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Je pense que mon "sombre connard-asse" est mal passé, quand je disais ça, je pensais aux personnes qui trompe à tout va, sans faire cas de leur partenaire du tout, parce que yolo-onlygodcanjudgeme-tuvasfairequoi.
@Anableps
Je comprends tes points, et je conçois que mes messages sont très manichéens, très white-knight-je-sais-tout-mieux-que-vous. C'était pas le but, c'était un peu à chaud, et j'ai pris un minimum de choses en compte dans les raisonnement.
Je n'ai jamais trompé. Je ne sais pas si je le ferais un jour, qué séra séra. Ce que je reprochais aussi globalement dans mes messages (peut-être que je l'ai mal fait ressortir, c'est plus que possible) c'est ne pas assumer que tromper c'est vilain. Je préfère quelqu'un comme toi qui dit "oui j'ai trompé, oui j'avais des excuses mais je sais que c'est mal et que j'ai fait du mal", plutôt que quelqu'un qui dit "je vois pas le problème, on avait pas dit que c'était exclusif et vous êtes chiants à nous prendre la tête avec votre moral."
Ce que j'ai voulu dire globalement, c'est qu'un couple, effectivement dans notre société, c'est de base exclusif. C'est pour ça qu'il est important d'établir les "règles" dès le départ. Et quand je dis règle, je parle pas d'un contrat papier en 3 exemplaires signé par les deux (ou plus) partis en bas de chaque page à la sheldon cooper. J'parle juste d'un "hé, j'préfère qu'on reste fidèle" ou "hé, j'préfère qu'on fasse ce qu'on veut".
Maintenant, peut-être que l'occasion se présentera, et que je foncerai tête baissée parce que personne n'est parfait. (et vous rigolerai doucement à ce moment-là )
Il n'empêche que je campe sur mon point de vue. (Même si j'admets qu'il faut nuancer un peu, rien n'est jamais tout blanc ou tout noir)
@candyclown on sent que l'histoire est fraiche est c'est gentille de ta part de l'avoir partagé avec nous. Permet moi juste de te demandé ce que tu attendais en partageant ton histoire ? (ne réponds pas forcément, c'est plus pour toi cette question)
Tu dis ne pas avoir trompé et en même temps tu viens nous la raconté sur un sujet qui parle de tromperie. On ne connais pas ton histoire, ni qui tu es, ni qui sont les autres personnes concernés. Avec les éléments que tu nous donnes, il est difficile de ne pas se dire justement que tu as trompé ton partenaire dans le sens où lui a supposé une relation exclusive (parce que c'est une norme admise par la société) là où toi tu voyais autre chose. Après c'est quelque chose de passé, et tu l'as géré comme tu l'as pu avec qui tu es, ton ressentie... Si tu n'avais pas d'intention mauvaise ce qui semble être le cas, pour moi la question de bien et de mal ne se pose pas.
Mais peut-être que cet échange te permettra d'éviter des malentendus par la suite.
En tout sache que de mon côté l'idée n'étais pas de te juger.
Je fais partie des personnes qui ont trompé. Pas parce que je suis une salope, pas parce que j'ai les ovaires en feu, pas par défis ou pour faire du mal à l'autre ... J'ai plus vue ça comme une porte de sortie par désespoir... Avec mon homme ça n'allait plus, je me sentais morte de l'intérieur, lorsque j'essayais de lui expliquer que ça n'allait plus ou de lancer la conversation pour qu'on en parle il me faisait comprendre que ça le saoulait ou il se murait dans le silence... Il n'y avait plus rien... Mais je l'aimais encore assez pour ne pas lui faire la peine de partir... Je souffrais en silence quoi (oui je sais TROP d'empathie mais j'ai toujours eu tendance à penser au bien être de l'autre au détriment du mien... même encore maintenant). Puis là il y a eu mon premier amour qui a débarqué (vous sentez comment ça va tourner ?). Et il m'a tout offert, des rando en montagne, magasin de thé, passion, amour, BREF tout pour que je puisse retrouver la joie de vivre, et du coup bah ... voilà... évidemment je suis retournée voir mon homme pour lui dire que je l'avais trompé (je ne voulais pas mentir ni le cacher), il a pleuré c'est excusé et moi aussi ... enfin bref je vous passe la fin de l'histoire mais c'était bien la mouise.
@Cilece@Lord Griffith je n'ai jamais trompé bien que ça ais faillie m'arriver deux fois avec l'un de mes ex.
Mais du coup le fait de tromper (à vous de me dire si ça vous parait correct comme réflexion) son conjoint, c'est un peu le reflet qu'il y a un soucis ? Que ce soit avec "soi", le conjoint, le fonctionnement du couple (exclusif...) ...?
En tout cas sur la plupart des témoignages je le perçoit comme ça.
@Cilece je suis désolée si le terme ne convient pas. C'est con, mais j'essaie de comprendre le "phénomène" au delà du simple fait de la tromperie. Qu'est ce qui pousse à le faire, alors que globalement les gens sont ok pour dire que le mensonge c'est pas top, et que trahir la confiance c'est pas hyper cool. J'ai la conviction que les gens sont pour une grande majorité pas fondamentalement mauvais. Du coup, un point qui ressort c'est l'idée qu'il y ait un soucis, un problème avec le partenaire ou avec soi même ou les deux et le deuxième point c'est par rapport à la perception du couple, et surtout de l'exclusivité qui est considéré comme un standard par la société (ce qui est con pourquoi est-ce qu'on part de ce principe là...) et du fait que sentiment et sexualité sont un tout.
Traiter une personne infidèle de "salope" ou autres gentillesses du même ordre n'a aucun sens et est bien plus causé par le sexisme ambiant qu'autre chose.
Je l'ai déjà dit,ce qui me gêne dans l'infidélité,c'est l'aspect mensonge et donc manque de respect qui en découle. Je parle surtout de ceuxcelles qui trompent allégrement leurs partenaires tout en ne leur disant rien,pour ne pas les faire souffrir soi disant. C'est très lâche à mon sens parce que c'est empêcher son/sa partenaire de décider si ce type de relation lui convient. Ces gens là veulent tout justement:le beurre,l'argent du beurre et surtout garder leur réputation,j'ai l'impression.
Attention,je ne parle pas de toutes les personnes qui trompent ici,seulement cellesceux qui le font dans le dos de leur partenaire et de façon régulière.
Pour ma part et d'après ma propre expérience je suis plutôt d'accord avec cet article et l'étude.
Donc je vais poser ça là mais c'pas dit que je réagisse car j'pense que tout est déjà dit.
Tromper n'a donc pas la même signification selon que l'on soit trompée ou trompeuse c'est cela?
Il y a un article quelque part sur les ressentis, incompréhensions des trompé-es?
Et je suis d'accord concernant le "nous" du titre, généralisant au max et tentant de culpabiliser tout le monde: c'est petit, nul et malvenu. Je ne suis que moi et personne d'autre (avec ce que ça implique d'éducation/culture/vécu/expériences etc), et ce sera toujours le cas même si j'évolue.