Mais elle est où la ligne tout tracée à partir de laquelle on est vieux ? Quelqu’un de 70 ans en bonne santé n’a-t-il pas encore plein d’années à vivre ? Et quid des enfants qui sont malades et ont une espérance de vie réduite, voire plus courte que le septuagénaire ci-dessus ? Toute approche eugéniste est inhumaine.
S’agissant de l’empathie parentale, certain·es sont child free parce que trop empathiques : iels ne veulent pas mettre un enfant au monde quand celui-ci paraît si difficile et promit à un avenir si incertaine voire sombre.
Idem je trouve que mon empathie, sans avoir d’enfants, a le mérite de ne pas se concentrer uniquement sur les enfants, donc la promesse du parent qui voit différemment, qui est touché subitement par la grâce de l’empathie je n’y crois pas.
Je ne porte le masque que lorsqu’il y a du monde autour de moi. S’il en va de la santé et de la (sur)vie de personnes immunodéprimées autour de moi, je ne vois pas comment je peux faire autrement. Quand je mets dans la balance les désagréments que provoque le masque versus le risque de ne pas le porter, mon choix est fait.
Cette mesure est intervenue trop tôt, trop vite et en criant victoire alors même que l’épidémie reprend et c’est à ne plus rien y comprendre à part effectivement privilégier la santé mentale des valides (et leur vote) au détriment de celle des personnes souffrant d’une comorbidité.
S’agissant de l’empathie parentale, certain·es sont child free parce que trop empathiques : iels ne veulent pas mettre un enfant au monde quand celui-ci paraît si difficile et promit à un avenir si incertaine voire sombre.
Idem je trouve que mon empathie, sans avoir d’enfants, a le mérite de ne pas se concentrer uniquement sur les enfants, donc la promesse du parent qui voit différemment, qui est touché subitement par la grâce de l’empathie je n’y crois pas.
Je ne porte le masque que lorsqu’il y a du monde autour de moi. S’il en va de la santé et de la (sur)vie de personnes immunodéprimées autour de moi, je ne vois pas comment je peux faire autrement. Quand je mets dans la balance les désagréments que provoque le masque versus le risque de ne pas le porter, mon choix est fait.
Cette mesure est intervenue trop tôt, trop vite et en criant victoire alors même que l’épidémie reprend et c’est à ne plus rien y comprendre à part effectivement privilégier la santé mentale des valides (et leur vote) au détriment de celle des personnes souffrant d’une comorbidité.