Je reviens par rapport aux espaces non mixtes etc... car je trouve que c'est intéressant comme sujet et que j'avais pas la possibilité de répondre (et là vu que je suis insomniaque je peux !)
@JessFin c'est une très très bonne réflexion par rapport à tout ça en fait.
@Mozart Hella C'est très vrai aussi. C'est pour cette raison que je me considère encore socialement comme une femme (bien que je sois transmasculin), étant donné que je vis comme étant traité comme tel.
@AngelTen Richard II Yup
@AprilMayJune, c'est intéressant ce que tu dis par rapport au vocabulaire et le fait que ça fasse un frein! Et oui en effet c'est censé être un moyen plutôt qu'une fin en soi et je crois que ça s'oublie un peu en ce moment...
Désolé c'est un peu nul comme réponses mais en fait j'ai oublié, je crois, ce que j'avais d'intéressant à dire au sujet
Bon sinon !
@tegan_claude Je comprends pas trop pourquoi tu demandes ça... Mais moi c'est très simple je me genre essentiellement au masculin. Par contre j'évite de genrer mon "moi du passé" d'avant qui ne savait pas qu'iel était trans (donc j'aurai tendance à utiliser les pronoms neutres).
@Melydo
@luna-lu Comme l'ont dis les autres, être dysphorique ou non ne fait pas de toi une personne + trans ou non.
Comme
@Growing Entish je me suis rendu compte de ma dysphorie après m'être rendu compte que j'étais trans. Je pense que la dysphorie (s'il y en a) vient forcément après la découverte de la transidentité (même si le nom "trans" n'est pas forcément posé dessus). C'est quand on se rend compte du décalage entre l'image de la société veut nous donner et qui on est qui produit cette sensation. On peut sentir ce décalage sans savoir qu'on est trans, puis passer par une phase où la découverte et l'exploration seule fait "du bien" puis ensuite retrouver l'inconfort en pouvant le combattre cette fois (et en allant mieux car on a conscience de ce qui nous blesse).
Tout le monde est concerné dans le sens où même une personne neutre afab pourrait se sentir mal d'avoir de la poitrine puisqu'iel pourrait être vu.e comme une femme à cause de cela. La focalisation générale de la société sur le genre conduit à tout ça... C'est la raison pour laquelle être trans n'est pas une maladie mentale, parce que ce n'est pas ton cerveau qui créer sa propre souffrance, mais bien l’environnement toxique dans lequel tu vis qui te blesse.
Pour ma part j'avais pas du tout de dysphorie au début... Et maintenant................. ahah.
Donc les personnes trans non dysphoriques sont souvent les personnes qui n'ont pas/peu d'interaction avec un entourage toxique et/ou médias et/ou "jeunes" (dans la découverte je parle) trans.
Voilà je sais pas si j'ai été clair tout le temps mais j'ai pas tout à fait les yeux en face des trous. ._.