Il a compris que j'essayer de trouver des excuses, résultat : je me suis retrouvée 10 min plus tard à observer le plafond (moi aussi) pendant que monsieur prenait du plaisir. Et je me souviens encore regarder ce plafond en me disant "tiens, c'est ça l'effet que ça fait de plus être vierge...?"
Plusieurs fois ensuite il m'est arrivé de lui dire non, mais il insistait et j'y passais quand même.
Puis un jour, malgré le fait que je me débatte et que je dise non, il a quand même réussi son coup. Ca a été la dernière fois qu'on couchait ensemble ce jour là. Après je me suis débrouillée pour ne plus être toute seule avec lui. Et 3 semaines plus tard, le matin de mon bac de maths, j'ai fait un test qui s'est avéré positif.
J'ai pas hésité 2 secondes : j'ai avorté, et j'ai enfin trouvé le courage de quitter le mec. Qui pleurait comme un bébé et qui comprenait pas que je veuille plus de lui...
Même pas un mois plus tard, je rencontrais un garçon qui avait 4 ans de plus que moi, beau comme un dieu et qui me faisait me sentir belle comme jamais. J'avais envie de lui et pourtant, il a pris son temps et attendu. Il partait en Angleterre pour sa 3ème année de licence, on a attendu de se revoir 2 mois plus tard quand je suis allée le rejoindre là-bas pour enfin faire l'amour. Il a été ma bouffée d'oxygène, mon rayon de soleil, celui qui m'a empêchée de couler quand j'ai réalisé que j'avais subit non pas un viol, mais plusieurs viols de mon premier petit ami.
9 ans plus tard, on est marié et on vient d'avoir un bébé. Je ne sais franchement pas ce que j'aurais fait sans lui.
Et s'il y a bien une chose que je veux me promettre à moi même, c'est apprendre à mon fils le respect de la femme. Et qu'un non, veut dire non.
J'avais 16 ans, lui 19. Il voulait absolument qu'on prévoit de le faire pour le soir du nouvel an. J'ai essayé de louvoyer en lui disant que j'aimais pas l'idée de prévoir une date, que ça enlevait toute spontanéité. Il a compris que j'essayer de trouver des excuses, résultat : je me suis retrouvée 10 min plus tard à observer le plafond (moi aussi) pendant que monsieur prenait du plaisir. Et je me souviens encore regarder ce plafond en me disant "tiens, c'est ça l'effet que ça fait de plus être vierge...?"
Plusieurs fois ensuite il m'est arrivé de lui dire non, mais il insistait et j'y passais quand même.
Puis un jour, malgré le fait que je me débatte et que je dise non, il a quand même réussi son coup. Ca a été la dernière fois qu'on couchait ensemble ce jour là. Après je me suis débrouillée pour ne plus être toute seule avec lui. Et 3 semaines plus tard, le matin de mon bac de maths, j'ai fait un test qui s'est avéré positif.
J'ai pas hésité 2 secondes : j'ai avorté, et j'ai enfin trouvé le courage de quitter le mec. Qui pleurait comme un bébé et qui comprenait pas que je veuille plus de lui...
Même pas un mois plus tard, je rencontrais un garçon qui avait 4 ans de plus que moi, beau comme un dieu et qui me faisait me sentir belle comme jamais. J'avais envie de lui et pourtant, il a pris son temps et attendu. Il partait en Angleterre pour sa 3ème année de licence, on a attendu de se revoir 2 mois plus tard quand je suis allée le rejoindre là-bas pour enfin faire l'amour. Il a été ma bouffée d'oxygène, mon rayon de soleil, celui qui m'a empêchée de couler quand j'ai réalisé que j'avais subit non pas un viol, mais plusieurs viols de mon premier petit ami.
9 ans plus tard, on est marié et on vient d'avoir un bébé. Je ne sais franchement pas ce que j'aurais fait sans lui.
Et s'il y a bien une chose que je veux me promettre à moi même, c'est apprendre à mon fils le respect de la femme. Et qu'un non, veut dire non.